Protagoras Relativisme

perfectibilité humaine renvoie à la capacité des hommes à se perfectionner, à développer leurs facultés. Cela suppose que l'homme à l'origine n'est pas parfait, pas achevé. 2Le mythe de Prométhée Le mythe de Prométhée, raconté par Platon dans le Protagoras, illustre cette idée. Ce mythe décrit la façon dont les dieux, au moment de la création des races mortelles, confient à deux frères la tâche de répartir les qualités des espèces. Épiméthée donne ainsi aux animaux de la force, de la rapidité, des

tout homme qui, par son raisonnement séduisant, mais trompeur et spécieux, tente de convaincre son interlocuteur ou son auditoire. Originellement, ils enseignaient l’art de parler et de discuter. 9. Protagoras : l’idée de l’homme-mesure Le plus connu des sophistes. Père du relativisme. Selon lui, l’homme singulier est la mesure de toutes choses. 10. Gorgias : l’idée de discours Son discours et son éloquence fascinèrent les Athéniens. Le verbe « gorgianiser » en vint à signifier

vérité existe t-elle ? Le relativisme est l'idée selon laquelle chacun a sa vérité, elle nie l'existence d'une vérité absolue ou la possibilité pour l'esprit de la connaitre. Les héraults du relativisme sont Protagoras (Sophiste) et Auguste Comte(Positiviste) Socrate, père fondateur de la philosphie était opposé à la doctrine relativiste. Il n'a jamais écrit et tout ce que nous savons de Socrate fut reporté par son plus éminent disciple : Platon. Dans le relativisme, il n'y a pas besoin d'étudier

preuve : pour garantir la vérité d’une proposition, il faut produire une preuve ; mais celle-ci devra à son tour être prouvée, et ainsi par régression à l’infini. Il n’y a jamais de preuve définitive ; il vaut mieux suspendre son jugement. -Le relativisme : ‘’ A chacun sa vérité ‘’, on ne peut établir une vérité universelle et incertaine. -Les postulats : toute démonstration part de postulats indémontrés. -Diallèles (ou cercles vicieux, inférence réciproque) : une proposition est prouvée par une

dialogues dans lesquels Socrate discute souvent avec des sophistes pour analyser leurs raisonnements (ex : Sorcate et Ménon, texte vu en cours). Socrate étant diamétralement opposé aux sophistes s'y intéresse malgré tout pour leur concept de « relativisme de la vérité » selon lequel il n'existe qu'une vérité et c'est en la cherchant que l'on est dans le Bien, le Beau ou le Juste. La sophistique désigne à la fois le mouvement de pensée issu des Sophistes de l'époque de Socrate, mais aussi le développement

toute connaissance est fondée sur lʼexpérience) Protagoras : philosophe du Vème siècle avant J-C, il était sophiste. sophistes = sont les premiers qui ont eu lʼidée de se faire payer pour enseigner. Ils ont appuyé leur raisonnement sur un principe qui est celui que lʼHomme nʼattache de la valeur quʼà ce quʼil paye. Les sophistes formaient des médecins et des avocats : par la parole / le raisonnement ils faisaient passer des idées. Pour Protagoras, «lʼHomme est la mesure de toute chose». Cʼest

notre société, des idéalistes et des philosophes se sont demander s’il ne faut pas renoncer à la vérité. Ainsi, la vérité s’impose à certains tandis que d’autres nous apprennent à y renoncer. Mais les relativismes sont-ils tous de même valeur ? Un certain cynisme contemporain par scepticisme et relativisme ne s’autorise-t-il pas au pire ? D’où peut-on se placer pour affirmer qu’il faut renoncer à la vérité sinon déjà d’une certaine conception de la vérité ? Des attitudes sceptiques ou relativistes face

valable pour tous mais qu’elle dépend des époques, des modes de pensée, des circonstances… Le principe de la relativité de la vérité se résume dans l’histoire de la philosophie à travers la phrase de SOPHISTE PROTAGORAS : « l’homme est la mesure de toute chose » (relativisme de PROTAGORAS). Cela signifie que toute chose dans la vie est soumise à l’appréciation personnelle de l’homme qui est une appréciation subjective. La vérité ici n’est pas une et absolue : elle est plurielle et changeante selon

du relativisme. Cette position affirme que la vérité n’existe pas, mais pas au même sens que le scepticisme. Pour le relativisme, il y a en effet plusieurs vérités, c’est-à-dire autant de vérités que d’individus. Il n’y a donc plus une vérité mais des vérités relatives aux différents individus. C’est pourquoi on appelle cela le relativisme : parce que la vérité est relative à ce que chacun croit. Autrement dit, si deux personnes ont deux opinions différentes sur une même chose, le relativisme dira

l'homme, un être exclusivement culturel avec l'apparition de la culture, la réponse à un manque et le synonyme de progrès. Enfin nous finirons avec la diversité des cultures avec l'homme influencé par la culture, le risque de l'ethnocentrisme et le relativisme culture étant réaction à l'ethnocentrisme. En latin, le verbe colere (« cultiver » ou « habiter ») a donné le mot cultura, qui désigne l'action de cultiver la terre. Mais le terme de culture a ensuite pris un sens plus large : pour l'anthropologie