Sartre Liberté

plaisir en travaillant sur une recherche scientifique qui pourrait éventuellement servir toute l’humanité. Cependant si le fait de se faire plaisir n’est pas un acte égoïste comment l’autre peut-il contribuer à notre propre plaisir ? Pour Sartre autrui est le médiateur indispensable entre moi et moi-même. Nous sommes des êtres conscients. Dès lors nous nous regardons agir, nous nous jugeons. Nous pourrions penser spontanément que cette conscience de soi ne concerne pas autrui, ou qu’elle

multiple, indomptable, hypnotique. La volonté marque au contraire l'acte de liberté d'un sujet qui se donne un but, dans la durée, et emploie des moyens pour réaliser ce but. Une volonté est un engagement, non un caprice ou une attirance soudaine. De cela, il résulte que le sujet demande si l'homme peut se donner comme projet un but qui semble entrer en contradiction avec le réel. Si un tel investissement de sa liberté est paradoxalement possible mais aussi souhaitable ("Est-il" a le sens d'une

La liberté est-elle illusion de la conscience ? On a tendance à penser que l’homme serait totalement libre puisque tout homme est entièrement indépendant de chacun de ses actes. Seul lui peut décider de ce qu’il veut faire mais aussi de ce qui lui semble bien ou mal. Par exemple, je peux vouloir dire, je suis libre de dire ce que je veux, je détermine moi-même mes paroles. Si je prends comme exemple, une personne qui, cherchant désespérément une place de parking depuis un certain moment et perdant

bonheur -Il en faut peu pour être heureux -Souhaiter du bonheur à quelqu'un --Le malheur des uns fait le bonheur des autres -Satisfaction morale durable -->Satisfaction des besoins, des désirs -->Idéal à atteindre Sentiment joie plaisir liberté Malheur tristesse souffrance La vie heureuse est la finalité e l'homme. Présupposés: -L'homme veut être heureux/ il est difficile de définir le bonheur: Le bonheur--->Subjectif, pas objectif. Paradoxe: -Comment être heureux si on ne peut

ressaisir comme sujet. Ainsi, comment savoir exactement, c’est-à-dire complètement, définitivement, qui je suis empiriquement si mon être se distingue des modes de l’avoir ? La question que pose le sujet est donc de savoir comment accorder la liberté d'une existence avec la continuité d'une essence ? Au contraire des choses qui sont toutes entières (sans reste) ce qu'elles sont (en-soi) ne serions nous pas, par nos fins et par nos motifs, autre que ce que nous sommes, toujours en avant de nous-mêmes

pour autrui, de le faire, si ces qualités mettent en danger autrui, par exemple : les performances physiques notamment. Mais si je considère ma personne dans son intégralité, comme l'ensemble infiniment complexe de possibilités qui dépendent de ma liberté d'en user, des occasions, des empêchements venus du monde extérieur, il est évident que la connaissance de moi-même (ce que je peux prévoir) est largement aléatoire. Elle ne peut prendre que le sens d'un travail d'approche interminable, d'expérience

est un texte de Kant qui est le philosophe des lumières dans lequel il parle de liberté, de contrainte et d’éducation. L’idée essentielle du texte est que pour Kant la liberté et la contrainte sont compatibles dans le cadre de l’éducation. Pour lui il n’excite pas d’éducation sans contrainte. Cependant la contrainte permettrait à l’homme de bien se servir de sa liberté pour lui permettre de comprendre que la liberté qu’il a suppose à la fois instruction et discipline, l’un ne va pas sans l’autre

2. l'affirmation de l'égalité de tous les êtres humains, 3. la reconnaissance de la diversité personnelle et culturelle, 4. la tendance au développement de la connaissance au delà de ce qui est accepté comme vérité absolue, 5. l'affirmation de la liberté d'idée et de croyance, 6. le rejet de la violence. Cette attitude n'est pas une philosophie mais une perspective, une sensibilité et une façon de vivre la relation avec les autres êtres humains. Pour ces humanistes, il est indispensable d'élaborer

n'apparaît-elle pas alors plutôt comme l'une des conséquences majeures du nihilisme contemporain ? I - Nos sociétés démocratiques sont fondées sur le pluralisme et la relativité des valeurs impliquant le respect des opinions individuelles et de la liberté de conscience et d'expression dans la mesure où elles ne portent pas atteinte à l'ordre public (pornographie, pédophilie, nazisme, etc ...). Ainsi tolère-t-on autrui, même si l'on est d'un autre avis sur sa manière de penser (en politique par exemple)

Si l'individu dans le travail qui lui est proposé est privé d'un ou plusieurs éléments du processus, il est en même temps privé de la liberté et de l'intelligence que manifestait cet élément. On comprend que des formes "tronquées" du travail peuvent être source de déshumanisation et d'aliénation? Origine du travail aliéné: ce n'est plus le désir, la liberté, c'est le besoin, la nécessité, la faim. Si l'homme vend sa force de travail, il s'en dépossède et renonce au désir puisqu'il renonce à