Prosopopée

romantique y éprouvait, l'auteur nous rapporte les propos d'Horace sur son «existence primitive» (l. 56) – qu'il a dépeint avec tant de vigueur qu'il en a fait «passer sous [leurs] yeux les phases toutes entières» (l. 56), en faisant du même coup une prosopopée et donc dans le contexte une hyperbole – dans la vastitude qui n'avait «de bornes que l'horizon» (l. 58-59) , c'est-à-dire l'«Océan» (l. 60), sur lequel il pouvait «déploie[r] les voiles de ses vaisseaux, comme les ailes d'un aigle» (l. 59-60) pour

Exclamations : Ah ! malheureux que je suis..., Oh !, Je suis fou !, Ò mon dieu ! · interrogation rhétorique et anaphores de Pourquoi... ? et de moi qui. · appel à la postérité : Apprenez mon nom à votre enfant, une fausse prosopopée. · Les hyperboles l’abîme où je vous entraînais, Moi qui voudrais vous faire aseoir sur un trône !, ...qui emporte votre pensée aboutissent désormais dans le propos de Rodolphe à un rejet de tout idéalisme : insensés !, Pourquoi étiez-vous

atténuée mais renforce l'idée exprimer. 3) Les renversement de sens L’antiphrase : énonce une idée mais veut faire comprendre son contraire. La prétérition:consiste à affirmer qu'on ne dit pas ce que pourtant on dit. 4) Autres figures Prosopopée : figure qui désigne le discours fictif que l'on fait tenir a un mort/ absent / être inanimé. Une apostrophe : figure qui consiste a l'adresser a des abstraction être absent et objet elle permet l'interlocuteur fictif

à l'hydre de Lerne, monstre à cent têtes que tua Hercule. (4) Il s'agit de Démade, homme politique athénien et ennemi de Démosthène. (5) Les figures de rhétorique qui servent à frapper les esprits et à susciter les passions. (6) Définition de la prosopopée. (7) Référence à Horace qui qualifiait le peuple romain de « monstre à multiples têtes » (Épîtres, I, 1, v. 76). (8) Cérès, déesse de la moisson, étant honorée à Eleusis. (9) Philippe de Macédoine qui tentait de s'emparer des cités grecques. Allusion

Illustrer les formes françaises, c'est affirmer une identité culturelle qui refuse de mourir. Cette illustration est double : par le sonnet et la ballade et plus profondément, par la structure du texte : situation d'énonciation particulière de la prosopopée . Elle a, outre l'effet de rappe, un effet persuasif en soi : mise en relief du paradoxe énonciatif « je suis mort » par le rejet. 2) Cet Hommage sert un projet personnel : -Paramètres de l'énonciation bouleversés : le NOUS immédiat de Villon et

balade détournée car il va utiliser de l'humour noir pour accrocher le lecteur. « Quoique fûmes occis », occis veut dire tuer cela veut dire qu'il parle et écris toujours alors qu'il est mort, cela pourrait nous faire penser à la figure de style prosopopée qui serait donc utilisée dans ce poème. Également nous voyons d'autre vers qui pourraient être de l'humour noir comme « sommes transis » ou bien « bon sens transis ». Cela est une forme d’autodérision de son sort et une sorte de paradoxe car un

implicite des défauts des hommes et de leurs vices ? En quoi la structure de ce texte en fait une argumentation efficace ? Le projet de lecture (l’explication) : I Une stratégie argumentative Le chapitre XXV donne la parole à la nature dans une prosopopée célèbre 1) Voltaire construit son discours en développant des lieux communs - faiblesse physique de l’homme (l.1) - caractère éphémère de la vie humaine (l.2) - finitude de l’homme et caractère inévitable de la mort (l.2) Ces lieux font partie

loup, vengeance v 38 : « auguste » armes des mort, voc sacré v 39 : apothéose de la reine « votre digne moitié » périphrase déification des rois v 44 : le cerf rapporte les propos de la reine, écris en alexandrins pour souligner la grandeur Prosopopée : on fait parler ou agir une personne absente, un objet ou une chose. v 50 : apothéose : admission au royaume des saints v 50 : « on » représente la foule v 52à55 : Morale : il faut entrer dans le jeu du roi, apologie ironique du mensonge v

en quatre siècles 1) La démocratie est devenue réalité (Seconde République Française) 2) L’apaisement des tensions provinciales 3) Le sentiment d’appartenir à une seule Nation III. La grande rhétorique hugolienne 1) La double prosopopée : discours du visionnaire médiéval qui lui-même fait parler l’Assemblée Nationale (législative, les députés) ( mise en abyme du procédé) 2) Les nombreuses accumulations, figure d’emphase et d’amplification 3) Les anaphores (répétitions en

comprendre qu'il vit un amour à sens unique et qu'il en souffre, c'est pourquoi il veut se venger du mal être qu'il le ronge par l'intermédiaire de la mort de Jeanne. Il veut qu'elle souffre et s'aide donc de la mort qui est son ami et son confident (prosopopée de la mort avec le tombeau). On voit donc que Baudelaire n'as pas peur de la mort, il en a fait son ami et il la fait parler par l'intermédiaire du tombeau. Elle doit être rongé par les remords et ne pas se reposer dans son tombeau ( avec "et