Servitudes Conventionnelles

penser. « Le lit des tyrans se nourrit de la démission de l’homme libre ; le tyran n’a de pouvoir que si nous lui abandonnons le notre c’est-à-dire si nous lui abandonnons notre dignité d’homme libre ».   Etienne de La BOETIE, Discours de la servitude volontaire (Cour de cassation, chambre sociale, 3 février 2010, n° 08-44019 et 08-40144 : l’employeur manque à son obligation de sécurité dès qu’un salarié est victime de harcèlement ou de violences sur son lieu de travail, même s’il a pris des

Etienne de la Boétie, 1530 – 1563 Présentation l L’auteur Etienne de La Boétie naît à Sarlat dans le Périgord en 1530. Il a 18 ans lorsqu’il rédige le Discours de la servitude volontaire, qui deviendra son œuvre la plus connue. Issu d’un milieu aisé et cultivé il est attiré, à l’instar de nombreux jeunes nobles et bourgeois de son temps, par l’étude des civilisations grecque et romaine, auxquelles d’ailleurs il fait très souvent référence dans son ouvrage. Traducteur de nombreux auteurs

l’adhésion à un principe, une idéologie et le pouvoir repose sur la séduction. I- Fondements du pouvoir A) L’Antiquité et la servitude volontaire, selon Etienne de la Boétie Cet auteur s’interroge sur les sociétés antiques et veut nous informer sur sa perception des formes de pouvoir dans la société dans laquelle il vit. Il écrit en 1548 « Discours sur la servitude volontaire » et critique de manière masquée le pouvoir en place qui en 1548 a réprimé des révoltes contre la gabelle. Il y a trois

Boétie – commentaire composé Etienne de La Boétie, né en 1530, est l’un des grands écrivains du début du mouvement humaniste du XVIe siècle. C’est aussi un philosophe, poète et ami de Montaigne. La Boétie est rendu célèbre grâce à son Discours de la servitude volontaire qu’il a écrit en 1548 alors qu’il n’avait que 18 ans. Issu d’un milieu aisé et cultivé, il est attiré par l’étude des civilisations grecque et romaine, auxquelles d’ailleurs il fait très souvent référence dans son ouvrage. A 23 ans, il

“dressent” La Boétie affirme que le tyran est influençable, a tel point que les tyranneaux le prennent pour un animal. Puisqu’on dressent un animal, pas une personne. Les tyranneaux sont donc en train de le corrompre. A travers le Discours de La servitude Volontaire, l’auteur nous énumère trois causes de la tyrannie ne tient que part 3 stratagèmes : ici, c’est le recours au favoris qui est mentionner. Antithèse “ danger” “secours” souligne que le tyran a besoin des tyranneaux puisque lorsqu’il est

d'amour, entre un père et son fils,. l’affection qui unit le philosophe et l’écrivain est spirituelle, union de deux beaux esprits, passion de deux belles âmes. Il est l’auteur de multiples sonnets et analyse la tyrannie dans son discours de la servitude volontaire (1576) Il mourra d'une dysenterie à presque 33ans Montaigne commente la mort de son ami dans une lettre pour son père : “ Le 18 du mois d'août de l'an 1563, Étienne de la Boétie expire. Il n'est âgé que de 32 ans 9 mois 17 jours” C'est

Étienne de la Boetie. Discours de la servitude volontaire Né dans le Sud-Ouest de la France, Antoine de la Boétie fut auteur très jeune. Dans son polémique Discours de la servitude volontaire , qu'il écrit avant même l'age adulte, il critique la tyrannie et appel le peuple a y faire face pacifiquement ; en utilisant plusieurs moyens pour persuader son lecteur. Quels sont ils ? Nous verrons en premier lieu que La Boetie nous met face à une situation paradoxale, que son discours se veut persuasif

Discours de la servitude volontaire, Etienne de La Boétie. Le texte que nous avons étudié est un discours extrait du livre Discours de la servitude volontaire d’Étienne de La Boétie, rédigé en 1548, période de l'humanisme, durant laquelle l'homme et ses pensées, ses sentiments, sont exposées. et publié pour la première fois en 1574. Cet écrivain humaniste et poète français, né en 1530, écrit ce livre suite à la brutalité de la répression d'une révolte en 1548. Il y expose la servitude volontaire

moquer de soit même prouve une forte ouverture d'esprit, chose que vous n'avez apparemment pas... Charlotte, en colère.- Ça suffit, je ne vous permet pas de me juger sur ma façon de pensée. D'ailleurs, selon moi, un texte comme Discours de la servitude volontaire de La Boétie est bien plsu direct et plus compréhensif. D'autre part, il ne se cache pas derrière des animaux et ne se déresponsabilise pas face à la situation. Je le trouve plus courageux et même plus honnête car il n'utilise pas de chemins

ou interne ( suis-je libre face à une passion qui me dévore comme celle du jeu ?). Référence : Hobbes ( De cive, s° 2, ch. IX, § 9) « Communément on tient que la liberté consiste à pouvoir faire impunément tout ce que bon nous semble et que la servitude est une restriction de cette liberté ». De quelle contrainte s’agit-il ? S’exerce-t-elle du dehors ( ex. la captivité) ou du dedans ( ex. les passions) ? Il convient de distinguer : 1. ≠°contrainte externe et contrainte interne On peut être