Simmel

ou représente-t-il l’aliénation, un obstacle à la liberté ? En résumé quelle est la place de l’argent dans la société moderne et son lien avec la liberté ? « L’argent libérateur » est sans doute l’un des thèmes les plus importants de l’œuvre de Simmel. L’argent est très souvent associé à l’idée de liberté. Lorsque l’on pense argent on pense souvent à la puissance, la possession, au luxe, un bon niveau de vie,… une multitude de choses que l’on relie à la liberté. Il ne faut cependant pas oublier

retrouver des sensations. Dans ce cas, la frontière entre bonheur et malheur est très perméable : l’argent est le moyen du malheur bien plus que celui du bonheur. L’argent suffit-il à être heureux ? Chacun de Zola dans L’Argent, Molière dans L’Avare, et Simmel dans La philosophie de l’Argent, souligne le rapport de l’homme à l’argent, et illustre bien le fait que l’argent engendre plus facilement le malheur de l’être que son bonheur. Certes l’argent est un des moyens d’accès au bonheur par l’acquisition

modèle de base n’a donc pas changé mais la fixation des prix par chaque particulier à donner au système monétaire un paradoxe, celui de donner une valeur quantitatif à un objet dont la vraie valeur est totalement différente et souvent plus basse. Pour Simmel, la valeur de l’argent est d’autant plus grande qu’il offre de choix, c’est la valeur de toutes les possibilités. Pourquoi ne pas instaurer un autre système monétaire basé sur des coupures de journaux fabriqués avec la même matière que les billets

spoliations de feu son mari. Ainsi, p. 81-82 : « .….……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………  ». Simmel explicite très radicalement cette analogie entre se définir et payer, acheter ceci plutôt que cela. Il va dire que l'argent est comme un langage, qui dit de l'acteur économique quelle est sa teneur ontologique, son mode particulier d'exister. Ainsi

est un ordre négocié. Comment les interactionnistes perçoivent-il les individus? L'individu est en partie libre est conditionné, cela dépend des situations qu’il traverse. C’est quelqu’un qui met de la signification dans ce qu’il fait. G. Simmel: «Les hommes font et subissent.» Nous vivons dans un cadre que nous avons fabriqués dans nos interactions de tous les jours. Quelle démarche scientifique doit suivre l'interactionnisme? La sociologie est une science à part, elle n’a pas à

aurait la sociaux compréhensive voulu par Dilthey, une socio qui permet de retracer l'activité mentale des acteurs historiques et qui permettra de comprendre des objets aussi différent qu'une révolution, une crise éco, ou un mouvement de mode comme Simmel l'étudiera. Karl Mannheim, Idéologie et Utopie parut en 1929 en Allemagne et parut en français en 1956. Karl est un marxiste hétérodoxe. Dans cet ouvrage l'auteur s'est fait une spécialité ds la socio de la connaissance. Ceci est définit

car elle allait limiter les conflits de classe. Autre auteur: George Simmel (1896) Pour Simmel l'apparition de la classe moyenne va modifier les rapports de force entre les autres classes. Ce n'est pas juste une classe qui vient s'ajouter aux deux autres. Modifiant les rapports de force, elle va modifier les classes sociales elles-mêmes. Des alliances vont pouvoir se créer entre les différentes classes. D'une manière générale Simmel est attaché au fait que la triade (relation qui se noue entre trois

toute approche du changement, de passer par l’appropriation de ce changement dans l’interaction. Simmel : les formes d’interactions socialisantes La première référence se veut être une réponse à la question de la domination et de la subordination à travers une réflexion théorique sur ce que sont les structures sociales, leur création et leurs évolutions. Un des pères fondateurs de la sociologie, Georg Simmel, longtemps oublié, définit la sociologie comme l’étude des « formes d’interactions socialisantes

C’est le sociologue qui a distingué la solidarité mécanique (= société traditionnelle) à la solidarité organique (= société moderne). Il voit un danger dans la modernité. [Weber]: Il va percevoir un danger de la raison, de la rationalisation. [Simmel] : Il a le même avis, pourtant il a une vision un peu plus positive, plus optimiste. Donc dans ce cours, on va voir des auteurs que l’on rattache à l’école de Francfort. C’est un courant théorique qui puise ses inspirations chez Marx, Freud

approche à un objectif ambitieux de donner une unité et une spécificité aux sciences humaines en générales. Auteurs centraux : William Diltaï & Georges Simmel. * Ligne centrale de cette approche : Les sciences de la nature expliquent, les sciences humaines comprennent. Cette querelle a montré l’opposition entre montrer et comprendre. Simmel : Il lit la constitution des socialisations = la compréhension et la constitution des sociétés. Pour lui c’est le processus d’interaction qui inclue la