Remarques Finales Bergson

les autres entrées du mot retrouvent cette| |valeur ; on nous donne du reste comme antonymes d'universel les mots « particulier » et « individuel ». | |Nous reprendrons ces remarques par la suite mais il n'est pas sans intérêt de s'arrêter à certains des mots de la famille d' »universel » et à leurs sens. | |- Ainsi « univers » : ensemble de tout ce qui existe, totalité des choses.

l’humanité, religion des esprits, religion chamanique. - Polythéisme :un groupe structuré de divinités : Egypte, Chaldée, Grèce,Rome, Amérique centrale, etc. - Monothéisme : Dieu unique : Judaisme , Christianisme, Islam. On peut remarquer ici que la puissance des Dieux est fonction de leur nombre, un lien et une évolution entre ces trois formes est concevable : Voir partie critique : Ludwig Feuerbach. . Les religions orientales forment des cas particuliers (Hindouisme ou Bouddhisme)

(Genette, 2002, p.148). Ce dernier terme, le rire, éponyme de la fameuse étude d’Henri Bergson datant de 1899, a effectivement longtemps été associé au comique. Souscrivons donc à cette acception du terme comique, comme le conçoit Bergson, et qualifions comme équivalents : comique (que ce soit l’adjectif ou le substantif) et risible. En revanche il faut dire que les études du comique, au XIXème siècle, comme celle de Bergson, ou celle de Freud, Le mot d’esprit et sa relation à l’inconscient, n’ont pas particulièrement

de la musique : « Elle me donne des sensations abstraites, des figures  délicieuses de tout ce que j'aime, — du changement, du mouvement,  du mélange, du flux, de la transformation. » Et la musique qui épouse  si fluidement la métaphysique d'un Schopenhauer et d'un Bergson se  trouve  à  sa  place,  comme  atmosphère  et  comme  symbole,  autour  du  monde de Valéry, — synthèse mystérieuse de ces deux immatériels, le  nombre et la poésie pure.  Vous semblez, dit l'auteur à Teste, c'est­à­dire à sa propre image, à  l'une 

obtenir seulement des augmentations de salaire mais de se donner pour but l’abolition du salariat. « Au reste, et tout à fait en dehors de la servitude générale qu’implique le système des salaires, les travailleurs ne doivent pas s’exagérer le résultat final de ces luttes quotidiennes. Qu’ils ne l’oublient pas : ils combattent les effets, non pas les causes ; ils retardent la descente, ils n’en changent point la direction ; ils appliquent des palliatifs, mais ne guérissent pas la maladie. Qu’ils aient

et les habitudes du maître pour fabriquer la marchandise, la technologie donne une instruction approfondie et selon un ordre systématique, permettant de trouver à partir de principes véritables et d'expériences sûres, les moyens d'atteindre ce but final et d'expliquer et de tirer parti des phénomènes qui apparaissent pendant le traitement. » Dans la première définition la technologie est une forme spéciale de technique (une technique scientifique), dans la seconde la technologie prend pour objet la

sera exactement son œuvre une fois achevée. Tout n’est pas déterminé à l’avance. L’artiste est porteur d’une intention mais tout n’es pas décidé. ALAIN « il est spectateur de son œuvre en train de naitre ». Le technicien sait à l’avance la forme finale exacte du produit qu’il va réaliser. Il pré-voit. L’artiste laisse place à son imagination (improvisation) tout au long du processus créatif. Ex : peintre qui créé des couleurs. Le technicien sait comment il va procéder, il planifie son action, l’ordre

prolongement de la pensée, une concrétisation de la réflexion humaine ? Il est en effet courant de penser que l'Homo sapiens (homme savant) est avant tout un Homo faber, un être capable de fabriquer des outils. C'est l'idée du philosophe Henri Bergson. Pour Bergson, la capacité de fabriquer indéfiniment de nouveaux outils, ainsi que la capacité de varier l'usage possible de chaque outil déjà créé, est la marque de l'intelligence proprement humaine. "En définitive, l'intelligence, envisagée dans ce qui

première de nos actes: la cause efficiente de mon action est ma decision et non pas quelques causes cachés dont je n'aurais pas conscience. Ma décision (cause efficiante) est quand à elle fondée sur des raisons ou motifs, c'est à dire des causes finales non contrénante qui indiquent le but et le pour quoi. Deux arguments appuies cette croyance en la liberté: 1- Le fait subjectif, d'éprouver des sentiments comme le regret, le remords ou la culpabilité qui semble témoigner du fait que j'aurais plus

créateur élargit l’ego et pousse la société à évoluer, un travail créateur est porteur d’une générosité par définition non égoïste. Cependant dépasser l’égoïsme n’implique pas un dépassement d’une vision du monde égocentrique au sens d’une vision au final toujours ramenée à notre personne même si elle la rend plus vaste et plus ouverte. Le travail créateur peut créer une personnalité démesurée, titanesque dont les excès pourraient bien être destructeur. L’inventeur d’une nouvelle technologie, malgré