Protagoras Relativisme

eux, le théisme n’est qu’une dévalorisation de l’homme au profit d’une substance qui n’est pas connaissable. Malgré sa position plutôt agnostique que nous verrons plus tard, Protagoras dit : l’Homme est la mesure de toute chose. Cela signifie que l’homme n’est apte à croire que ce qu’il perçoit et conçoit. C’est du relativisme absolu. Il n’y a donc pas de bien universel, ni de justice, encore moins de vérité absolue. Une raison supplémentaire pour défendre l’athéisme. Les dogmes religieux ne sont

un ensemble figé de théories mais une pensée vivante qui questionne sans cesse. La philosophie est un art de vivre, une sagesse. Elle a été créée pour s’opposer aux sophistes qui prétendaient détenir la vérité. La philosophie cherche à éviter le relativisme c’est-à-dire à nier la valeur de la vérité. La philosophie se souci donc de repérer l’insuffisance des croyances pour atteindre la vérité. La philosophie peut se résumer à un travail de définitions. L’accès à la vérité passe par une analyse des

connaissances fondées sur les croyances 3- Recherche d'une vérité universelle > la vérité de chacun n'est pas universelle et de même les croyances ne sont pas universelles ( exemple des guerres de religion ) >Platon contre le relativisme de Protagoras : Pour Protagoras la vérité est relative à chaque individu et dans ce cas tout se vaut, rien ne peut être réfuté. Pour Platon cela va à l'encontre des principes de la science et de la morale B - Des croyances malgré tout 1- La place des croyances

vous reporter au texte de Nietzsche indiqué plus bas. Vous pouvez également penser aux analyses de Protagoras dans le Théétète de Platon lorsqu’il montre en quoi l’homme est « mesure de toutes choses ». Il s’agit alors de souligner que les valeurs n’existent pas en elles-mêmes. Pourtant, si on dit ainsi que le bien et le mal sont des valeurs conventionnelles, faut-il se résoudre à l’idée d’un relativisme qui affirme ainsi qu’il n’y a pas de valeurs en soi, universelles ? Dès lors, ne peut-on pas condamner

de certain phénomène perçu par les sens cela permet à l’esprit de progresser vers la véritéConnaissance : l’état de celui qui connait ou sait quelque chose4-Exemple ?5- Lien au sujet ?B) Chacun possède sa vérité et elles se valent toutes1-Protagoras +Relativisme : Chaque Humain possède sa vérité2-Chacun possède son point de vue sa vérité, et elles se valent toutes.3-Valeur : ce qui peut avoir un caractère ou un sens d'une importance précieuse et digne d'être estimée par un jugement4-Exemple5-Liens

, sous la démocratie de Périclès . Ces intellectuels étaient des métèques (des ressortissants d’autres cités grecques). Les sophistes restés célèbres parmi ces métèques sont Protagoras, Gorgias (connus par les dialogues de Platon), Prodicos de Céos, Hippias d’Elis ( moins connus ), Antiphon d’Athènes, etc. Ils enseignaient la morale et la rhétorique

ignorants. Cela a conduit certains à considérer que la vérité absolue n'existe pas : il y aurait en fait une vérité propre à chacun. C'est l'idée principale du relativisme. Le philosophe Protagoras énonce ainsi que « l'homme est la mesure de toutes choses » (c'est-à-dire « à chacun sa vérité »). On peut toutefois ajouter que, pour Platon, le relativisme est une erreur fondamentale. On ne peut nier l'universalité de la vérité : il faut dire « à chacun son opinion » mais jamais « à chacun sa vérité ».

ignorants. Cela a conduit certains à considérer que la vérité absolue n'existe pas : il y aurait en fait une vérité propre à chacun. C'est l'idée principale du relativisme. Le philosophe Protagoras énonce ainsi que « l'homme est la mesure de toutes choses » (c'est-à-dire « à chacun sa vérité »). On peut toutefois ajouter que, pour Platon, le relativisme est une erreur fondamentale. On ne peut nier l'universalité de la vérité : il faut dire « à chacun son opinion » mais jamais « à chacun sa vérité ».

relativises, dont le plus célèbre représentant est Protagoras, la vérité n'existe pas de manière absolue mais dans la relation à celui qui la perçoit. Chacun possède sa propre vérité et toutes les opinions se valent, ce qui revient à considérer que la vérité n'existe pas puisque rien de transcende la diversité de nos représentations. Mais si il n'y a plus que des opinions subjectives et des perceptions ressenties au moment présent, lors ce relativisme risque de se contredire de lui-même puisqu'il énonce

particulière. La vérité serait donc affaire de point de vue car elle dépendrait de chacun de nous. Mais est-ce que cela ne serait affirmer que tout est juste ? Ne réduirions pas ainsi la vérité à toute affirmation ? Ne la condamnerions pas au relativisme? Si la vérité est inscrite dans un espace et dans un temps, toujours liée à l’homme et à son discours sur le monde, peut-on encore parler de vérité et maintenir l’exigence d’universalité? C’est pourquoi il faudrait s’interroger sur les conditions