Réécriture De Phèdre

pour ne plus voir que l'oubli. Les cendres chaudes de l'oubli. Louis Aragon, Blanche ou l'Oubli, 1967, troisième partie, chapitre III, « Une mèche de cheveux n'est pas une hypothèse ». Question En quoi le texte 2 est-il une réécriture du texte 1, et le texte 4 une réécriture du texte 3 ?Vous vous en tiendrez aux éléments principaux. Travaux d'écriture Vous traiterez au choix l'un des trois sujets suivants : Sujet 1 : commentaire de texte Vous commenterez le texte d'Aragon (texte 4). Sujet 2 : dissertation

Ulysse aperçoit ensuite plusieurs reines et héroïnes défuntes, dont les histoires sont racontées au passage : Tyro, Antiope, Alcmène, Mégara, Épicaste (c'est le nom de Jocaste chez Homère), Chloris, Léda qui est la mère d'Hélène de Troie, Iphimédée, Phèdre, Procris et Ariane, Maira, Clymène et Ériphyle. À ce stade de son récit, Ulysse fait une pause ; Arété, Alcinoos et les Phéaciens qui l'écoutent échangent des commentaires élogieux à son sujet, puis Alcinoos invite Ulysse à poursuivre son récit.

« mensonge » qui dit la vérité. L’auteur fut dès le début considéré « comme l’Esope et le Phèdre français »5 malgré la trop grande modestie qu’il étala dans son recueil: Si mon œuvre n’est pas assez bon modèle, J’ai du moins ouvert le chemin.6 Les sources en général Aucun des sujets traités dans ses fables n’a été inventé par La Fontaine dont les sources sont aussi nombreuses que diverses : Esope, Phèdre 7 et leurs successeurs lui ont fourni les sujets de la plupart de ses compositions. Aussi

[Goethe, Ganymed ; Goethe, prologue de Faust] 1.3. Exercice [F. Leroux, La Machine à assassiner] 2/ A grande échelle : la réécriture mythique 2.1. Des invariants à la réécriture 2.2. Les variations de l’organisation et du contenu du récit mythique [Don Juan] 2.3. Les variations de registre [P. Dac, Phèdre] 2.4. Bilan : arborescence ou constellation mythique 3/ De la réécriture à la réinterprétation 3.1. La christianisation des mythes [Hercule] 3.2. La romantisation des mythes 3.3. L’actualisation

| |Une tragédie classique : Phèdre, Racine | |Un drame romantique : Ruy Blas, Hernani, Hugo | |Un roman : Tristan et Iseult Béroul, La princesse de Clèves Mme de La Fayette | |Une réécriture : Roméo et Jeannette, Anouilh

le spectateur sait que des forces – la « fatalité » ou le « destin » – vont triompher et excluent de fait le choix. Phèdre, comme tous les personnages victimes chez Racine, ne peut lutter contre « Vénus tout entière à sa proie attachée » : inutile de croire à un libre arbitre, qui justifierait que l’on délibère. Ce sentiment de vanité est encore plus sensible dans les réécritures théâtrales, de mythes par exemple, parce que le spectateur connaît déjà l’issue de toute cette agitation dont il ne voit

œuvres Le genre littéraire utilisé par La Fontaine, date de l'antiquité. La Fontaine a puisé son inspiration dans des fables plus anciennes, écrites par Esope entre autres, et les a réécrites en vers. Un autre de ses principaux inspirateurs était Phèdre, un fabuliste latin d'origine thrace, mais citoyen romain, né autour de 14 avant J.-C. et mort vers 50 après J.-C. On trouve également des influences orientales, attribuées au sage indien Bidpaï (également connu sous le nom de Pilpay). La Fontaine

et Monsieur Jourdain dans Le Bourgeois gentilhomme, V,1 ou III,9 ; Le gendarme est sans pitié de Courteline, le Dindon de Feydeau...) ; extraits de tragédie (pistes multiples dans la tragédie antique et dans la tragédie classique : l'aveu de Phèdre, Phèdre, II,5 ; les deux dernières tirades d'Oreste dans Andromaque, V,5 de Racine, tirade d’Electre à Oreste dans Electre I,8 de Giraudoux ), poèmes lyriques (cf. Chansons de Charles d'Orléans, les Sonnets de Louise Labé, Les Regrets de Du Bellay

Les échos permettent de confronter les genres des textes ; les perspectives ouvrent à d’autres époques ou d’autres espaces et registres : – d’autres époques : Benoît de Sainte-Maure, Le Roman de Troie (vers 1160) – d’autres genres : Jean Racine, Phèdre (1677) ; William Shakespeare, Hamlet (1603) – d’autres espaces : Fédor Dostoïevski, L’Adolescent (1875) ; Charlotte Brontë, Jane Eyre (1847) ; Giuseppe Tomasi de Lampedusa, Le Guépard (1958) – d’autres registres : San-Antonio, La Rate au court-bouillon

aux Nymphes de Vaux du poète fut dédié à son ancien mécène en 1662 et celui-ci réclama clémence pour le disgracié dans l'Ode au Roi en 1663. Il assure sa renommé littéraire grace à ses Comtes et nouvelles en vers en 1665. Après un long travail de réécriture, Jean de La Fontaine se métamorphose en fabuliste virtuose. Observateur sagace des jeux de cours, des cabales politiques et de la doxa populaire, il propose une image inattendu des sujets et des maitres dans la 4eme fable du 3eme livre, Les Grenouilles