Segmentation Comportementale Banque

sur l’économie de production D- La démarche marketing de l’entreprise Analytique puis Stratégique (= mercatique) Opérationnelle (= marchéage) A = Etude qualitative ou quantitative S = Choisir target (cible), adapter la stratégie de segmentation, positionner le produit sur le marché O = Concrétiser les choix effectués, développer PLAN D’ACTION (Plan produit (élaboration du produit et son packaging (emballage) (Plan prix (détermination et test du prix) (Plan distribution (réseau de

leurs décisions. Elle permet de lutter contre l’incertitude grâce à des prévisions de couts et de budget. permet également de mettre en avant les sources d’inefficacité. Selon les rapports entre les institutions financières dans les pays (etat, banques, entreprises), les stratégies ne seront pas les mêmes. Toutefois, avec la mondialisation, les normes comptables tendent à s’harmoniser, ce qui est égelment source de conflit * Vers un contrôle total ? Le développement des organisations scientifiques

son environnement global Modèle 2 : C oncurrence : Conccurents directs (Ex. : Metro & IGA) F ournisseurs : Entreprises qui apportent les matières premières M arché : Clientèle potentielle et directe I ntermédiaires : Partenaires directs (banques, comptables, détaillants, etc) P ublics : Groupe de contestation, mouvements de consommateurs, actionnaires, ONG, partis Politiques, mouvements religieux, syndicats etc. Ce modèle repose sur les interactions quotidiennes de l’entreprise avec

niveau national (Belgique)4 1.1. Marketing stratégique4 1.1.1. Audit marketing4 1.1.2. Segmentation choisie pour la marque10 1.1.3. Ciblage de la marque (réel ou possible)11 1.1.4. Positionnement de la marque12 1.2. Marketing opérationnel13 1.2.1. Produit / marque13 1.2.2. Publicité14 2. Stratégie marketing au niveau international14 2.1. Marketing stratégique14 2.1.1. Analyse externe14 2.1.2. Segmentation recommandée pour la marque20 2.1.3. Ciblage recommandé pour la marque21 2.1.4. Positionnement

grandes universités américaines et d'autres comme la London School of Economics ou, semble-t-il, en France l'école d'économie de Paris et l'école d'économie de Toulouse et mis en œuvre dans les grandes institutions économiques mondiales (banques centrales, FMI, Banque mondiale, OCDE etc.) Si le premier à utiliser le mot néo-classique fut Thorstein Veblen en 1900 pour désigner l'économie marshallienne, son usage s'est imposé à travers la redécouverte de Walras par Hicks, un article de George Stigler

des actions de communication et de la promotion des produits ;  Gérer les actions de Marketing Direct ;  Piloter les compagnes de promotion des ventes ;  Assurer le développement des Ressources Humaines du service. 2) Service Etudes et Segmentation :  Assurer une veille continue et doter Poste Maroc d’une connaissance précise de ses clients et de son marché dans le domaine des services financiers ;  Assurer le suivi des évolutions des facteurs externes qui conditionnent les performances

................45 2. Menaces.............................................................................................................45 3. Forces…………………………………………………………………………45 4. Faiblesses……………………………………………………………………..46 II. La phase de segmentation et de ciblage.................................................46 III. La phase de positionnement...................................................................47 IV. Le plan de lancement.....................................................

répondre à une demande explosive. La demande était simple, l'offre devait l'être également. Pendant cette période, les entreprises se sont essentiellement concentrées sur la création de nouveaux produits et l'élargissement de l'offre. Les seventies : segmentation de marchés et mass markets Les années 70 furent les années de la rationalisation. L'optimisation de la production visait à baisser les coûts de fabrication. Il fallait, par la combinaison d'une baisse des coûts, d'une amélioration des processus

démarche CRM multicanale : Data-client, base de données produits, les canaux, consulter la DSI, les flux, les outils de communication, les process administratifs et commerciaux (parcours client), la connaissance client (analyse du portefeuille, segmentations, analyse quali & quanti, analyse de profils), le plan marketing relationnel déjà mis en place ainsi que le plan de communication existant (plans d’actions, chartes), les canaux de collecte et autres formulaires, analyse de l’organisation de l’entreprise

Samy Jost La théorie des coûts de transaction de W illiamson et la surveillance des banques dans l’UE euryopa Institut européen de l’Université de Genève Le catalogue général des publications est disponible sur le site de l’Institut européen: www.unige.ch/ieug Publications euryopa Institut européen de l’Université de Genève 2, rue Jean-Daniel Colladon • CH-1204 Genève Télécopie/fax +41 22 –379 78 52 euryopa vol. 27-2004 ISBN 2-940174-28-8 ISSN 1421-6817 © Institut européen de l’Université