Res Publica

choisi est fort car il fait référence à leur Cité au sens de la Communauté des Hommes, la vie en société et par le féminin. Par conséquent, la femme en tant qu’individu qui veut être partie intégrante de la Cité. La république (provient du latin res publica) intéresse tous les individus, Hommes et Femmes qui désirent l’égalité des deux sexes « Nous engageons tous les partisans de l’égalité humaine à se liguer avec nous » (l-35). Mais dans ce journal, on s’arrêtera sur le déictique « ce » a comme objet

connue que dans les grandes lignes2. Son époque est marquée par le renouveau du royaume de Macédoine et le déclin de l’influence de la démocratie athénienne. Idéologies Politiques HOBBES La « république » envisagée par Hobbes est vue comme res publica, pouvoir mis en commun pour « régenter » la chose publique permettant de tenir en respect la libre volonté de chacun et d’agir dans le sens de l’acquisition d’avantages communs. Hobbes pense souhaitable de remettre dans les mains d’un seul homme

procédure spécifique par exemple qui ne peuvent être révisé qu’a la majorité de 2/3 membre d’une ou de deux Assemblée parlementaire ou après un référendum de ratification>>. La République en un premier sens l’objet même du gouvernement du Latin Res publica la chose publique, la chose de tous c'est-à-dire du peuple étendu comme l’ensemble de la population. La Constitution de 1958 est celle de la Cinquième République qui vient de fêter son 50éme anniversaire. EN effet la réforme constitutionnelle

nouveau système politique, conforme à ses idéaux. Il expose une vision très démocratique de la nation et de son mode de fonctionnement, et si le mot République n'est pas mentionné on peut tout de même relever le terme de “chose publique” (En grec: Res Publica) . Plus que démocratique, le système qu'il propose se veut profondément égalitaire. Dans le dernier chapitre il explique qu'il considère la loi comme étant au centre d'un globe, tous les citoyens étant placés à la même distance d'elle sur la circonférence

et non comme un jugement, revenant ici au sens premier du grec krinein. Enfin, Kant insiste sur le caractère libre et public, c’est-à-dire républicain, de la critique. Critiquer une idée est un droit qui appartient à chacun, une chose publique (res publica) contre tout privilège. L’esprit critique, qui n’admet aucune affirmation comme vraie sans l’examiner rationnellement, était déjà l’attitude intellectuelle de Socrate quand l’oracle de Delphes, haute autorité religieuse, le déclara le plus

théorie est sensé être parfaitement équilibrée, son application ne se fera pas sans entrainer de nombreuses inégalités (II) . I- La réunion de deux lois opposés comme justification d'un découpage de la société. Pour Adalbéron de Laon, la Res Publica, terme latin désignant la « chose publique », et donc l'Etat, doit être régit par deux lois, la loi divine et la loi humaine. A) La loi Divine La loi divine place à un seuil d'égalité chaque homme. Ils sont tous le produit de Dieu, malgré

qu'en 524 par son fils Clodomir) b) extension du Royaume vers le sud  On peut ainsi dire, que Clovis état un chef de bande du a sa barbarie. Il est le chef d’un peuple barbare. II- Clovis, 1er roi des Francs, empereur-gestionnaire de la Res publica. A- Une unification politique et chrétienne 1) L’unification religieuse par la baptême de Clovis  Il se marie avec Clotilde, une chrétienne qui fera tout pour amener son époux à la conversion et à la Foi au Christ.  Lors de la bataille

fait sentir. Cet instinct se matérialise par le choix démocratique du chef de l’état qui est en rupture avec le passé. C’est un point positif, puisque finalement ou du moins pendant la période électorale on a pu parler de république sticto-sensus res publica : chose publique. Ce choix traduit la confiance du peuple au modèle occidentale d’institutionnalisation du pouvoir. C’est un peuple qui croit en la démocratie représentative, c'est-à-dire qu’il est prêt à mandater des représentants pour gérer la

au décès de son père, en devenant dieu par le biais d’une cérémonie religieuse. Ce couronnement permettra à l’homme de devenir un dieu. Le résultat est que s’il est dieu, alors le pharaon a tous les pouvoirs, tout lui appartient. Il n’y a pas de Res publica. Toutes les terres, tous les hommes appartiennent au pharaon, rien n’est privé. Il n’y a aucune distinction entre les pouvoirs puisqu’il les a tous et qu’il est la source de toute chose. Il est la source de la vie elle-même et donc logiquement,

fidèles. Cette clause est à coupler avec la puissance tribunicienne, qui confère à Vespasien le pouvoir de convoquer certaines assemblées (comices), de les présider et d’organiser des élections => marque donc un réel contrôle impérial sur la res publica. *la clause n°6 qui stipule « qu’il possède le droit et le pouvoir de faire et d’accomplir tout ce qu’il jugera bon et dans l’intérêt de l’Etat, conformément à la majesté des choses divines et humaines, publiques et privées » permet à Vespasien