Sciences des religions

et soignera un Emir. Cela lui ouvrira les portes de la bibliothèque du palais. Sa plus grande œuvre est une encyclopédie de médecine de 5 volumes qui témoigne de sa passion du savoir. Pour lui, l’Islam ne devait pas être en opposition avec la Science et la philosophie. En 1037, alors qu'Avicenne est en voyage, il tombe gravement malade. Il tente de se soigner lui-même, mais en vain. Le plus grand médecin disparaît ainsi, laissant derrière lui près de 150 ouvrages dont de nombreuses thèses

adonne avec zèle" l.14, "sagesse" l.32 * ces tonalités révèlent la volonté éducative du père qui apparaît aussi dans la construction de la lettre : * chaque paragraphe concerne un enseignement : P1 : les langues et la science, certains arts : musique P2 : les sciences naturelles P3 : la médecine P4 : la chevalerie, la théologie * une construction progressive ponctuée par des connecteurs logiques : "Quant à" l.14, "Puis" l.19 * Caractère didactique, méthodologique, pédagogue

s’illustre dans le roman et invente l’autobiographie moderne. Quand à Mozart, il participe des Lumières par les thèmes de ses opéras comme par l’éloge du bonheur qui émane de sa musique. SYNTHESE II. La religion : l’ordre religieux contesté 1) Les Lumières mettent en question la religion pour rendre possible la prise en main par l’humanité de son propre destin et pour que les hommes puissent penser par soi-même et donc disposer d’une entière liberté d’examiner, de questionner, de critiquer

CHAPITRE 7 : La religion Phénomène religieux : Universel, il fait parti de l'humanité. Dans les sociétés contemporaines, ce phénomène tend à disparaître. On distingue trois termes : Le théisme : le fait de poser que Dieu existe L'athéisme : le fait de poser que Dieu n'existe pas L'agnosticisme : pas d'opinion sur la question ( = indifférence religieuse ) Cette porte de la religion en occident nous interroge. Il apparaît souvent que la religion ne correspond pas à la rationalité

donné, par extension, son nom de siècle des Lumières. Il est egalement appelé siècle des lumières par les diverses révolutions qui ont eut lieu. Il commence en 1670 et dure jusqu’en 1820. Les penseurs de cette époque ont marqué le domaine du savoir (science et philosophie) et de l’art (la littérature en particulier) par leurs questions et leurs critiques fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté En 1784, le philosophe allemand Kant propose une devise qui peut définir

ajoute, on ordonne. Pascal devient jans´eniste, et on apprend d`es la premi`ere phrase de la pr´eface que dans sa trenti`eme ann´ee (soit environ apr`es la nuit du m´emorial en 1654) le jeune Pascal abandonne l’´etude des math´ematiques et autres sciences peu catholiques pour la tr`es sainte ´etude des ´ecritures. Etienne P´erier aurait-il oubli´e que le 29 juillet 1654, Pascal faisait un expos´e ´epistolaire `a Fermat sur la r`egle des partis, expos´e qui allait donn´e naissance `a la g´eom´etrie

HEGEL, Introduction à l’esthétique – Le beau (Collection Champs-Flammarion). A lire attentivement : pages 9-53, 59-62, 66-70, 105-131, 139-155, 197-208, 313-314, 353-373. Plan, 9-12. Beau artistique et beau naturel. « La philosophie, la science du beau artistique et non du beau naturel » (9). 1/ L’opinion. A/ Le beau artistique est inférieur au beau naturel. B/ L’art doit imiter la nature. 2/ Le renversement de l’opinion. Le beau artistique est supérieur au beau naturel parce

ambiant, prétendent dresser Dieu contre la science, le savant contre le philosophe, la raison contre la religion, la technologie contre la poésie et la logique contre le sentiment. Bon nombre de pseudo-analyses, d'innombrables livres, des milliers d'articles ou couvertures de magazines consacrés à la science ne font que remettre inlassablement en scène, et rejouer sous toutes les variantes possibles, ce combat de loup-garous. La réflexion sur la "science et ses ennemis" se ramène trop souvent à ces

La religion est-elle essentielle à l’homme ? Religion et homme sont forcement lies Par ailleurs, nous pouvons rappeler qu’au sein des sociétés primitives, qui sont d’ailleurs les fondatrices de nos sociétés contemporaines, la religion était inhérente à la vie des hommes. En effet, chaque action accomplie était exécutée au nom d’un dieu et, de même, chaque phénomène, que nous pourrions par exemple aujourd’hui expliquer grâce aux sciences, était expliqué par la religion. Ainsi, une

II. La religion : l’ordre religieux contesté 1) Pourquoi les Lumières mettent-elles en question la religion ? (1), (2) 2) Sur quoi porte la critique religieuse ? (3), (4) 3) Quelle forme de croyance défendent-ils ? (5) 4) Sur quelles observations repose la critique religieuse des Lumières ? (6) 5) Quels modèles inspirent les philosophes ? (7) 6) À quoi vise cette critique de la religion ? (8) SYNTHÈSE : Pourquoi les philosophes commencent-ils à s’en prendre à la religion pour construire