Rse Du Groupe Lafarge

COMAC Comité Marocain d’accréditation GQC Global Quality Consulting ISO International Organization for Standardization PNQ Le Prix National de la Qualité RSE Responsabilité Sociale des Entreprises SMQ Système de management de la qualité SME Système de Management Environnemental TQM Total Quality Management

son métier 3.2 - Une stratégie de croissance rentable tirée par le leadership 3.3 - Une organisation au service de la stratégie et des clients 3.4 - Autres informations 12 06 21 26 31 4.1 4.2 4.3 4.4 4.5 4.6 - 32 33 37 39 41 5.1 - Engagement RSE 5.2 - Gouvernance : politique et résultats 2013 5.3 - Démarche environnementale : politique et résultats 2013 5.4 - Démarche sociale et sociétale : politique et résultats 2013 5.5 - Rapport des Commissaires aux comptes 49 6.5 6.6 6.7 6.8 6.9 6.10 6

siècle prenaient en effet en charge les conditions de vie de leurs ouvriers. C’est dans les années 70 que se développent aux Etats-Unis, réflexions, modèles et controverses sur la responsabilité de l’entreprise. Depuis 2000, la plupart des grands groupes mondiaux se sont dotés d’une démarche de type éthique en affichant des valeurs et des principes qui se déclinent en codes et chartes à usage interne mais également disponibles sur leur site internet. Concrètement, l’éthique d’entreprise se manifeste

lequel se construit la justice sociale au point d’élever le « travail décent » au statut de bien public mondial ; 2-Accompagner la mutation des acteurs du travail en renforçant et encadrant les expériences de responsabilité sociale des entreprises (RSE) ; 3-Favoriser l’émergence d’un nouveau modèle entrepreneurial qui fasse référence au niveau international, prenant appui sur les initiatives encore isolées du social business ; 4-Promouvoir une forme remodelée de gouvernance mondiale investie d’une

l’universalisation : une ambition sociale 13/12/2010yyy10:25:35 Points de vue nationaux 107 Les leviers à l’international 108 Chapitre III L’heure des comptes 111 Des débuts timides 111 La mise en place des bilans de RSE 112 Chapitre IV Une instance pour réguler 115 La montée en puissance des Investissements socialement responsables (ISR) 115 Vers l’idée d’une agence indépendante de la valeur globale des entreprises 117 Chapitre V

Charenton-le-Pont France Tél. : + 33(0)1 49 77 42 24 Document de référence 2013 SOMMAIRE 1 4 PRÉSENTATION DU GROUPE ESSILOR 6 INFORMATIONS EN MATIÈRE SOCIALE, ENVIRONNEMENTALE ET SOCIÉTALE 190 4 1.1 Historique du développement d’Essilor 1.2 L’industrie de l’optique ophtalmique 8 4.1 Introduction 1.3 Les activités du Groupe 9 4.2 Informations sociales 193 1.4 La stratégie du Groupe 15 4.3 Informations environnementales 202 1.5 L’année 2013 16 4.4 1.6 Facteurs de risques 28

(stakeholders) : actionnaires, managers, employés, syndicats, clients, fournisseurs, pouvoirs publics … Aussi aujourd’hui nombre d’entre elles intègrent dans leur prise de décision la prise en compte des préoccupations de la société. Par exemple le groupe Lafarge exploite des carrières et des cimenteries proches de ses clients afin de protéger l’air, l’eau, de réduire les nuisances, d’optimiser le transport routier, de conserver les fossiles ect… Pour pouvoir se développer les entreprises ont besoin de

44 3 REMERCIEMENTS Thierry Wiedemann-Goiran, Président de la Commission Gouvernement d’entreprise et développement durable, tient tout spécialement à remercier, au nom de l’ORSE, l’ensemble des intervenants qui ont témoigné dans le cadre de ce groupe de travail et ce, malgré le manque de consensus et l’évolution rapide des idées sur cette question du lien entre le gouvernement d’entreprise et le développement durable. L’organisation n’aurait pas été possible sans les moyens techniques mis à disposition

Toujours dans les années 70, on remarque l’apparition des premiers mouvements écolo (sur la scène politique avec les verts), et sur la scène sociale avec la naissance de nombreuses ONG, telles que Grennpeace. Ces associations sont devenues des groupes de pression qui ont une grande influence sur la société, encore aujourd’hui. Crédit photo : enviro2b.com « Passons au vert ! », telle était la devise des années 80. A cette époque apparaissaient les premiers signes de l’intégration de l’environnement

d’euros prononcée le 24 janvier 2007 à l’encontre d’une dizaine de fabricants de gros appareillages électriques, dont Areva et Alstom, la commissaire à la Concurrence, Neelie Kroes, a imposé 992 millions d’euros d’amendes le 21 février suivant à quatre groupes reconnus coupables d’entente sur le marché de l’installation et de l’entretien des ascenseurs, à savoir Schindler, ThyssenKrupp, Koné et Otis. La maximisation à tout prix du profit pour l’actionnaire ne limite pas les pratiques illégales pour y parvenir