Recours en cassation

COMMENTAIRE D'ARRET de la chambre commerciale de la cour de cassation rendu 16 décembre 1997 (N° pourvoi : 95-18586) Faits Le demandeur, la RPM (ou MMM) intente une action pour réclamer 1° une indemnité pour avoir rompu le contrat sans préavis et 2° le prix d'utilisation de ses créations lors de l'année 1991. Le défendeur est le GIE. Rappel de procédure 1er degré On ne connait pas la décision du tribunal. Soit les juges du premier degré ont donné tort à la RPM (ou MMM) qui a ensuite

Caroline B. Commentaire de l’arrêt du 12 juillet 1989 : la cause Doc 1 : Civ 1ère 12 juillet 1989 Cet arrêt est une décision de la première chambre civile de la cour de cassation en date du 12 juillet 1989, qui porte sur la licéité de la cause du contrat. Dans cette affaire, M. Pirmamod, parapsychologue a vendu en 1981 divers ouvrages et matériels d’occultisme à Mme Guichard, pour la somme de 52 875 francs. Cette dernière n’ayant pas réglée la facture du 29 décembre 1982.

Il s’agit d’un arrêt de la Première Chambre civile de la Cour de cassation en date du 30 septembre 2009 qui aborde les notions de reconnaissance et des expertises biologiques et des motifs de ne pas y procéder. En l’espèce, en 1945, un homme reconnut une enfant, quelques jours après sa naissance. Ce lien de filiation est ensuite réaffirmé lors d’une donation notariée en octobre 2004. En 2006, le fils légitime de cet homme a assigné sa demi-sœur en annulation de cette reconnaissance, en se fondant

Civ. 1re 28 mars 2000 Il s’agit d’un arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation datant du 28 mars 2000 et concernant le recours à l’expertise biologique pour établir la filiation. Le 29 octobre 1994, Mme X a donné naissance à un enfant qui s’appelle Emmanuel. Cet enfant a été reconnu dans l’acte de naissance par M. Y qui prétend donc être son père. Or, le 26 juin 1995, la mère a formé une action en contestation de cette reconnaissance et a sollicité une expertise sanguine afin

Cour de cassation Page 1 sur 3 Imprimer la page Fermer la fenêtre Bulletin d'information n° 648 du 15/10/2006 COMMUNICATION DROIT EUROPÉEN > ACTUALITÉS > Titres et sommaires d'arrêts COUR DE CASSATION > Arrêts publiés intégralement > Titres et sommaires d'arrêts > Décisions des commissions et juridictions instituées auprès de la cour de cassation COURS ET TRIBUNAUX > Titres et Sommaires d'Arrêts COUR DE CASSATION Arrêts publiés intégralement ARRÊT DU 7 JUILLET 2006 RENDU PAR L'ASSEMBLÉE

suprême de l’ordre juridictionnel administratif. Il a aussi une multiple casquette, car au sein de sa fonction juridictionnelle, celle sur laquelle nous allons traiter, il y a une pluralité contentieuse. En effet, notre CE est certes juge de cassation, mais pas seulement. Il peut aussi être dans certaines hypothèses, juge d’appel. Plus encore, il peut être juge en premier et dernier ressort. Historique : Le CE est l’héritier d’un vieux organe. Il est l’héritier du Conseil du Roi. Le CE

préjudice de la locataire selon le moyen que le bailleur n'est tenu qu'à une obligation de sécurité de moyen envers le locataire donc que la cour d'appel a violé l'article 1147. De plus, La société Mon Logis appel en garanti la société Otis. Ce recours est exercé, car la société Mon logis estime que la société Otis doit lui être substituée dans les condamnations. Donc la société Mon logis se considère comme pas fautive, car la société Otis est chargé de la maintenant et de l'entretient complet de

d'exécution. La cour d'appel admet cependant que ces actes répondent à la définition de la complicité au sens de l'article 60 §1 du code pénal mais échappent à la repression en raison de la défaillance de R. Ainsi, le procureur général forme un pourvoi en cassation contre l'arrêt rendu par la cour d'appel de Paris le 16 novembre 1961. Le procureur général soutient que les agissements de Lacour, qui avait accompli tous les actes matériels devant aboutir à la consommation du crime constituaient un commencement

contradictoire : Avocat de la défense : est celui qui représente les intérêts du défendant ou de l'accusé. Avocat général : un magistrat du parquet, placé sous les ordres du procureur général, qui représente le ministère public devant la Cour de cassation, la Cour des comptes, les cours d'appel ou les cours d'assises. Avocat partie civile : Cour d’appel : la juridiction de droit commun du second degré. Il existe également des Cours administratives d'appel. Elles jugent des appels interjetés contre

L'exécution du contrat De l’exécution du contrat de bonne foi découlent d’autres obligations prévues par la jurisprudence, qui étend alors le contenu obligationel. Ainsi, l’arrêt du 24 novembre 1999 de la chambre commerciale de la Cour de cassation illustre les obligations de loyauté et de coopération auxquelles peuvent être soumises les parties. En l’espèce, les sociétés Groupe Danone, Brasseries Kronenbourg et Eaux minérales d’Evian confient à M.X, par un contrat d’agent commercial, la