Réécriture De Phèdre

princesse. Deuxième étape : Montée de la passion : le duc aurait pu épouser la princesse d’Angleterre, vol de la peinture, le cheval, et le sommet dramatique > La lettre de la poche (découverte de la jalousie, et la scène de complicité durant la réécriture = acmé de la passion), et l’aveu (trouble de la princesse, crainte de Nemours) Troisième étape : Mort plane : révélation au vidame de cette scène par Nemours (conséquences dramatiques), aggravation de la jalousie de M. de Clèves qui va entrainer

explicite mise en valeur de manière didactique. Le poète latin Phèdre s’en inspire et écrit des recueils de fables en vers. La Fontaine trouve la plupart de ses sujets chez ces auteurs, mais aussi chez le fabuliste perse Pilpay. Il choisit le vers (souvent hétérométrique) et veut rendre les fables plus plaisantes tout en conservant leur caractère didactique. Au xxe siècle, certains auteurs (Anouilh et Queneau par exemple) s’amusent à la réécriture des fables, souvent pour en détourner le sens et délivrer

Ulysse aperçoit ensuite plusieurs reines et héroïnes défuntes, dont les histoires sont racontées au passage : Tyro, Antiope, Alcmène, Mégara, Épicaste (c'est le nom de Jocaste chez Homère), Chloris, Léda qui est la mère d'Hélène de Troie, Iphimédée, Phèdre, Procris et Ariane, Maira, Clymène et Ériphyle. À ce stade de son récit, Ulysse fait une pause ; Arété, Alcinoos et les Phéaciens qui l'écoutent échangent des commentaires élogieux à son sujet, puis Alcinoos invite Ulysse à poursuivre son récit.

en va ainsi de ce que ressent Sganarelle pour son maître, de l’admiration au ressentiment. Mais malgré leurs relations amicales, le valet reste bien l’inférieur de Dom Juan. Le mythe de Dom Juan La pièce de Molière s’inscrit dans la lignée des réécritures autour du personnage de Don Juan. Notons d’ailleurs que l’écrire avec un « M » (Dom) est faire référence au texte de Molière ou à Baudelaire. Pour l’opéra de Mozart, on parle plutôt de Don Giovanni. Le reste du temps, l’écriture commune est Don

le travail sur cette œuvre par la lec- ture cursive de la pièce de Marguerite Duras, La Pluie d’été, dont les thèmes sont proches, la dramaturge ayant sans aucun doute influencé l’écriture de Lagarce, ou par une pièce plus classique, par exemple Phèdre de Racine, qui met en jeu une crise personnelle autant que des crises familiales (on pense à la scène entre Thésée et Hippolyte) et permettra par ailleurs à certains professeurs de réinvestir le travail fait sur la pièce l’année précédente ! On

essayer de trouver des solutions, mais ils ne vont jamais l’endosser. Avant d’être victime de la fatalité qu’est la mort, Louis va vivre, essayer d’être son «propre maître » et mettre un mot sur ses malheurs. Par ailleurs, on remarque dans « Phèdre » de Racine que Phèdre, femme de Thésée éprouve un amour incestueux envers Hyppolite le fils de son époux. Lorsqu’elle va témoigner son amour auprès de sa nourrice Oenone , elle ne pourra même pas l’assumer et aura recours à une périphrase afin de nommer Hyppolite

l’image de l’honnête homme classique. Par ailleurs, la scène symbolise ainsi la version pessimiste de la passion amoureuse du XVIIème siècle établie par La Rochefoucauld et par le Jansénisme. On peut rapprocher cet extrait à la scène de l’aveu de Phèdre à Hippolyte (acte II, scène 5) pour qui elle nourrit une passion secrèteTexte 6 : «La rencontre du bal », Madame de Lafayette, 1678 Sous le règne de Louis XIV, se développe un mouvement littéraire de la préciosité autour de la figure

dénouement du Cid à la lumière du contexte politique de la France du xviie siècle : la constitution progressive de la monarchie absolue, dès le règne de Louis XIII secondé par Richelieu, passe par l’assujettissement des grands aristocrates. n 4. Une réécriture dans les règles (question 5) En 1660, Corneille remanie les vers 33 à 40 pour les rendre plus conformes aux règles de bienséance et de vraisemblance du classicisme. Dans la version initiale, l’indécence du projet de mariage est évoquée de manière

une œuvre théâtrale pour deux personnes. Dans ma besace, je vais leur apporter Othello, le roi Lear, Macbeth de Shakespeare, Le malade imaginaire, George Dandin, Amphitryon, L’avare de Molière, Lorenzaccio, On ne badine pas avec l’amour de Musset, Phèdre de Racine, Huis clos de Sartre, Les combustibles d’Amélie Nothomb, Pantagleize de Michel de Ghelderode. J’ai pris expressément des œuvres d’époques différentes pour qu’ils remarquent que le découpage, l’utilisation des didascalies… sont différents

Aetès, fils du Soleil et de Perséis, et frère de Circé et » ; 111,1,2 « Minos épousa Pasiphaé, fille du Soleil et de Perséis »). Sur le plan étymologique, son nom rayonne de l'éclat de la lumière et l'apparente à d'autres personnages solaires comme Phèdre, sa fille, ou Phaon, l'amant de Sappho. Son nom se décompose comme suit : un radical Tiacri, de rcâaiç qui renverrait à la la domination, un second radical (pa, de (pàoç, la lumière. Son nom se traduire, comme le propose M. T. Camilloni5 auteur