Psa Chaine De Valeur

externe (clients, investisseurs…) - Satisfaire les intérêts salariés. 17 1B – Evaluation d’une efficacité organisationnelle Efficience Economique Légitimité Auprès des groupes externes Composantes Efficacité organisationnelle Valeur des ressources humaines Pérennité organisation 18 1B – Evaluation d’une efficacité organisationnelle Efficience Economique Economie des ressources : Degré auquel l’organisation réduit la quantité des ressources utilisées tout

collectif, qui traduit l’attachement de La Fabrique de l’industrie à rendre compte de la diversité des points de vue. Nous souhaitons ici remercier chaleureusement le Cercle de l’Industrie et notamment François Gayet et Marianne Gicquel, Philippe Chollet (PSA), Sylvain Dorchner (Innoeco) ainsi que Lionel Fontagné (université Paris I Panthéon-Sorbonne) pour leur relecture attentive, qui a permis d’améliorer cette note. Nous tenons également à remercier vivement Jean-Paul Betbèze (Betbèze Conseil), Gabriel

édité 13 incoterms et la révision 2010 de la Chambre Commerce International, en a retenu 11. Dans ce chapitre nous présenterons la version 2010 de la chambre de commerce et par les lectures complémentaires nous allons assimiler la version 2000 I) LA CHAINE LOGISTIQUE INTERNATIONALE (à dessiner) II) REPARTITION EN MATIERE DE RISQUE En matière de risque : -EWX les risques du vendeur s’arrête au lieu indiqué (la sortie de l’usine) ; - FCA après la traversée de la douane; -FAS le long du navire qui

en combinant des ressources et le résultat de cette activité (la production d’un bien, la production des entreprises, etc….). Exemple : la production industrielle, la production agricole. En économie, la production est l'activité qui apporte de la valeur ajoutée par la réalisation de biens et de services. Elle consiste à transformer des facteurs de production (matières premières, produits intermédiaires, main d'œuvre, énergie…) en nouveaux produits. La production correspond à l'activité de création

du prix des exportations attractive pour les acheteurs américains et européens. Le taux de change du Yuan était jusqu’en 2005 uniquement fixé en $. Ainsi toute action des banques centrales asiatiques notamment chinoises avait une influence sur la valeur de la monnaie américaine et le financement de son déficit. En 2005 le solde du compte courant américain a même atteint sur l’année un déficit de 6% du PIB alors qu’il était régulièrement nul au début des années 90. Graphique du solde du compte courant

contre toutes les formes de discriminations. « Refléter la diversité de la population française, lui ressembler pour témoigner de la richesse d’une France plurielle : tel est l’objectif affiché, depuis quelques années, par les partis politiques, les chaînes de télévision, les grandes entreprises ou les établissements d’enseignement supérieur » constate G. CALVES (2005, p. 176). Mais si les politiques de promotion de l’égalité des chances visent généralement à assurer l’égalité d’accès aux principaux

préférable d’élaborer une "e-Supply Chain" spécifique plutôt que de chercher à faire évoluer les "Supply Chains" classiques. 6 1.3. Les liens entre "B to B" et "B to C" A plusieurs reprises nous avons insisté sur le continuum entre le système de relations avec le consommateur (B to C) et le système de relations avec les fournisseurs, les industriels et les prestataires logistiques (B to B) : cette approche est maintenant largement désignée par le terme SCM (Supply Chain Management). Le SCM englobe

cette culture est l’optique produit : l’entreprise ne se focalise plus alors sur la quantité de produits mais sur leur qualité souvent au détriment des attentes des clients. Cette culture peut être illustrée par les déclarations du Président de la chaîne Arte à son lancement : « Nous n’avons pas l’intention de suivre les suggestions de M.Audimat et de Mme Part de marché. Même si un tout petit nombre de téléspectateurs décide de regarder un opéra à 20H40, nous aurons gagné ». Un mois après, le nombre

je me suis alors posée la question suivante : Pourquoi la rationalisation du panel fournisseur constitue-t-elle un levier de compétitivité ? Pour répondre à cette question, je vais dans un premier temps présenter le service achats (son rôle, sa valeur ajoutée et ma mission au cœur du service). En deuxième partie, je présenterai le panel fournisseur et évoquerai le processus de qualification des fournisseurs. Puis, je définirai ce qu’est la rationalisation et pourquoi rationaliser : les avantages

stratégie mondiale des firmes françaises est commandée par la mondialisation mais sont-elles pour autant coupées du territoire national ? II. Crise ou mutation de l’espace industriel ? Depuis 25 ans, déclin de l’emploi industriel (-25%), mais valeur ajoutée industrielle, productivité industrielle (plus que doublé) et proportion de cadres et d’ingénieurs n’ont cessé d’augmenter… Crise sans précédent des anciennes structures, notamment industries de base, mais une nouvelle industrie émergente.