Sacre Et Religion Royale

famille ses esclaves. La monarchie Royale ou Légitime : Dans celle-ci les sujets obéissent aux lois du monarque et le monarque aux lois de nature demeurant la liberté naturelle et propriétés des biens aux sujets. Il a donc autorité non pas en son nom mais au titre de l'Etat dont il a la charge et dans le cadre des lois, d'où le terme de légitime. Pour le sujet il faut enlever le sens tyrannique de la Monarchie et garder le sens seigneuriales et royale. A présent il faut s'attarder sur le

grandes périodes, la charnière se faisant vers l' an 0. Plan: §1 : la royauté §2 : la république §3: l'empire §.1 : La Rome royale C'est une forme royale encore mal connue. La fondation Rome a été fondé par Romulus et les romains souhaitent faire remonter son histoire à la civilisation grecque: lien important. Le Pomérium Le « Pomerium »: enceinte sacrée: premier témoin du territoriale et religieux de Rome, il sert de limite à la ville et à l'intérieur, il est interdit de porter les

Port-Royal ( Il reçoit une éducation janséniste (mouvement religieux. De réflexion sur le problème de la grâce divine) ( Très bonne formation, reçoit large culture et apprentissage du latin, grec et est initié à la culture grecque ( Port-Royal : foyer de la religion, symbole de contestation politique et religieuse face à l’absolutisme royal 1653-1658 : Il poursuit ces études au collège de Beauvais puis revient a Port-Royal pour

présenté comme sacré. Cela serait qu’un discours théologiques, mais dès le Moyen âge, le roi de France est présenté comme roi souverain, et ce n’est que dans un troisième temps qu’il a pu imposer sa dernière caractéristique, se présentant comme roi justicier. - En France, Un roi est un roi sacré : en latin, le mot sacré signifier être consacré à Dieu. Le roi est opposé au profane, il est au dessus du commun, et on ne peut atteindre cette personne sans souiller cette personne sacrée => il est au

France. La succession : La royauté française est héréditaire. Certes, en quelques rares occasions, les grands seigneurs du royaume eurent à désigner un roi. Mais ils privilégiaient, en règle générale, des prétendants appartenant aux familles royales. Si bien que seules quelques dynasties ont régné : Mérovingiens jusqu'en 751, Carolingiens jusqu'en 987 et Capétiens, ces derniers ayant régné par branche directe jusqu'en 1328, puis par d’autres branches (Valois, Bourbons, Orléans) jusqu'en 1848

d’une rédaction particulière s d‘ordonnance. 2- Elles sont traditionnelles L’idée d’une norme supérieure s’imposant au roi est une idée très ancienne car elle remonte au serment du sacre par lequel le roi s’engageait à conserver les droits de la couronne. 3- Elles limitent l’autorité royale Le roi est libre à l’égard des lois ordinaires par contre il est lié par les lois fondamentales qui sont les lois du royaume et non celle du roi. Les lois fondamentales du royaume s’imposent

Le droit se distingue donc de la morale et de la religion même s’ils ont la même finalité (préconisent des comportements). Mais bien souvent elles ne se recoupent pas. - Le droit s’occupe de la vie en société; de l’organisation. - La religion : le salut de l’individu, salut éternel de son âme. Les 2 n’ont pas les mêmes sanctions parce que la sanction religieuse est interne a l’individu [ex; le remord]. En droit on dit que la religion concerne le FOR INTERNE, EXCOMMUNICATION. Le droit

commutative. 14 II. La justice distributive. 14 III. La vision de la prison selon les deux théories. 15 IV La notion de mérite. 15 SECTION 3 : LA CONCEPTION CHRETIENNE DU POUVOIR. 16 I. Jésus Christ vu par les différentes religions. 16 II. L’histoire du christianisme. 16 III. La philosophie du christianisme. 17 A/ Un point de convergence : l’origine de la société. 17 B/ Des divergences. 17 C/ La hiérarchie entre le temporel et le spirituel. 18

justice commutative. 8 II. La justice distributive. 8 III. La vision de la prison selon les deux théories. 9 IV La notion de mérite. 9 SECTION 3 : LA CONCEPTION CHRETIENNE DU POUVOIR. 9 I. Jésus Christ vu par les différentes religions. 9 II. L’histoire du christianisme. 9 III. La philosophie du christianisme. 10 A/ Un point de convergence : l’origine de la société. 10 B/ Des divergences. 10 C/ La hiérarchie entre le temporel et le spirituel. 10

d’un Etat unitaire. Le fédéralisme n’existe donc pas dans l’Europe latine. Ensuite, il y a presque une coïncidence religieuse car il est vrai que l’Europe latine est essentiellement catholique tandis que l’Europe germanique est protestante. La religion n’arrive pas à s’enraciner dans les pays latins contrairement aux pays germaniques (Scandinavie…). Le catholicisme dont le siège est à Rome, est l’image de la papauté. C’est l’héritage Romain. Il y a une organisation centralisée qui fait