Relation Seigneur Et Vassal

qualités chevaleresques primordiales qui sont bien évidemment célébrées notamment le courage. En effet, dans cette geste, le courage est fortement mis en relief, on le glorifie. Nous avons par exemple le courage de Bernier, ce dernier va s’opposer à son seigneur Raoul de manière courageuse pour défendre les siens, les Vermandois. Il va mener une guerre sans arrêt pour défendre son lignage, il ne craint pas d’être tué pour venger sa mère, « N’aies en moi fiance- ceste colee n’iert ja mais sans pesance » il

pièce est, "la disconvenance sociale"( petite histoire d'une trilogie), c'est-à-dire, l'abus de pouvoir que le Comte exerce sur ses "vassaux". La relation hiérarchique féodale qui justifie une relation dominant/dominé est remise en cause et dénoncée , non seulement par ceux qui la subissent mais aussi par la Comtesse : il s'agit dés lors de démontrer que cette relation n'a plus lieu d'être à une époque en pleine mutation sociale ( rappelons que l'action de la pièce se situe en 1768). Figaro est le

d’autres couvrent un champ sémantique plus complexe et posent parfois problème aux historiens qui cherchent à en saisir la portée. Barones est de ceux-là : suivant les sources et les contextes, le mot désigne tantôt l’ensemble des vassaux assemblés autour de leur seigneur, pour l’aider à faire la guerre ou à rendre la justice, tantôt une élite restreinte au sein de la noblesse d’un royaume ou… d’une troupe de chevaliers attachés à une forteresse1. C’est une appellation plus rare, celle de « pairs »

contribué à assurer la conservation et transmission du droit romain → à partir du 10e s., mise en place féodalité (morcellement du pouvoir) suite au déclin de la royauté franque → royauté franque, importance rapports personnels entre roi et sujets, relations d’homme à homme → Roi = chef d’une troupe de guerriers, exerce droit de propriété sur royaume tiré de la conquête ou de l'héritage, fidélité des sujets contre protection, justice et argent, accède au trône par succession mais élu car acclamé en

l’intervention d’un tiers… 2. La relation sociale : a. Constituants : si l’action sociale peut provenir d’un ou plusieurs agents, il y a relation sociale quant le comportement de plusieurs individus sont réglés sur celui des autres et orientés en conséquence. * La relation sociale suppose que l’action sociale est réciproque, non unilatérale. * Son contenu peut ainsi varier à l’infini. Il peut s’agir : * D’Entente : le contenu d’une relation sociale peut se baser sur une entente

description du monde qui est faite, il paraît intéressant de noter que la découverte du nouveau monde est noté comme l’évènement le plus important de l’histoire. Exception faite de « l’incarnation et la mort de celui qui l’a crée »L4 qui référent donc au seigneur, seul événement surpassant la récente découverte.Effectivement, dès les premières descriptions faite de ce que l’on trouve en Amériques, des mentions faites à la toute puissance du créateur renvoie à l’influence chrétienne. Entre la ligne 8 et 10

au contraire que le processus complexe de création de cette forme d'État s'est accompagné d'une série d'affrontements entre les seigneurs, chacun possédant son domaine d'influence et voulant

l’aristocratie franque, l’une de ses missions, est de faire en sorte que le roi ne se prenne pas trop au sérieux, qu’il ne gêne pas les intérêts des grands, cela consiste à laisser les grands en toute indépendance sur leur domaine, il entretient des relations avec les hommes importants et qui ont de l’influence dans le royaume. L’habilité du maire du Palais : il a su se rendre indispensable de telle sorte que sa fonction est devenue héréditaire. Il arrive que le royaume se partage,

commencent a se re développer et la croissance de la population ainsi que la reprise des relations économiques vont amener les villes a repousser leurs fortifications de plus en plus loin , créant ce que l’on appelle les faubourgs , étymologiquement en dehors du bourg peuplés d’artisans et commerçants . -Des villes nouvelles se créent , parfois spontanément dans un lieu favorable ou a l’initiative d’un seigneur (exemple de Montauban crée en 1144 par le comte de Toulouse ) , on délimite un terrain

de royaumes centralisés et d’une unité territoriale. A cette époque, la vie des hommes était régie par les liens d’homme à homme encore appelé système féodal dans lequel les grands seigneurs étaient maitres absolus dans leurs domaines et le pouvoir du roi s’exerçait et dépendait de la fidélité et du nombre de ses vassaux, de ses ressources et des richesses de son propre domaine. Mais à partir du XVIème siècle, l’on remarque un changement de situation ; les Etats, plus précisément les monarchies vont