Risque opérationnel

centrales. La nature très spécifique de l’activité bancaire exige une démarche d’audit rigoureuse, car les procédures comme les réglementations, les produits proposés comme les risques sont multiples et complexes. L’analyse des grands risques bancaires (défaillance des débiteurs, risque de taux, risques opérationnels par exemple) précède dans la description de l’audit bancaire. Les auditeurs habitués aux entreprises du secteur industriel et commercial se sentent souvent pris au dépourvu face

et des unités opérationnelles .............. 18 Utilisation du Budget .............................................................................................................................................................................................. 19 Gestion de la performance ................................................................................................................................................................................ 19 Pilotage des risques ...........

Analyse de la concurrence ; entreprise et produits………7 VI. Plan Marketing………………………8 VII. Plan d’opérations ; infrastructures (production et gestion), technologie.9 VIII. La planification financière et opérationnelle…………………..10 IX. Évaluation des risques……………….11 I. résumé  En une seule page, vous présentez de manière synthétique votre société. Vous expliquez vos objectifs et la manière de les atteindre. Vous indiquez enfin l’objet de votre demande.  En

ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée. Il aide cette organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche systématique et méthodique, ses processus de management des risques, de contrôle, et de gouvernement d'entreprise, et en faisant des propositions pour renforcer leur efficacité. L'audit interne est donc une activité de contrôle et de conseil qui permet d'améliorer le fonctionnement et la performance d'une organisation

afin d’identifier, évaluer et maîtriser les différents risques auxquels elle est exposée dans le but d’assurer sa protection, sa sauvegarde et sa pérennité. Il se manifeste par la mise en place d’une organisation et de procédures en interne pour surveiller les risques avant et après les opérations. Intro : Dans un secteur d’activité ou les risques sont au cœur de leur métier, que l’on parle de risque juridique ou de risque opérationnel, les banques sont soumises à une pression de différentes

Thème du Mémoire : Conçu par : Mlle Imane LAAZIZ Mlle Meriem MBARKI Sous l’encadrement de : Mr BENCHERIF Année Universitaire : 2004/2005 1. Audit Opérationnel pour l’optimisation des coûts Remerciements Nous tenons à remercier M. Benchrif, Expert Comptable et professeur à l’ISCAE pour nous avoir consacré son temps pour la réalisation de ce mémoire. Nous tenons aussi à remercier Mlle Hassnaa Zniber; contrôleur de gestion de Marjane Californie et Mlle Hakima Louhab ; Chargée

dispose une banque et les risques qu’elle porte sur les marchés ou sous forme de crédits à ses clients. En 1988, Bâle I a imposé d’avoir un ratio minimum de 8% entre ces deux indicateurs. En 1996, une révision de l’Accord intègre les risques de marché en complément du risque de crédit. Bâle II, en 2004, est une adaptation de ce principe à la complexité des évolutions du métier bancaire. Il a notamment cherché à définir un cadre plus complet dans l’appréciation des risques bancaires réels, à rapprocher

Critères d’Évaluation et pondération  Attention á la documentation contractuelle Analyse de Rentabilité et Risque: Exercice 3 2. 3. 4. 5. 6. 7. Changements dans l’environnement: Exercice 4 Objectifs recherchés par le cas pratique Conclusions. 3 1.- Produits Bancaires des Entreprises Produits d’Actif Tous ces produits bancaires qui supposent assumer un risque par la Banque : Produits d’Actif Fixe: •Crédits Bilatéraux: ligne de crédit avec différentes alternatives par

soulignées : non prise en compte d’autres sources de risque jugées elles aussi déterminantes, mesure du risque insuffisamment fine, faillites de banques qui en avaient pourtant respecté les grands principes. Le ratio Cooke finit par être remplacé en 2004 dans le cadre des accords de Bâle II, par le « ratio Mc Donough » qui impose une approche plus fouillée du risque de crédit et introduit une exigence en fonds propres pour le risque opérationnel. Puis, en 2008, les marchés perdent pied. La crise

institutions financières ? Cette interrogation laisse à nos institutionnels marocains d’essayer d’élaborer des procédures adéquates en vue de mettre en place cette technique tant approfondie aux Etats-Unis qu’en Europe puisqu’elle n’est toujours pas opérationnelle au sein des établissements bancaires dans la mesure où elle est devenue une méthode de gestion indispensable pour une institution financières. Certes, la première réaction face à la complexité de la réalité financière peut être de considérer