Scor

1992, en comparant deux groupes d’adultes ayant une personnalité borderline, l’un avec automutilations et l’autre sans, trouve que les patients automutilateurs ont un score de dépression plus élevé à l’échelle d’Hamilton, mais ne diffère pas par les scores à l’échelle de dépression et de désespoir de Beck. Cet auteur trouve que la colère ou l’anxiété et l’impulsivité sont associées au comportement d’automutilations. Hawton en 1999 qui a étudié le rôle de facteurs psychologiques dans la répétition des

2011/2012 Sommaire I- Définitions; II- Conditions de base pour une bonne conception de la chaîne logistique; III- Phases de conception d’une chaîne logistique; IV- Les niveaux de conception de la chaîne logistique; V- Les modèles de conception « Modèle SCOR »; VI- Le plan directeur logistique; VII- Démarche/approche processus - Cartographie des processus; - Approche processus; - Exemple de logigrammes; - Mesure de la performance des processus; - Optimisation du processus Introduction  La conception

Orientations à prendre. Pour prendre les bonnes décisions, le benchmarker propose au logisticien le model SCOR. Le modèle SCOR (Supply Chain Operations Reference) : il est le vecteur d’excellence de la Supply Chain, il permet principalement de soutenir les décisions stratégiques de l’entreprise, et de mesurer la performance de l’entreprise en se basant sur un ensemble de clés. Le model SCOR découpe la Supply Chain en en 5 types de processus : planification (Plan), approvisionnement (Source), fabrication

contraire L et S sont liés à des événements d'indels. On peut présenter le résultat de l'arbre minimum en mettant les séquences l'une au-dessous de l'autre =alignement. Cet alignement reflète l'information des 4 cas de figures : 5.2 Les calculs de scores et les types d’alignements Des protéines homologues ont toujours des ressemblances sur le plan structural et souvent sur le plan fonctionnel. L'homologie est inférée par la ressemblance (similarité) entre séquences (gènes ou protéines) en utilisant

moderne ("Tout/Sans Atout") sens du jeu (horaire ou anti-horaire) annonces comptabilisation des annonces et de la Belote obligation de "pisser" à l'atout, tour de présentation des annonces prise forcée lorsque la carte retournée est un Valet arrondi des scores Les informations générales que vous trouverez dans ce manuel se rapportent aux règles de jeu de base de la belote standard. 3.2. La Belote contrée La Belote contrée La belote contrée ("la Contrée") et la belote coinchée ("la Coinche") suivent

 L500 : Soins aux lésions dermatologiques sans rupture de la barrière cutanée .......53  Carte des zones de plaies .......................................................................................54  Aperçu des règles pour le calcul des scores des items de la classe L .....................55 Classe M : Thermorégulation ....................................................................................................56  M100 : Gestion de la thermorégulation ........................

définit 4 grandes catégories : travail détendu (faible demande, grande autonomie) travail passif (faible demande, faible autonomie) travail actif, (forte demande, grande autonomie) travail stressé (forte demande, faible autonomie). CALCUL DES SCORES demande psychologique q10 + q11 + q12 + (5 – q13) + q14 + q15 + q16 + q17 +q18 latitude décisionnelle (q1 + (5-q2) + q3+ q7 + q9) x 2 + (q4 + (5 – q6) + q8) x 4 soutien social au travail hiérarchie : q19 + q20 + q21 + q22 collègues : q23

commande (personnalisation) et ETO (travaille à l’ingénierie) sont trois types de SC qui ne peuvent être remplacé ni regroupé. Les types de flux ne peuvent être regroupés ni substitués. Ce ne sont pas les mêmes configurations. LE MODELE SCOR Le modèle SCOR est un outil qui permet de recadrer la Supply Chain. Quelque soit le secteur d’activité et les types de SC, il y a toujours un client qui est la chose identique. Toute entreprise vise à servir ses clients en s’organisant à partir de modèle

prise par la variable sur une unité statistique. • Données : sont constituées par l’ensemble des observations (tableaux, fichiers, données primaires). Au sens mathématique du terme, une variable est une application de la population sur l’ensemble des scores. X :P→S Le fait que l’on note X une application peut être source de confusion. Cette notation devient cohérente dès que l’on parle de la distribution de la variable. • On distingue les variables nominales (ou caractères qualitatifs) des variables

calculs, les échelles alphabétiques « A, B, C, D » par exemple sont remplacées par des échelles numériques « 3, 2, 1, 0 »); 2) La distribution des scores de satisfaction : mesure de la dispersion des réponses pour chaque critère, puis pour chaque dimension sur une échelle de type A, B, C, D par exemple ; 3) L’analyse comparative : comparaison des scores de satisfaction selon une ou plusieurs variables (unités, groupes d’usagers, etc.) Exemple : enquête réalisée auprès des familles et des représentants