Qu Est Ce Que Comprendre Autrui

C'est donc à mon sens, uniquement lorsque le "soi" met sa raison d'être dans autrui. C'est tout de meme un interet (celui de sentir utile) mais c'est dangereux, car si autrui se détourne, le "soi" se trouve désespéré. Deux penchants nous poussent vers autrui: le besoin et le désir. L'homme naissant sans défenses et sans capacité de survivre de façon autonome, il est biologiquement dépendant d'autrui. Nous sommes liés à autrui par l'économie de nos besoins, la société se forme sur la division du travail

L'amitié est-elle la forme idéale du rapport à Autrui? Par définition, l’amitié est un attachement profond et désintéressé qui unit deux personnes, en dehors de liens familiaux ou amoureux.Chacun pense communément que l'amitié est une relation nécessaire dans la vie d'un individu et que c'est un simple lien reliant autrui à un autre possédant plusieurs points commun. Mais cela va bien plus loin que ça, surtout s'ils sont confrontés à des idées contraires. En effet, l'amitié engendre un réel

la notion d'obligation prime sur le droit qui lui est subordonné et relative c'est-à-dire que contrairement au droit, l'obligation existe par elle-même, elle est absolue. Le droit s'articule autour de l’obligation, pour la subordonnée il faut comprendre que le droit est dicté selon le devoir. De plus le droit est relatif, il n'existe pas par lui-même. L'idée commune que le devoir provient d'un droit et inversement, qu'un droit est toujours relatif à l'obligation ainsi opposer dans le texte.

Extraits de l'oeuvre de Mounier (Le Personnalisme) "Les conditions de la relation authentique à autrui : 1˚ Sortir de soi. La personne est une existence capable de se détacher d'elle-même, de se déposséder, de se décentrer pour devenir disponible à autrui. Pour la tradition personnaliste (chrétienne notamment) l'ascèse de la dépossession est l'ascèse centrale de la vie personnelle ; ne libère les autres ou le monde que celui qui s'est d'abord ainsi libéré lui-même. Les anciens parlaient de

est-il l'origine et la fin de l'art ? Une oeuvre d'art est-elle utile ? Peut-on convaincre autrui qu'une oeuvre d'art est belle ? Peut-on convaincre autrui qu'une oeuvre d'art est belle ? Autrui : La personne est - elle un objet ? Autrui est-il un autre moi-même ? Autrui peut-il être pour moi autre chose qu’un obstacle ou moyen ? Le respect n'est-il dû qu'à la personne ? Qui sont les autres ? Autrui est-il ce qui reste quand on a dépouille l'autre de tout ce qui fait sa singularité ? Vaincre

Faut-il avoir vécu un événement pour le comprendre ? Un événement peut être traduit comme un fait d'actualité, un fait marquant, en soi, un événement est tout ce qui se produit, arrive ou apparaît dans le temps. On peut donc relier un événement à la notion d'histoire. Or, l'histoire soulève plusieurs difficultés : il lui faut à la fois être objective et tenir compte de la dimension humaine et subjective des évènements (historiques). Un évènement peut-il être compris par tous, et y a t-il des conditions

Nous définissons autrui comme les autres hommes dans leur ensemble. Cela signifie que je ne comprends pas autrui comme étant seulement autre chose que moi, comme étant une chose parmi les choses. Il faut bien distinguer, à cet égard, la notion d'« autrui » et la notion d'« autre ». Tout ce qui est autre que moi (le monde des objets) n'est pas nécessairement autrui que je reconnais comme un sujet. Le problème que pose autrui est qu'il est à la fois autre que moi et autre moi. En d'autres termes

l’homme que lorsqu’il interagit avec d’autres hommes. Ce sont donc les interactions avec autrui qui permettent à la conscience de s’exprimer et d’avoir une utilité. En effet, ‘’autrui’’, c’est-à-dire un semblable à moi-même, plus précisément, un autre être conscient, tient une place importante dans l’expression de la conscience, notamment dans la conscience réfléchie. Avec cette dernière, on utilise autrui pour se faire une représentation de soi-même. On utilise le regard des autres pour changer

Est-il plus facile de connaître autrui que de se connaître soi-même ? (a) [Introduction] Justification du sujet Du fait de notre présence à nous-même, nous pensons généralement que nous sommes la personne que nous connaissons le mieux. Il arrive pourtant dans certaines situations que nous anticipions parfaitement la réaction d’un proche, ou que nous lui fassions découvrir un trait de sa personnalité qui lui était jusque là resté inaperçu. Aussi est-il légitime de retourner ce constat pour se demander

physique, beaucoup de gestes, de paroles et de symboles semblent y appartenir. Y’a-t-il une unité de la violence à travers ses différentes manifestations ? A l’évidence, la violence peut se comprendre comme l’exercice d’un mouvement, d’une force qui porte atteinte à autrui. Mais toute atteinte physique à autrui n’est pas violente, comme lorsqu’un médecin peut nous faire mal en nous soignant. C’est pourquoi pour être violente, une action doit être brutale, elle doit contenir une dimension d’excès,