Sexualité Infantile Freud

Analyse : « De l'auto-érotisme à un auto-érotisme à deux, déjà en marche vers l'érotisme tout court ... », Gérard POMMIER De la pulsion au phallicisme – de l’Être à l'Avoir D’après Freud, les premières phobies chez l'enfant naissent de l'obscurité et de solitude. En effet, le manque de reflet et d'écho de parole déclenchent une crainte d’être aspiré dans l'obscurité et de devenir le phallus de sa mère ; place que l'enfant pense devoir occuper. Cette pensée vient du fait que la mère éprouve un

adaptation au réel). Freud (1895) : découvre les névroses à travers l'hystérie et décrit 4 formes de névroses : Névrose phobique Névrose d'angoisse Névrose obsessionnelle Névrose hystérique (psychonévrose de défense) : névrose liées à l'histoire infantile du patient. Névrose psychique narcissique. Névrose hystérique différentes des névrose actuelle sont liées au moment dans lequel vit le sujet, c'est à dire à des traumatisme circonstancielles → névrose de guerre. Freud reprend l'idée de

PARANOÏAQUE » - SIGMUND FREUD INTRODUCTION Présentation du texte Nous allons vous présenter le chapitre III du livre Le président Schreber, un cas de paranoïa où Sigmund Freud propose une interprétation et une analyse basée uniquement sur sa lecture de faits mémorables d’un névropathe écrit par Daniel Paul Schreber en 1903 (car il ne l’a jamais rencontré). Cet ouvrage lui a été présenté par l’un de ces amis : Carl Jung. Contexte Historique Contexte étudié dans Freud présenté par lui-même

l’épisode traumatique qui est à l’origine de l’hystérie demeure hors du champ de la conscience (reste caché). Breuer (1842-1925) et la méthode cathartique : Il joue un rôle important dans la pensée de Freud. Il s’intéresse à la psychologie et à l’hypnose à travers l’hystérie et dès 1877 il travaille avec Freud sur le cas de Anna 0.. Pour lui, il existe un lien entre l’affect refoulé et le symptôme hystérique. Il admet les quatre phases de Charcot et explique la conversion hystérique (paralysie d’un membre)

notion dont le terme a hérité, et la constitution du discours où il affleure comme concept. C'est en fait chez Freud qu'il a pu accéder à la dignité de concept scientifique, bien que l'idéologie médicale qui sert le discours du maître ait justement subverti la psychanalyse pour la réduire à n'être qu'un savoir sur la frustration comme poison et thériaque. L'enjeu du « retour à Freud », en ce qui concerne la production de ce concept, puis son utilisation au sein du discours psychanalytique, est

d'intérêt ou de sens, demeurent en dehors de la sphère de la pensée et de la conscience. C'est avec Freud que l'assimilation de la pensée à la conscience va être radicalement remise en question. Le psychisme ne se réduit plus à la conscience, de sorte que le sujet va perdre, avec son entière transparence à soi, sa souveraineté sur ses idées, ses désirs et ses actes. Selon l'expression de Freud, « le moi n’est pas le maître dans sa propre maison ». Nous éluciderons, dans un premier temps, les

psychiatre René Laforgue (1894-1962) qui lui fit découvrir l’œuvre et la pensée de Freud et par le pédiatre Edouard Pichon (1890-1940). Dès sa thèse intitulée Psychanalyse et Pédiatrie qu’elle présenta en 1939, Françoise Dolto s’intéresse à l’analyse des problèmes psychoaffectifs des enfants et invente une méthode de psychanalyse infantile. Même si Françoise Dolto s’est largement inspiré des théories de Sigmund Freud (Médecin autrichien, fondateur de la psychanalyse 1856-1939) et de Jacques Lacan

Quinze ans après avoir écrit « introduction à la psychanalyse », Freud nous fait part de ses avancées notamment en revenant sur la théorie des rêves dans le premier chapitre. Il traite également de la décomposition de la personnalité psychique (le Surmoi, le Ca, le Moi), de la vie pulsionnelle et de l’angoisse ainsi que de la féminité. Dès la première page du livre, nous comprenons bien que Freud s’adresse à un public d’amateur éclairé puisqu’il amène d’emblée le lecteur sur la question de l’interprétation

« dépression » était appelé alors mélancolie (méla: noir, colia: humeur/liquide). À la fin du XIX s. un jeune psychiatre autrichien Sigmund Freud (1856-1939) se pose la question des maladies pour lesquelles on ne trouve aucune cause physique, par exemple il rencontre des patients qui ont des cécités ou des paralysies sans que les organes concernés soient lésés. Freud voit bien que la souffrance de ses patients est réelle. Il obtient une bourse d'étude à Paris, à l'hôpital de la Salpetrière au service

LES NEVROSES I. Définitions et acceptions • • • • II. Cullen (18ème) Pinel (18ème) Troubles / maladies / affections Freud (2 modèles) 1814 / 1914 Mécanismes et processus psychiques /Névroses • • Refoulement et œdipe « 3 essais) Transfert : NI/N/NT III. Synthèse I. Définition et acceptions Le terme de « névrose » est beaucoup trop vague, des formes de souffrances psychiques avec des degrés de différences entre chaque individu… Exemple: personne sans problème particulier, très angoissée, pas