Relativisme

semble enfin déboucher sur un relativisme qui abolit tous les principes fermes. C'est ce reproche qui sous-tend les critiques qu'Ernst Troeltsch, Wilhelm Windelband et Edmund Husserl ont adressé à la « critique de la raison historique » que prônait Wilhelm Dilthey. Les débats sur le « problème de e l'historicisme », qui se sont multipliés au début du xx siècle, visent la plupart du temps l'objectivisme historique, et notamment un relativisme censé subvertir le savoir

qui semble l’emporter ? Il penche vers L.C : o La thèse de L.C semble l’intéresser (cultures relativistes) o Il ne l’interrompt pas o Il reprend l’argumentation de la relativité des cultures en l’approuvant Apport du relativisme à la thèse de Sepulveda : o « certains d’entre eux »l.135 o Impossibilité de distinguer si les indiens sont sincères dans l’imitation ou s’il s’agit de faiblesse o Il demande d’autres arguments à Sepulveda : il n’est pas convaincu

Socrate, c’est au contraire faire triompher la vérité – celle-ci ne dépendant nullement de celui qui l’énonce. Si « l’homme mesure de toutes choses » devient la vérité, ce n’est peut-être pas dans le sens où, comme le suggère une première lecture, le relativisme de Protagoras est considéré comme la vérité. Il nous semble qu’il faut plutôt lire la dernière phrase dans le sens d’une substitution de l’idée de vérité (socratique) à l’idée (protagoréenne) d’homme-mesure7. Quintessence de la sophistique : Socrate

parSilanion pour l'Académie vers 370 av. J.-C., Centrale Montemartini. Pour Platon, les sophistes ne sont pas un simple repoussoir, mais des adversaires sérieux dont les doctrines méritent d'être combattues. Socrate attaque les sophistes qui, par leur relativisme et leur nominalisme, sont les ennemis de l'idéalisme platonicien. Platon ne critique cependant que modérément les « grands » sophistes : les dialogues de Platon mettent en scène des joutes entre des disciples de ceux-ci et Socrate, qui en vient

tradition et à la modernité qui peuvent être contradictoires[4]. Tradition et modernité désignent ici des mouvements historiques ; ce qui impose également de faire preuve d'un relativisme historique quand on souhaite traiter des problématiques liées à la drogue. Ce relativisme historique est aussi important que le relativisme culturel évoqué plus haut[4]. Les représentations collectives de la drogue Dans les années 1960 et notamment dans les sociétés occidentales, le terme drogue prend progressivement

aient des opinions différentes, leur imposant la censure. Il faut donc valoriser la liberté d’expression. Argumentation de Protagoras Si l’on se fie à Protagoras, le sophiste né en 485 av. J.-C. et mort en 420 av. J.-C., grand défenseur du relativisme, la liberté se doit d’être plus valorisée pour le bien de la démocratie. Prenons l’exemple de son fragment : « L'homme est la mesure de toute chose : de celles qui sont, du fait qu’elles sont; de celles qui ne sont pas, du fait qu’elles ne sont

Exposition and Critique of an Ethical Theory CR (Cultural Relativism) is one of the many available ethical theories, that proclaims being correct. In order to explain the theory a definition, fallowed by a description of a key argument of cultural relativism will be given. Finally before assessing Cultural Relativism a criticism of the theory will be presented by raising objections against it. An overview of an ethical theory can be given by studying the six key categories, source, selection

(ISAMBERT, François-André, « Un « programme fort » en sociologie de la science ? A propose de plusieurs ouvrages de sociologie de la science », In: Revue française de sociologie, 26-3, 1985. pp. 485-508) Les différentes critiques sont donc un relativisme poussé, mais nié. Et une critique qui détruit l’analyse elle-même. Les Microbes, guerre et paix « C'est en un sens une analyse historique très classique de la manière dont le pasteurisme a pu s'imposer. A partir d'analyses de la Revue scientifique

Grondin valorise majoritairement l’accès à la vérité, sur laquelle une question se pose : la vérité et l’être sont-ils réellement accessibles ? La thèse de l’auteur sera présentée, puis s’ensuivra la thèse soutenue des divins pour en finir avec le relativisme. À première vue, l’auteur soutient la thèse suivante : «Si la vérité et l’être sont inaccessibles, la vraisemblance, l’apparence et le succès oratoire ne le sont pas»1. Ce que l’auteur tient à dire est que s’il n’est pas possible d’accéder à

des différents points de vue. Mais la tolérance exige-t-elle la reconnaissance de la pluralité des vérités ? Après tout, dire : "à chacun sa vérité" et l’accepter, n’est-ce pas la condition pour é viter les conflits ? C'est ce qu'on appelle du Relativisme absolu. Il n'y a pas de vérité absolu, pas de bien et de mal absolu. tout n'est que question d'époque, de société, d'individu. D'un côté, ça peut être une preuve de tolérance, mais on peut tomber dans l'extrême et ça devient du laxisme.