Snc Ohada

commercial est le droit qui régit les actes de commerce. Aux termes de l’article 2 de l’Acte uniforme portant droit commercial général : « est commerçant celui qui fait de l’accomplissement d’acte de commerce par nature sa profession  ». Le législateur ohada n’a pas manqué de définir l’acte de commerce par nature en faisant allusion au critère de l’entremise et de la spéculation. Il semble, au regard de toutes ces définitions que le droit commercial doit être considéré comme le droit des commerçants

HILARION Alain BITSAMANA DICTIONNAIRE DE DROIT OHADA D i ct i on n ai r e de d r oi t o h a d a Page 1 Dictionnaire de Droit OHADA Hilarion Alain BITSAMANA Maître en Droit privé Chargé de cours à L’ESC, ISCOM Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées dans le présent ouvrage, faite sans autorisation de l’éditeur, est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d’une part les reproductions strictement

dans le but de partager les bénéfices, les économies ou les parties qui pourront en résulter. Au Bénin, le droit positif des sociétés comprend quelques anciens textes. Mais depuis janvier 1998, le Benin est régi par le droit des sociétés de l’espace OHADA. Les sociétés dans tous les cas, figurent parmi les personnes morales de droit privé caractérisées par la recherche d’un but lucratif. C’est ce qui distingue les sociétés des associations dont le but est autre que le partage des bénéfices (loi de

2003, n°845, p.464 et suivants Adijpa AS, L’interprétation de la volonté des parties dans la vente commerciale OHADA, Pénant, n°841, octobre –décembre 2002, p.473 Binaci I. P., Le registre du commerce et du crédit mobilier, La gazette de l’OHADA n°2, 1er juillet 2001 Santos A. P. et Toé Jean Yado, Droit commercial général, juriscop, collection OHADA, Brulants-Bruxelles, 2002 OHADA, Traités et actes uniformes commentés et annotés, juriscop, 4ème édition 2011 Introduction générale Le Droit

similitude du G.I.E avec la S.N.C. Le G.I.E est en effet un groupement gouverné par l’intutis personae. Les droits des membres ne sont pas librement cessibles et ne peuvent être négociable * Le capital social : Selon l’article 870 du code OHADA le G.I.E. peut être constitué sans capital. Si le contrat en prévoit un, aucun minimum n’est exigé. Le G.I.E. ne peut faire appel public à l’épargne. Cependant, la variabilité du capital est possible. * Les apports : aucun apport n’est exigé

HILARION Alain BITSAMANA DICTIONNAIRE DE DROIT OHADA 0 Dictionnaire de Droit OHADA Hilarion Alain BITSAMANA Maître en Droit privé Chargé de cours à L’ESC, ISCOM Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées dans le présent ouvrage, faite sans autorisation de l’éditeur, est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d’une part les reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste

Ohadata D-05-33 HILARION Alain BITSAMANA DICTIONNAIRE DE DROIT OHADA Dictionnaire de Droit OHADA Hilarion Alain BITSAMANA Maître en Droit privé Chargé de cours à L’ESC, ISCOM Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées dans le présent ouvrage, faite sans autorisation de l’éditeur, est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d’une part les reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste

Ohadata D-05-33 HILARION Alain BITSAMANA DICTIONNAIRE DE DROIT OHADA Dictionnaire de Droit OHADA Hilarion Alain BITSAMANA Maître en Droit privé Chargé de cours à L’ESC, ISCOM Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque procédé que ce soit, des pages publiées dans le présent ouvrage, faite sans autorisation de l’éditeur, est illicite et constitue une contrefaçon. Seules sont autorisées, d’une part les reproductions strictement réservées à l’usage privé du copiste et

Economique (AUSCGIE) de l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique du Droit des Affaires (OHADA), définit la société commerciale comme : « une convention par laquelle deux ou plusieurs personnes affectent à une activité des biens en numéraire ou en nature, dans le but d’en partager les bénéfices ou de profiter de l’économie qui pourra en résulter »[3]. A la lumière de ce texte, le législateur OHADA exige, pour la formation de la société, le concours de deux ou plusieurs volontés : c’est le principe

Droit des sociétés, 2ème éd. Ellipses, 2003. - MERLE (Ph), Précis de Droit commercial et de sociétés commerciales, 8ème éd., Dalloz, 2001. - SANTOS ( A.P) et TOE ( J.Y), Droit commercial général, Juriscope, Collection OHADA, BRULANTS-Bruxelles, 2002. - OHADA, Traité et Actes Uniformes commentés et annotés, Juriscope, 1999. INTRODUCTION Le droit positif est le reflet de l’économie contemporaine, c'est-à-dire un système d’économie mixte pétri de contradictions contraint à se