Shamash

Dieux. Physiquement, matériellement ce code d'hammourabi, la trace qu'on en a c'est une stèle exposée au musée du Louvre et au sommet de cette stèle on a une sculpture qui présente ce souverain Hammourabi à genou en face d'une divinité qui s'appelle Shamash (qui est le dieu du soleil et de la justice). Hammourabi se prosterne devant cette divinité qui lui révèle le droit. On le voit bien au travers de cette représentation Hammourabi n'est que l'interprète de la parole divine. Il s'agit d'un droit d'origine

dieux. Code d’Urnammu C’est avec la force des dieux que le roi doit établir la justice et l’équité.  La loi vient du roi par les dieux. On retrouve cette idée dans chaque code. Ex Hammurabi « je suis Hammurabi le roi du droit, à qui Shamash a donné la virilité » Shamash = juge suprême, dieu de justice. Page 8 du cours -> symbolique des objets : le bâton remis du Dieu au Roi est un morceau de roseau qui servait à écrire sur les tablettes d’argile. Autre interprétation : symbole du pouvoir royal

notre ère : « Si cet homme a pris garde à mes d6crets que j'ai écrit sur ma stèle, s'il n'a pas écarté ma législation, s'il n'a pas révoqué mes décrets, s'il n'a pas contrarié mes dessins, cet homme sera comme moi, un roi du droit ( ... ) Puisse Shamash allonger son règne, puisse-t-il paître ses gens dans le droit ... >> Sur cette œuvre de science vouée à la justice V. J. BOITERO, Mésopotamie, l'écriture, la raison et les dieux, Gallimard, Folio-histoire, spéc. pp. 284 - 334. 18 d'une fonction

S’il s’agit d’un Droit imprégné de religion c’est parce que par exemple le Droit Mésopotamien se considère comme une révélation : le Code d’Hammourabi, roi de Babylone qui a réunifié la Mésopotamie en 1750 av JC, proclame le respect envers le Dieu Shamash (le soleil et la justice) qui avait lui-même dicté le code au roi. Dans ces sociétés le Droit s’approche plus de la morale et a un but de conservation sociale. L’ordalie est aussi un signe de l’imprégnation religieuse puisqu’il s’agit d’un jugement

est le témoin parfait des dieux et des hommes, avertissant Héphaïstos, dieu du feu souterrain créateur de formes, des infidélités de sa femme ou Déméter, déesse de l’agriculture, de l’enlèvement de sa fille. Dans la mythologie assyro-babylonienne, Shamash, le dieu Soleil, a un regard omniscient sur le monde, d’où son association aux questions de justice et de divination. Allégorie de la connaissance, l’énergie solaire est aussi cette lumière sans laquelle l’homme, plongé dans les ténèbres, ne peut

le traducteur et l’exécuteur de la volonté divine. Le code ‘d’Abu-Dhabi il ne revendique pas la paternité des textes et déclare simplement come étant celui qui a retranscrit la parole des dieux et fur gravit sur une stèle. Les historiens pensent Shamash qui est le droit de la justice et du ciel. Ce code peut être considère comme une compilation de lois casuistique, le droit a été formé a partir de jugements. Ils sont devenues des règles de droit et furent ensuite retranscrit dans un corpus. L’empire

elle est redécouverte en 1901, après cela l’histoire du droit à évoluer, il prouve la grandeur de ce roi législateur que représente Hammourabi. On peut y voir également gravée « Hammourabi » représenté comme écrivant le droit sous la dictée du dieu Shamash (Dieu soleil de Mésopotamie). D’après la religion mésopotamienne, les dieux ont créé les H pour en faire de fidèles serviteurs, c’est pourquoi les H doivent respecter les Dieux et honorer les dieux dans des endroits de culte, en l’occurrence dans

retranscrivant la parole des dieux, Hammourabi ne revendique pas la paternité du texte, il dit être celui qui a retranscrit la parole des dieux. Cette affirmation est retrouvée dans la partie supérieure de la Stèle. (Souverain qui prie devant un Dieu , Shamash, divinité du soleil et de la justice). Le souverain n’est que l’interprète de la parole divine. Seconde caractéristique: ce code d’Hammu rabi constitue la plus ancienne compilation de lois à nous être parvenue. (Code le plus complet de la haute antiquité

arabes) et son exaltation de la lettre qui contient l'image du Dieu à présent absent ; et il ne s'agit pas là de séparation, mais de continuité qui confère à la langue toute son importance comme moyen de représentation : "En invoquant le dieu shamash, patron des voyageurs, je reconnais l'arabe , soleil, ogre qui dévore mes troupes sur l'aride steppe" (p. 26). La dérive menant des langues arabe et hébraïque à "l'akkadien ancêtre" aboutit ainsi à un retour à l'arabe, et au dialecte, puis à Sumer

Kush était l’une des régions maîtresses ; que la planète Mercure, sera, sous le nom de Japhet, dans un secteur de l’Ecliptique correspondant, sur terre, à l’Europe ; et enfin que la planète Soleil sera, sous le nom de Sem (un Sem qui s’appelait Shamash en Mésopotamie), dans un secteur de l’Ecliptique corrrespondant, sur terre, à l’Asie et au Moyen Orient. Quant à Noé, si l’on peut voir en lui le soleil du tour précédent, on peut également voir en lui un soleil qui est devenu, maintenant que le