Sciences des religions

La ReligionLa métaphysique et la Religion I] Le problème de la métaphysique Je ne sais pour le moment que deux choses, j’existe et je suis une âme. Je sais aussi que si le corps existait je suis une substance étendue. Ma raison est-elle fiable ? Quand je comprends quelque chose et que j’ai vraiment l’impression que c’est vrai, si je fais confiance à ma raison j’estime que ma raison est fiable. Les sensations sont fiables car ma raison les corrige. Soit Dieu existe, soit Dieu n’existe pas : ① athéisme

travail des enfants - Réduction du temps de travail - Droit syndical - Lois sur les retraites et les assurances maladies II. Religion, art et culture en Europe et en Amérique du Nord à l’âge industriel La société industrielle et notamment le développement de la science va amener la remise en cause des certitudes du passé. La science devient petit à petit la religion de l’âge industriel et menace donc les croyances traditionnelles. La foi devient de plus en plus une affaire personnelle, la pratique

discipline normative. Différentes disciplines normatives : - le droit - la morale - la religion A) Le droit et la morale. Le droit vise la justice, le juste, les lois doivent tendre à plus de justice. Alors que la morale vise le bien, le perfectionnement de l’individu. Ils sont différents mais ont des points de conjoncture. Il y a 3 éléments majeurs différents : - La source : la morale a pour source la religion alors que le droit est laïc. Parfois la morale est laïque (exemple : lors d’Etat totalitaire)

système de tous les savoirs suivant une logique dialectique. Le système est présenté comme une « phénoménologie de l'esprit » puis comme une « encyclopédie des sciences philosophiques », titres de deux de ses ouvrages, et englobe l'ensemble des domaines philosophiques, dont la métaphysique et l'ontologie, la philosophie de l'art et de la religion, la philosophie de l'histoire, la philosophie morale et politique ou la philosophie du droit. Principes La philosophie de Hegel est une philosophie systématique

Dans son texte, Thomas Pain nous parle de la religion. Deux des concepts clés reliés à ce concept sont les textes sacrés qui sont des recueils de textes « qui appartient à un domaine séparé, interdit et inviolable et fait l'objet d'un sentiment de révérence religieuse » (selon la définition de sacré de Le Petit Robert) et celui d’inspiration divine qu’on pourrait définir en s’inspirant de la définition d’inspiration de Le Petit Robert par une « sorte de souffle émanant d'un être [divin], qui apporterait

Introduction au droit C'est un univers complexe. Il y a une délimitation en domaine -> Discipline académique (droit privé/publique, sciences criminelles et histoire du droit). Droit publique : Intérêt général, communautaire. Droit privé : Intérêt personnel, individuel. Mais ces deux droits peuvent s'entrecouper (concernant le juge en charge dudit droit par exemple). « Tout fait quelconque de l'Homme oblige par la faute du même à la réparer » Il existe une division fondamentale

par la suite. Les deux romans montrent que les narrateurs semblent vivent leurs derniers jours de la même façon. D’abord, il sera montré que les jeunes narrateurs engendrent bien du chagrin autour d’eux, mais on verra que ceux-ci entrevoient la religion différemment. Cependant, ils se retrouvent par leur caractère égocentrique. Dans les deux romans analysés, les narrateurs vivent leurs derniers jours de façon similaire. Effectivement, leur futur départ pour un autre monde entraîne déjà de la

la science pour expliquer son malaise au commencement de l'après-guerre. Nous aurions pu lors de ce devoir nous demander quelles sont les raisons qui poussaient les français à se comporter de la sorte ou même quelles ont été les conséquences de cette négligence, mais dans un souci de problématisation analytique et contemporaine, nous allons plus généralement nous demander comment la science peut-elle être une condition sine qua non d'un bon fonctionnement de la société. En effet, la science, qui

nécessairement le détourner de ses croyances. Dès lors, peut-on affirmer que les hommes ont des croyances parce qu’ils sont ignorants ? A ce jour près de 80% de la population mondiale se réfère aux quatre groupes confessionnels principaux et outre la religion, les croyances et les superstitions font parties intégrantes de l’histoire de l’humanité. Mais, cette dernière prétend aussi que la raison est le propre de l’homme. Alors, est-il correct de dire que raison et croyance soient en opposition au sein

d’avant-garde intellectuelle du prolétariat, même s’il ne nie pas le rôle important que peut jouer la bourgeoisie intellectuelle qui se retourne contre sa classe comme instructeurs auprès du prolétariat. (cf. Fin du chapitre sur la science et le gouvernement de la science, page 95 à 99). L’extrait que j’ai choisi résume, selon moi, la pensée de cet ouvrage. A défaut d’en être une synthèse, c’est une sorte de conclusion aux différentes phases de constatation et d’argumentation que nous propose Bakounine