Responsabilité Inconscient Liberté

exister, on pourrait même dire que seule la conscience existe : car « es-sister » c’est sortir de soi, être à distance de soi-même. Les choses ne peuvent pas « ex-sister ». • Ainsi pour SARTRE, être conscient, est la marque pour l’homme de sa liberté c’est-à-dire la possibilité de dépasser ce qu’il est. 3-Le problème de l’identité du moi • Le risque est alors de considérer la conscience comme une chose. • De même que, pour reprendre un exemple célèbre de DESCARTES, un

ses pulsions. (Ingrateia : maîtrise de soi, culture). Culturation de cette force pulsionnelle dont j’ai pourtant besoin. Suis qu’un être social ? Freud : Ou est le moi ? Qu’est ce que je dois maîtriser ? Questions : - Est ce que l’action inconsciente est encore une action ? - L’action n’est-elle pas que dans le conscient par définition ? « Je sais toujours ce que je fais, et j’en suis responsable ». Sartre. - De quel moi suis-je le maître ? - Est-il le moi qui agit ou le moi qui se manifeste 

par conséquent garder le contrôle de ses actes, de ses pensées et de ses dires via la raison. En ces termes; la maîtrise de soi apparaît inhérente à la conscience que l’Homme en temps que sujet a de lui-même et est indissociable de la notion de responsabilité de des agissements devant soi et devant autrui. Or, l’Homme peut-il toujours se maîtriser ? Est il véritablement conscient en toutes circonstances ? Est -il à même de juger de la portée de ses mots ou de l’effet de ses actes sur lui et les siens

nous car il est inconscient (cf Cours). Mais cette hypothèse de l’inconscient est critiqué par certains philosophes, comme Sartre. (Antithèse) L’homme est responsable de son irresponsabilité selon Sartre. S’il n’arrive pas à poser des limites à ses désirs, c’est qu’il le veut bien. Selon lui, « l’homme est condamné à être libre ». Notion de mauvaise foi (à développer). Idée que l’homme a la capacité de se mentir à lui-même. Critique de cette radicalité de cette liberté. N’y a-t-il pas

dans nos decisions ? Pouvons nous faire nos propre chois sans etre poussé a l'avance d'un côté ou d'un autre par quelque influence ou cause que ce soit. Notre inconscient, notre environnement et bien d'autres facteurs pourrait aider à obtenir une réflexion philosophique sur cette question. La notion de libre arbitre, synonyme de liberté, désigne le pouvoir de choisir de façon absolue, c’est à dire d’être à l’origine de ses actes. Autrement dit un sujet libre est sensé pouvoir choisir de lui-même

dans un monde où il a la liberté de faire ces choix, mais il devra répondre de ces actes devant la société. C’est d’ailleurs ce que suppose le proverbe « heureux les simples d’esprit », puisqu’un être sans savoir peut donc être plus heureux que celui qui sait la vérité car il n’aura pas à prendre ses responsabilités, ou encore ce que dit Baudelaire dans « les aveugles » des Fleurs du mal, puisque les aveugles et le peuple ne connaissent pas les responsabilités de la liberté ou du savoir. Nous pouvons

degré de conscience de celui qui l’a accompli (c’est-à-dire en ayant pleinement conscience de ce qu’il fait, ou dans un état d’identification inconsciente aux schémas de pensée). Il n’y a pas d’exception à cela. La loi d’attraction est une loi cosmique implacable. L’ignorance du fonctionnement de cette loi ne soustrait pas l’Être humain à la responsabilité qui est la sienne, karmiquement parlant. © bodhiyuga.net https://www.copyrightdepot.com/cd29/00050639.htm Page 1 sur 20 Grâce l’enseignement

Cette théorie est une pseudo-science » car elle ne répond pas au critère de la falsification ; critère fondamental pour établir la scientificité d’une théorie. - L’inconscient est un danger éthique en ce qu’il dépouille l’homme de sa liberté et de sa responsabilité. Cf Alain « L’inconscient est une faute », Eléments de philosophie et J-P. Sartre « L’inconscient est de la mauvaise foi », L’Existentialisme est un humanisme. - Sans la conscience, la réalité humaine serait amputée d’une dimension essentielle

un intermédiaire entre les hommes et les dieux qu’un véritable créateur et sa fonction était de faire voir l’invisible. L'écrivain moderne est toujours un intermédiaire, mais son champ d’action et de création n’a plus de limites : intériorité, inconscient, surnaturel (Malraux) : fascinant ? plutôt inquiétant car plongeant dans l’interrogation la plus totale. Même lorsqu’il a pour sujet la réalité, l'écrivain nous donne à voir sa propre vision du réel : particularisme de vérité contre l’universel

Cours sur la liberté Première partie : la liberté est-elle menacée par l'égalité ? [voir le corrigé distribué, disponible sur le site] Deuxième partie I) La liberté comme obéissance à soi-même A) Être libre, est-ce obéir à ses désirs ? Nous avons montré que la liberté ne pouvait être définie par le fait de réaliser tous ses désirs. Dans la mesure où nous ne choisissons pas nos désirs, être soumis à nos désirs, c'est être soumis à quelque chose que nous n'avons pas choisi : le fumeur