Réflexions Sur L éducation Kant

rapport à autrui. Est barbare celui qui satisfait immédiatement son désir sans se soucier des sentiments ou des réactions des autres. Il ne met pas les formes requises par l’obligation de respecter ses semblables. La culture, à l’inverse, implique une éducation. Les désirs sont disciplinés et soumis à des règles, autant de médiations entre notre envie et sa réalisation. B- L’humanisation de l’homme Cette perspective fait apparaitre la dimension humaniste de la culture. Il ne s’agit pas seulement d’avoir

 Les parents se doivent pour le bien de l'enfant, de l'éduquer. Cette éducation aussi compliqué et longue soit-elle, implique des règles et des étapes. Kant, grand philosophe du XVIIIème siècle parle dans Réflexions sur l'éducation, des soins par lesquels les parents les protègent des dangers dont il n’a pas conscience, de la discipline qui sert à transformer l'animalité en humanité, et de l’instruction afin de développer sa raison. Tout cela a pour but, petit à petit, à rendre l'enfant autonome

à développer les caractères « visibles » de l’humanité. Tel est le cas de Victor de l’Aveyron tel qu’il est présenté dans le livre de L. Malson, Les enfants sauvages ou dans le film de F . Truffaut. Trouvé à l’âge de 8-9 ans dans la nature, sans éducation, il se comporte comme un petit animal effrayé incapable de parler, incapable de développer par conséquent des relations sociales avec autrui, incapable de se reconnaître dans un miroir, de se connaître, incapable même de se tenir debout. Cet exemple

liberté à l’état civil suppose le respect d’autrui, et de ce fait l’exercice de la liberté humaine repose donc sur une maîtrise de soi-même. Mais cette maîtrise de nous-même, comment l’acquérir sans éducation ?! Cela est impossible. Donc  qui dit liberté, dit aussi éducation à la liberté.  Car le problème, c’est que les individus mal élevés prennent cette maîtrise de soi pour une servitude. Un individu mal éduqué aura, en effet, tendance à prendre la moindre contrainte

de ne pas être influencé c'est de ne pas utiliser cette outil, donc de ne plus penser. II/ La pensée n'est pas un obstacle, mais elle est insuffisante voire inutile pour être soi-même. → La pensée peut nous représenter, on peut « se penser » (Kant anthropologie...), mais elle n'est pas capable de nous changer, de nous transformer, elle est donc une condition à notre réalisation, mais doit s'accompagner d'actions afin d'arriver à cet objectif. Gare à la procrastination. « L'homme n'est rien

de romantique, ce peut être la réflexion à laquelle invite l’art conceptuel. Par ailleurs, l’autonomie de l’art par rapport à d’autres formes de production comme l’artisanat est récente. Pourtant l’art ne semble pas pouvoir se réduire à une simple technique que pourtant il suppose, ni même à une simple habileté que l’artiste partage avec l’artisan. Enfin les goûts en matière d’art sont très divers et la sensibilité esthétique nécessite parfois une éducation soit à des courants artistiques

ANALYSE DU SUJET • Cadrer la problématique La question est très banale et ressemble fort à une question de cours. Raison de plus pour faire un véritable effort de réflexion et non simplement de mémoire. La question ne renvoie pas à une définition mais à un problème: quelle peut ou doit être la forme concrète de la liberté? Suis-je le plus libre lorsque je me « sens » libre? Peut-on vouloir agir spontanément?

développement de la pensée ou de l’esprit par un apprentissage. Le mot apprentissage montre bien que l’homme doit fournir un effort, un travail, grâce à sa pensée pour devenir un homme cultivé. Mais si l’homme a décidé de ne pas se consacrer à cette éducation alors il ne peut rester néant de connaissances et donc ne pas suivre le processus qui fait de lui un homme cultivé. Cela lui est possible car il a conscience de ce travail qu’il doit fournir pour s’humaniser mais l’homme peut aussi refuser de suivre

SEMPRINI Sébastien TS4 Sujet de philosophie : Suffit t il d’être doué pour être artiste ? L’origine de la création artistique est souvent l’objet de réflexions philosophiques ou de débats. En effet, dès l’antiquité, des penseurs tel que Platon, expriment leurs idées à propos de l’art : comme par exemple dans « Hippias majeur » où Platon se pose la question « Qu'est ce que le beau ? » et donc l’implication de l’artiste dans la réalisation de son œuvre. D'autres affirment que l’inspiration ou le

Devoir de philosophie Kant : 1) Dégager l’idée principale du texte et les étapes de son argumentation: Le thème de ce texte repose sur la nature de l’homme, une partie de cette extrait nous amène à nous demander ce qu'est l'être humain. N'est-il qu'une espèce vivante parmi tant d'autres ou présente-t-il des caractéristiques, qui fond de cet être une espèce différente que c’elle des animaux . La thèse du texte apparaît dès la première phrase :"L'Homme est la seule créature qui soit