Protagoras Relativisme

Platon, Ménon , 77b-78b Texte 6. L’ironie socratique. Xénophon, Mémorables, Livre troisième, Chapitre 6 Texte 7. Les sophistes. Platon, Protagoras, 311b- 314c Texte 8. L’argent. Xénophon, Mémorables, Livre premier, Chapitre 6 Texte 9. La justice et l’injustice. Socrate dans sa cellule. Platon,

s’affirme indépendante, ne voulant recevoir la vérité et la règle du bien et du mal que d’elle-même » . Ce constat d’Augustin n’est-il pas d’une accablante actualité? En effet, Augustin par sa conception anthropologique se positionne contre tous les Protagoras (485-420 avant J.-C.) de ce monde qui affirment que « l’homme est la mesure de toute chose » et par conséquent qu’il n’y a pas de souverain bien : « (…) ceux mêmes qui ont un autre amour veulent que l’objet de cet amour soit la vérité; et refusant

la loi et la nature. Le Sophiste de façon général est marqué par le relativisme qui débouchés sur une opposition entre d'un côté la loi (nomos ici) et l'idée de nature (la physis). Et l'un des premiers sophistes a avoir développer ces contradictions entre la loi et la nature a été Protagoras (490-420 av JC) dont les propos ont été repris par un ouvrage éponyme de Platon intitulé Protagoras. La première idée développée par Protagoras: elle a consisté à dire que le juste et le honteux ne le sont pas

vertueux où je peux être vue et entendue. 5. Privé = En assemblée, on reconnaît la valeur d’un homme à ses idées et à ses capacités d’orateur. 6. Les Grecs confèrent donc une grande importance à la parole. Les sophistes Ancêtre : Antiption Protagoras, Gorgias, Prodicos, Lysias, Hippias et Cléon But : Avant de prendre au sérieux les thèses des présocratiques, on doit examiner nos facultés de connaître afin d’évaluer notre accessibilité à la vérité. 1. Nos connaissances ne valent que pour

être un progrès dans la connaissance car on passe ainsi d’une connaissance indirect à une connaissance direct. Toutefois le vécu ne permet pas d’accéder à une vérité universelle. En effet le vécu est par nature singulier. Tel est la conclusion de Protagoras «  à chacun sa vérité » puisque pour lui l’homme est la mesure de toute chose. On ne peut parvenir à partir du vécu qu’à une conclusion plus ou moins probable puisqu’une observation totale est impossible. -Que reste t-il dès lors que je remets

siècle avant J.-C. Avant être sophiste n’avait rien de péjoratif jusqu’au moment où Platon avait commencé a les mépriser. Les sophistes sont devenus des suspects aux yeux de pouvoir politique parce qu’ils prônaient un relativisme: l’homme “mesure de toutes choses” (dit par Protagoras), ce qui est fatal car cela veut dire que l’homme doit éduquer, sans autre référence que l’humain, donc sans éthique, justice ou vérité. Ces pratiquants de la rhétorique nous montre la puissance de la parole, mais aussi

la portée de tous des notions sacrées . Pour résumé les propos des sophiste, nous pouvons citée Archélaos « le juste et l’injuste ne sont pas par nature mais d’apres la lois » → Relativisme juridique . Ce positivisme juridique fondé sur le relativisme juridique . Ce relativisme nous le voyons essentielement dans Protagoras , maitre des sophiste , pr lui la lois est une convention , une sorte de contrat, pour mettre fin a un été anté-sociale (état de nature) lequel n’étais qu’un état de lute et de

 que tout est relatif au sujet qui perçoit. Protagoras  affirme à ce sujet : « l’homme est la mesure de toutes choses ». On parle alors de  relativisme absolu.  Il s’agit, dès lors, de savoir convaincre, de persuader. C’est pour cette raison que les  sophistes enseignaient la rhétorique.   On présente souvent les sophistes à travers les problèmes qu’ils ont légués. Mais on  remarque que la réalité est plus raffinée qu’on l’imagine. Alors que Protagoras et Gorgias  sont souvent mentionnés puisqu’ils apparaissent dans des dialogues de Platon

une recherche de la vérité en commun). Le sophiste fait l'apologie de la force. C'est-à-dire qu'il confond la force de l'argument avec l'argument de la force. Ils défendent le relativisme de la vérité : la vérité est pour chacun ce dont il peut-être persuadé. Il devient à la fois mesure et critère de la vérité. Protagoras _ « L'homme est mesure et critère de toute chose. Telles les choses me paraissent, telles elles me sont. Telles les choses te paraissent, telles elles te sont. » Le sophiste met

la persuasion et non de la raison → art de la conviction au mépris de la vérité = fondement : maitrise de la réthorique Pour la 1er fois, réflexion autour de la loi → la loi est humaine – Protagoras d'Abdère (vers 485 – vers 410 avant JC ) « l'homme est la mesure de toute chose » -Ainsi relativisme juridique = car elle est humaine → qui insinue une vission pessimiste de la justice et de la loi = car seuls les plus frts siège ds les institutions → loi source d'inégalités 2° philospohes