Remarques Finales Bergson

le fait d'ajouter ou de supprimer des épisodes n'altère en rien son unité interne. Camille Pitollet (1946) observe une contradiction entre le «plan initial» du Lazarillo de Tormes, perceptible dans les trois premiers chapitres, et la «réalisation finale», perceptible au niveau de l'ensemble de l'oeuvre. A ses yeux, le texte du Lazarillo parvenu jusqu'à nous reproduit de façon fragmentaire et altérée, un texte original disparu. C'est la raison pour laquelle l'anonyme est une oeuvre inachevée, incomplète

beau n’est pas « l’agréable » Le beau n’est pas « le bien ». L’universalité du jugement de goût Conclusion Sujets de dissertation BAC Corrélats (série L) : la conscience, l’inconscient; la liberté ; le travail ; le langage (texte de Bergson) ; le désir ; l’interprétation.Traitement: « l'art nous détourne-t-il de la réalité? ». L'ART ET LA TECHNIQUE: INTRODUCTION. Art et technique sont deux activités humaines, car elles présupposent toutes deux, la possession de la conscience. Toutes

« manie », un rêve utopique de « fêtes futures » (« Catholicisme »), où le poète aurait un rôle central. Si l’on cherche à préciser les contours de ce rêve, comme l’a clairement fait Bertrand Marchal dans son ouvrage, La Religion de Mallarmé, on remarque que deux modèles sont suggérés, celui, démocratique, d’une récitation publique de « l’Ode » (cf. notamment « Solennité »), et celui, plus aristocratique, du rituel académique (cf. notamment « La Cour » et « Sauvegarde »). Cette promesse et ces rêves

tous les arbres, parce que nous avons, contrairement aux animaux, la faculté de ne voir dans cet arbre-ci qu'un exemplaire de ce que nomme le mot « arbre » (le concept d'arbre). 5. Le langage ne sert-il qu'à communiquer ? • Comme l'a montré Bergson, les mots désignent des concepts généraux, et non des choses singulières. Le langage simplifie donc le monde et l'appauvrit : il nous sert d'abord à y imposer un ordre en classant les choses par ressemblances. • Le langage ne fait donc pas que décrire

au texte d'origine _ enchaînement: utiliser des transitions malgré le souci d'économiser des mots exemples de conjonctions: ainsi, aussi, mais, cependant, quoique, de même... _ écriture, style: ne pas mettre de parenthèses (elles indiquent une remarque, un exemple, bref, une idée secondaire... et donc à supprimer !) éviter les deux points qui débouchent sur une très longue énumération éviter les phrases alambiquées (privilégier les phrases courtes) utiliser des synonymes, un vocabulaire approprié

Le cas Voltaire Agnès de Ferluc et Paul-Victor Desarbres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 99 La foi à l’épreuve du scandale chez Kierkegaard Marina Seretti . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 Bergson et le mysticisme Marie-Nil Chounet . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117 Lecture du Drame de l’humanisme athée d’Henri de Lubac Jeanne-Marie Martin . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Montaigne dira dans la même veine : «  Le monde est comme une branloire pérenne » Donc le philosophe prone une philosophe de détachement . Cela ne veux pas dire qu'il pronne une philosophie de l’indifférence 2) L'amour du présent épithète et Marcorelle remarque que notre conscience est le plus souvent tourner vers le passé nostalgique ou vers l'avenir en attente de quelle que choses . Or ni le passé ni l'avenir non de réalité ce sont des non être . Pendant ce temps tout occupé que nous sommes a la nostalgie

question de l'essence, qu'est-ce ? Les constituants réclament une structure. 3ème cause : la cause efficiente : une force motrice, le travail de l'artiste qui a permis d'effectuer la statue. Pourquoi la statue existe-elle ? 4ème cause : cause finale de la statue : but qui intervient pour expliquer la statue (répondre à la commande). Pour quoi, en vue de quoi cette statue existe-elle ? Le concept de cause n'est pas scientifique, il peut être critiqué. Nous retiendrons 4 critiques : la

« sentiment » (qui « s'exprimerait » du mieux qu'il pourrait », ni une simple « façon de parler » (qui n'exprimerait rien): c'est précisément une forme, une manière qu'a le langage de diviser et d'ordonner à la fois les mots et les choses » (G.). Question finale: Le critique est il un écrivain? Il faut considérer que « le critique ne peut se dire pleinement critique s'il n'est pas entré lui aussi dans ce qu'il faut bien appeler le vertige ou si l'on préfère, le jeu, captivant et mortel, de l'écriture. Comme

". Mais en outre, c'est aussi le problème de la finalité qui est implicitement posé : " pour-quoi ", c'est-à-dire, en vue de quoi, dans quel but ? Pour revenir précisément à la question, que nous apporte le pouvoir de dire non ? On peut d'abord remarquer que le non est un mot, il suppose le langage (première différence avec l'animal). Le non suppose aussi la réflexion : je sais pourquoi je ne veux pas ou pourquoi je veux. Le non renvoie alors à la présence en nous de la raison (autre différence fondamentale)