Religion naturelle

tient à faire passer une notion qui est l’unicité de la religion. Nous utiliserons Bergson, Rousseau et Feuerbach pour critiquer la thèse de l’auteur. Tout d’abord Kant parle d’une religion qui n’est pas ancrée dans la conscience. Bergson appelle cette forme de religion la religion statique. L’auteur dit « Quant la religion ne se joint pas à la conscience morale elle est aussi sans effet » (l12). Or la thèse est dérangeante car la religion statique permet de s’organiser socialement dans la réalité

Lectures Analytiques : 1 – Hymne des étoiles, Ronsard Intro : Ronsard, poète humaniste de la Pléiade, s’inspire de la philosophie naturelle d’Aristote pour décrire l’influence du ciel sur la Terre. Dans ce poème avec une alternance de quatrains d’octosyllabes et de sizains d’hexasyllabes, il conseille d’apprendre à lire dans les étoiles le destin de toute chose. I. Attitude des humains face aux étoiles A. Admiration du poète Note leur beauté dans la nuit, c’est un moment d’inspiration

voire Parisien. Même Voltaire a besoin de la religion pour faire tourner ses « fabriques »]. On arrive donc à une littérature d’idées. On n’arrive pas à concevoir une société sans morale ; pour que cette morale existe, on a besoin de la religion. La grande question du XVIII° siècle est : comment fabriquer un citoyen vertueux ? (Diderot : comment avoir une société d’athées vertueuse, morale. Voltaire : lutte contre l’intolérance, l’infâme, la religion catho-lique). C’est avec Bayle que l’on peut

régis par les mêmes sources de droit. La religion a longtemps été à l’origine des règles de droit, c’est-à-dire des règles de conduite dans les rapports sociaux, par l’intermédiaire du Clergé et du roi, l’envoyé de Dieu sur Terre. Suite à la Révolution française, et à la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen, la place de la religion en matière de Droit a commencé à diminuer dans la société au profit des différentes Constitutions. Le Droit et la religion sont définitivement séparés en 1905 (Loi

1 La religion civile de Jean-Jacques Rousseau Conférence de Ghislain Waterlot (Université de Genève) donnée aux Charmettes, le 20 juin 2009. [Introduction] Je suis heureux de me trouver aux Charmettes ce soir pour réfléchir avec vous sur le concept de religion civile, dont Rousseau est le créateur. Je suis convaincu que ce moment théorique du Contrat social est capital1 si nous voulons comprendre, par exemple, ce qui est en jeu aux Etats-Unis d’Amérique, quand on parle de « religion civile

Valeurs humanistes : la religion : Montaigne; la religion : Montaigne et l'Humanisme (II): Religion, Théologie et Politique L’humanisme, comme on l’a vu dans le dernier billet, est une réforme des connaissances pour rendre la vie de l’homme meilleur. Tous les champs du savoir ont été touchés, y compris la théologie. Montaigne fut attentif aux conséquences de l’humanisme sur la théologie. En effet, il traduisit (du latin au français) une œuvre d’un théologien, Raymond Sebond, et la partie des

La religion, qui a toujours marqué l'histoire humaine, apparaît comme un phénomène culturel complexe et diversifié. Son rapport avec la raison est également complexe : souvent opposés, raison et foi finissent par paraître interdépendantes. Finalement, la religion a souvent fait l'objet de critiques, on peut donc se poser la question de la légitimité d'un monde sans religion. ILa religion, un phénomène diversifié et complexe AL'origine de la religion 1L'origine étymologique L'étymologie ambiguë

1 - Les différentes religions Japonaises Nous pouvons distinguer , au Japon, la présence de nombreuses religions telles que le Bouddhisme, le Christianisme, le Shintoïsme ainsi que des « Religions diverses ».En effet , au Japon, chacun est libre de choisir sa religion, la liberté de » religion est garantie à tous. Les organisations religieuses jouissent toutes aujourd’hui, de la plus totale liberté pour l’exercice de leurs croyances. Le Bouddhisme et le Christianisme sont d’origine étrangère

en lui les ressource pour faire face à la vérité en tant qu’homme libre Problématique : - Est-ce un besoin fondamental de l'homme ? Est-il naturel voire nécessaire pour lui de croire en l’existence d’un Dieu, d’espérer un salut éternel ? - Mais peut-être ce besoin est-il de nature plus sociale et politique que réellement métaphysique ? La religion ne serait-elle pas alors un prétexte (afin de préserver un ordre social ou justifier une révolution, etc.) plutôt qu’un motif sincère et légitime

Y’a-t-il incompatibilité entre science et religion ? La pensée scientifique repousse sans cesse les frontières du connu. Ce faisant, comme le note la philosophe Dominique Lecourt, sa démarche « implique un risque d’erreur » qui « retire donc par principe à cette pensée toute garantie absolue de certitude ». La pensée religieuse, au contraire, se tourne « vers une vérité préalablement donnée ». Elle est profondément animée d’une certitude intérieure, dont témoignent ces mots du Christ: « Tu ne