Réflexions ou sentences et maximes morales

se définit comme une règle de conduite. Elle présente des caractéristiques propres qui la distinguent des autres règles de conduite (morale, religieuse). Les règles de droit se classent en institutions et en grande catégorie. Contrainte social qu’exerce les pouvoirs publics. Elle présente des caractères propre qui la distingue des autres règles de conduite (moral ou religieuse) mais pour s’intégrer au système juridique, les règles de droit s’organisent entre elle et ne reste pas disperser, elle

*Montaigne, Essais (1580-1588) (extraits) XVIIe siècle Malherbe, Poésies (1627) ∆*Descartes,  Discours de la méthode (1637) *Corneille, Le Cid (1636) ou Horace (1640) Scarron, Le Roman comique (1651-1657) *La Rochefoucauld, Réflexions ou sentences et maximes morales (1665) *La Fontaine, Fables (1665-1674) 2 *Molière, Tartuffe (1664) ou L’École   des   femmes   (1662) ou Dom Juan (1665) ou L’Avare (1668) *Pascal, Pensées (1669) ∆  Boileau,  L’Art  poétique (1674) *Racine, Phèdre (1677)

considérés comme des œuvres de « vengeance », d’autant plus que cette expression apparaît pas moins de quatorze fois dans La Duchesse de Langeais. Cependant, il est clair que ces trois textes ne sont pas de même nature. La Dézespérance d’amour est un conte moral qui ne fait que cinq pages5 et la « Confession » du Médecin de compagne est un monologue qui ne représente qu’un seul chapitre du roman, alors que La duchesse de Langeais est un roman complet, long de presque deux cents pages. Non seulement les événements

nécessaire, cette société permet le progrès de valeurs morales rationnelles (Liberté, Egalité, Fraternité), elle permet même une véritable régénération morale dont les valeurs sont universelles. Le pouvoir doit donc être administré par les savants, les ingénieurs, les banquiers, les industriels et les ouvriers, véritables acteurs de ce mode d’organisation sociale. Ce modèle presque technocratique permettrait d’accéder au bien commun, une finalité morale nécessaire. D’un point de vue social, cette société

Représentation philosophique de la victoire du bon principe, grâce à la fondation d’un règne de Dieu sur la terre. I. – De l’état de nature au point de vue moral II. – L’homme doit sortir de l’état de nature moral pour devenir membre d’une république morale III. – Le concept d’une république morale est le concept d’un peuple de Dieu gouverné par des lois morales IV. – L’idée d’un peuple de Dieu ne peut avoir (soumise à l’organisation humaine) son accomplissement que sous la forme d’une Eglise V. – La constitution

est presque aussi fameux que celui de la philosophie. C’est parce qu’il est le premier à se vouer entièrement à la recherche de la connaissance humaine, c’est-à-dire à une recherche dont la préoccupation première consiste à comprendre la nature morale de l’homme. Nous devons toutefois nuancer : la philosophie, essentiellement recherche de la connaissance, n’est pas « apparue », à proprement parler, avec Socrate. Les écrits des penseurs qui le précèdent, tels que Thalès, Anaxagore et Héraclite

renforcée par un parallélisme de construction. 20. Aphorisme - Sentence concise résumant une pensée, une théorie, ou exprimant un précepte (voir proverbe). 21. Apocryphe - Un texte apocryphe n'est pas authentique, son origine est douteuse. 22. Apologie - Discours présentant l'éloge ou la justification d'une personne ou d'une thèse. 23. Apologue - Court récit en prose (ou en vers) dont on tire une morale. Dans l'apologue, la morale est plus importante que l'art du récit ; c'est l'inverse dans

comme le rire satirique contribuent, de la même façon, à la dénonciation des maux de la société. Les ressources multiples de la fiction A. Le didactisme des fables, apologues et autres contes... *l'apologue, récit contenant une leçon morale, confirme le pouvoir des récits fictifs : les contes philosophiques de Voltaire [1694-1778] comme « Candide ou l'optimisme » (1759), qui dénoncent l'esclavagisme en Guyane hollandaise, l'Inquisition espagnole de Torquemada, les guerres féodales, le

au premier matin, bien que sachant impossible la chose » (p. 8). Et c’est pourtant exactement cela qu’il faut à Candide, et ce que propose le préfacier : une lecture qui rafraîchit et éclaire le texte, qui suggère pistes, qui offre documents et réflexions supplémentaires. On aime certes à lire dans Candide l’écho des combats de Voltaire. On y détecte une leçon de tolérance É la satire, et chef-d’œuvre de fantaisie et d’imagination : blouissant d’esprit, étincelant de malice, jubilatoire dans

invitons tous les hommes de bonne volonté à une réflexion de fond sur la dignité de la vie humaine spécialement dans la phase la plus précoce de son existence. Notre travail sera divisé en deux grandes parties. La première « l’embryon humain et son statut », exposera l’identité de l’embryon humain. La deuxième partie « le statut contemporain de l’embryon », nous présentera les droits fondamentaux qui doivent protéger la vie de l’embryon et les lois morales qui garantiront sa dignité en tant que personne