Questionnaire Incivilité

études ont montré qu’en France, 10,95 % des hommes et 12,78 % des femmes ont révélé avoir été exposés au moins une fois par semaine, dans un minimum de six mois, à des comportements hostiles appartenant aux quarante-cinq agissements décrits dans le questionnaire de Leymann (Annexe 1). Ces valeurs sont doublées systématiquement si le diagnostic ne prend pas en compte la fréquence temporelle établie par Leymann à savoir minimum 6 mois. (Grebot E. 2008). Les résultats de l’enquête SUMER publiés en 2006 ont

attribués au stress. Il existe pourtant de vraies victimes du harcèlement moral. Leur profil ressort des cas étudiés depuis la sortie du livre de Marie-France HIRIGOYEN. Ce phénomène à été observé à partir de témoignages mais également de questionnaires qui ont permis d’explorer les « franges » du harcèlement moral et de dépasser la dialectique trop réductrice du bourreau et de la victime en tenant compte du contexte. « Démêler le vrai du faux » titre très évocateur de ce recueil d’informations

perception qu’une personne a des contraintes que lui impose son environnement et la perception qu’elle a de ses propres ressources pour y faire face1 ». Si le stress au travail n’est pas un phénomène nouveau, le terme de risques psychosociaux (stress, incivilités, harcèlement) n’est passé que progressivement dans le vocabulaire courant : ses manifestations, ses conséquences, et sa visibilité se sont parallèlement accrues. Un salarié européen sur cinq déclare souffrir de troubles de santé liés au stress au

d’incasabilité. 1° Cadre d’analyse, objectifs et méthodologie : La littérature prolifique sur les jeunes dits difficiles privilégient trois entrées : l’organisation psychopathologique, les manifestations et comportements (a)sociaux (violence, délit, incivilité), et les formes de socialité et le positionnement social (l’organisation plus ou moins stable de la bande ou de « la galère » articulée avec le positionnement social, économique, géographique, culturel, voire ethnique). La situation juvénile de

la santé globale (mentale et physique) des salariés, appelés « risques psychosociaux » (RPS). Cette appellation est de plus en plus utilisée. Outre le stress, les risques psychosociaux incluent notamment les harcèlements moral et sexuel, les incivilités provenant des collègues ou de la clientèle, voire la violence au travail… Le lecteur le constatera, nous avons fait le choix, dans cet ouvrage, de ne pas ou peu évoquer ce concept, et de concentrer notre approche sur le stress. Nous pensons en

des adolescents scolarisés dans les établissements scolaires du second degré (Choquet et Ledoux, 1994). En partenariat avec l’Éducation nationale, les chercheurs ont constitué un échantillon représentatif de cette population scolaire et passé un questionnaire auprès de 12 391 individus répartis dans 578 classes de 186 établissements choisis dans 8 académies. Cette enquête indique 1) que la consommation de drogue est un peu plus forte chez les enfants de familles dissociées (divorces et séparation, décès) ;

l’arrivée de l’ambulance. À ce jour, 52 villes néerlandaises adhèrent à ce service, grâce à l’engagement de 8 718 bénévoles formés par Connexxion. « RACISM: IT STOPS WITH ME » : campagne nationale relayée par Transdev Australasia Face à la hausse des incivilités et des incidents racistes dans les transports publics, Transdev Australasia s’est associé à la campagne nationale de lutte contre le racisme « Racism: it stops with me », lancée en 2012. Cet engagement vise à offrir un environnement de travail plus

les tutelles au niveau national. Naturellement les associations d’usagers souhaitent également avoir des repères sur la qualité des soins selon les services. La mesure de la satisfaction s’appuie sur des moyens multiples, les plaintes, les questionnaires de sortie, mais aussi des enquêtes spécifiques ou générales menées à l’initiative des établissements. L’usage qui est fait de ces informations reste très hétérogène. Les plaintes des patients, adressées pour la plupart directement à l’établissement

considérés comme déviants ou anormaux. Le terme de violence scolaire est en effet aujourd'hui communément utilisé pour faire références à un éventail très large de faits. Les concepts dominants tels que comportements anti sociaux ou à risque, ou encore incivilités, sont révélateurs à cet égard. a) des définitions élargies de la violence reposant sur des conceptions différentes du phénomènes. Trois grandes notions : School bullying : harcèlement entre élèves (moqueries ou insultes, menace, coups, enfermer

respect des délais impartis, nécessité de prendre la responsabilité de décisions dans un environnement hautement contraint excluant le recours aux moyens qui paraîtraient nécessaires, absence de recours hiérarchique, confrontation aux multiple incivilités venues des usagers ou des clients. Et c’est ainsi que l’on en arrive à la problématique du stress. Les salariés de plus en plus fréquemment en situation de double contrainte L’évolution de la charge mentale de travail a fait l’objet de nombreuses