Renforcement Autorité Gouvernementale Sous La Vème

peuvent pas juger l'administration, s'ils le faisaient, ils empièteraient sur le domaine d'action de l'exécutif et violerait le principe de séparation des pouvoirs. Dés 1791 ( première Constitution ) à été posé le principe de la séparation des autorités administratives et judiciaires. Cette séparation explique aussi que les ministres et le Chef de l'État ne sont pas jugés par les tribunaux ordinaires. Une séparation au plan vertical : Montesquieu affirme qu'une séparation du pouvoir

les tribunaux. » Ce qui recouvre : - L’ensemble des agents et des autorités étatiques relevant du pouvoir exécutif, c’est-à-dire le Gouvernement et les organes centraux ou locaux qui en dépendent (ministères, préfectures, services déconcentrés) - Les personnes publiques décentralisées, les unes territoriales (les collectivités territoriales), les autres spécialisées (Etablissements Publics, Groupements d’Intérêt Public, Autorités Publiques Indépendantes). Rq : cette administration ainsi définie

politiques. On peut voir se dessiner la carte de l’Europe aujourd’hui. Durant cette période marquée par un morcellement politique, on va voir que sans tenir compte des frontières, il y aura une création d’une nouvelle unité (restauration de l’Empire sous Charlemagne). C’est une forme d’unité de l’Europe. A l’époque du Bas Empire Romain, on voit se dessiner les éléments qui vont permettre cette reconstruction politique de l’Europe Occidentale. A la fin du 3ème siècle, le gouvernement romain va partager

le mot pouvoir est synonyme de gouvernant. Et ce mot pouvoir dans la tête de quelqu’un revient à l’Etat. Dans une deuxième perspective, le pouvoir apparait comme un capital au sens économique du terme.  Par exemple, l’idée de dire avoir du pouvoir sous-entend la possibilité d’accroitre ou de réduire le pouvoir que l’on possède comme un patrimoine. Dans une troisième perspective, le mot pouvoir renvoie à une relation entre deux personnes, c’est l’expression avoir du pouvoir sur quelqu’un. C’est l’idée

Chéron-Matter), n’ont pas débouché sur des réformes concrètes des politiques criminelles. Cependant, il y a eu des réformes ponctuelles qui ont tenté de concilier la liberté individuelle (réforme de la détention provisoire) et le maintien de l’ordre. Puis sous Vichy, le maintien de l’ordre devient prioritaire même si dans les faits l’Occupation a été un âge d’or pour la pègre. 1-1 Préserver les libertés individuelles Les gouvernements de l’entre-deux-guerres n’ont pas défini de réelle politique criminelle

La France tente d'approcher l'Italie qui elle est en conflit avec l’Autriche. L'irrédentisme est une doctrine qui a été énoncé par des nationalistes italiens. Ceux-ci revendiquent l'annexion des territoires de langue italienne dont une partie était sous l'emprise de l'empire austro hongrois. Un accord secret est conclut entre la France et l’Italie en 1902. L'Italie s'engage à conserver sa neutralité en cas de conflit franco-allemand. Au Début du XXème siècle, l'Angleterre s'éloigne de l'Allemagne

leur fiscalité a également évolué, pour que l’on applique une politique de redistribution via les budgets. L’Etat providence : l’Etat intervient +++ dans l’économie. On assiste aujourd’hui à un « relatif retour » aux conceptions libérales, mais sous une forme plus encadrée, « moins sauvage »… En tout état de cause, le budget de l’Etat n’est jamais neutre. Dans un Etat démocratique, on va rechercher à assurer un équilibre général dans la vie de la société. Paradoxalement, pour atteindre cet équilibre

un Etat légitime qui est amené à développer ses interventions. En fait, cette période consacre l’arrivée massive des experts dans l’administration fédérale. Kennedy les mobilisait pour aider à régler les derniers problèmes de la société américaine. Sous Johnson, les objectifs se doublent de l’idée de rationalisation de l’Etat (légitime). Tout bien considéré, l’analyse des politiques publiques a une visée explicitement performative. En outre, l’époque des années 1960 semble prise d’un certain

particulières. C'est-à-dire que l’Etat n’est pas obligé de faire une dépense décidée dans la loi de finance sauf si il a un caractère obligatoire pour d’autres raisons [ex : salaire des fonctionnaires] Avec l’euro l’Etat transfert sa compétence à une autorité qui le dépasse. Le pouvoir de battre monnaie est un pouvoir de l’Etat seul. L’Etat n’est pas libre dans la gestion des FP. Tout un ensemble de règles juridiques strictes qui enchainent l’Etat, alors que la personne privée fait ce qu’elle veut de

partage du pouvoir, il va suffire d’un simple changement de forme : au lieu de rédiger une pétition qui la plupart du temps demande au roi la rédaction d’une loi, la chambre des Communes puis la chambre des Lords vont directement rédiger des pétitions sous forme de projets de lois (bill). Cela a pour conséquence que quand ce projet aura été adopté par les 2 chambres et présenté au roi, celui-ci n’aura plus qu’une alternative : soit le rejeter (droit de veto), soit l’accepter, donner son assentiment ;