Qualité De Commerçant

général se définit comme l’ensemble des règles applicables aux commerçants dans leurs exercices de leurs activités professionnelles, c’est le concept de commerçant =qui va appliquer la règle de droit mais cette notion n’est pas forcément celle qu’on utilise dans le langage courant elle comprend les commerçants, les négociants, les industriels et les prestataires de service. Ms le droit commercial reste attaché a cette notion de commerçants alors que le droit des affaires se définit comme l’ensemble

par des opérations d'échange qui se traduisent essentiellement par les opérations d'achat et de vente. 2/ l'industrie : c'est-à-dire la production et la transformation des biens. Sur le plan juridique, un industriel est un commerçant (le secteur industriel fait partie du commerce). 3/ la finance : c'est-à-dire les opérations de banque, de crédit, d'assurance et de bourse. C'est-à-dire que le droit commercial régit la majeure partie de l'activité économique

facteurs personnels (les qualités du professionnel), et matériels (l’emplacement, la qualité des produits vendus ou des services rendus). L’achalandage n’est au contraire qu’une virtualité de relations d’affaires liée à la qualité d’un emplacement. Alors que la clientèle, puisqu’elle est un élément du fonds de commerce, est un objet de propriété qui peut être vendu ou loué, l’achalandage n’appartient à personne et ne peut pas être cédé. Si on met à la disposition d’un commerçant un emplacement sans clientèle

exerçant des actes de commerce. 4 Les thèses en présence Le demandeur est l’institut musulman de la mosquée de Paris qui se pourvoit en cour de cassation. Le défendeur est Lahoucine, exerçant la profession de boucher, ayant la qualité de commerçant. 1 Rendu de la cour d’appel Pour sa part, la cour d’Appel estime que l’association de l’institut musulman fait régulièrement des actes de commerce et doit donc rembourser les livraisons du 10 octobre 1970 au 23 novembre 1971. En

applique ce qu’il y à de plus favorable au contribuable. Méthodologie du commentaire d’arrêt Titre : Analyse de l’arrêt : Juridiction, date, etc. 1) Parties en présence : * Demandeur au pourvoi : M/Mme/Mlle X, qualité * Défendeur au pourvoi : M/Mme/Mlle X, qualité 2) Rappel des faits 3) Procédure 4) Problématique juridique * Exprimée sous forme de question à laquelle on puisse répondre si possible par oui ou non * Rédigée de manière générale et impersonnelle

la qualité de commerçant Sont commerçants ceux qui ayant la qualité de l'exercice nécessaire, font en leur nom et pour leur compte des actes de commerce à tire de profession habituelle. Celui qui est commerçant fait des actes de commerce sont occupation constante de nature à subvenir à ses besoins, à tirer du bénéfice. Ces actes doivent être réalisés en son nom propre, c'est à dire que les cadres, les représentants, les administrateurs des sociétés commerciales ne sont pas des commerçants dans

société CPA prétendant que la chambre arbitrale de Paris était seule compétente, a soulevé une exception d’incompétence qui a été accueilli par le tribunal ; considérant qu’au soutien de son contredit, A. de Balliencourt fait valoir qu’il n’est pas commerçant ; qu’un acte de bourse n’est pas un acte de commerce par nature et qu’en conséquence la clause compromissoire invoquée n’étant pas valable, le Tribunal de grande instance est bien compétent pour connaître de la demande. Mais considérant que si

commerce est un bien au statut juridique original, une notion plus restreinte que celle d’entreprise, en sont exclus les immeubles ainsi que les créances et les dettes. En simplifiant, on peut le définir comme un ensemble de biens réunis par un commerçant qu’il soit personne physique ou morale, pour attirer une clientèle. Il n’existe aucune définition officielle du fonds de commerce, notamment dans la loi qui est muette à ce sujet. Les tentatives sont donc toutes doctrinales. La définition la plus

objectifs (article L. 110-1 code du commerce augmenté de la définition doctrinale). Ils sont qualifiés d'acte de commerce par nature ou objectifs parce que ce sont ceux dont l'exercice à titre habituel, professionnel et indépendant, confère la qualité de commerçant. Ils sont déterminés par les articles L 110-1 et L 110-2 du Code de commerce. Achat en vue de la revente : aucune distinction n'est faite aujourd'hui par le code entre les différents biens, dès lors que l'achat a été fait dans le but de revendre

JURIDIQUE DU FONDS DE COMMERCE : A- DEFINITION DU FONDS DE COMMERCE : O n appelle fonds de commerce l’ensemble des biens meubles qu’un commerçant organise et assemble pour conquérir une clientèle tels que le matériel, les stocks, le nom commercial… Autrement dit, le fonds de commerce est l’ensemble des éléments corporels et incorporels dont un commerçant a besoin pour exercer son activité commerciale. D’après l’article 79 du code de commerce : le fonds de commerce est bien meuble incorporel constitué