Sncf La Croyance

va contribuer à valoriser aux yeux du salarié les canaux informels de communication ainsi que les informations non officielles (indications de travail, informations sur la vie de groupe, relations affectives entre les salariés mais aussi rumeurs, croyances et mythes). Ces informations l’aident à mieux comprendre le fonctionnement réel de l’organisation et lui semblent bien plus proche de la réalité observée que les informations transmises par la communication interne officielle (Morton, Brookes, Smart

… L’INSIGHT : vaste domaine sociologique, psychologique. C’est le point de vue, la croyance du consommateur qui étaye la promesse sur laquelle la promesse s’appuie, à travers différentes études d’observation, d’études sociologiques, anthropologiques… La REASON WHY : argument qu’on peut souvent mettre en scène pour étayer la promesse, la démontrer, en symbolisant l’INSIGHT, et en représentant la croyance derrière. Les créatifs ont besoin d’être encadrés, c’est pour cela qu’il y a des juristes

est l’unique actionnaire. Lorsque les capitaux sont pour parti privé on doit parler de société d’économie mixte. Le secteur public s’est considérablement développé en France avec :  les nationalisations : o 1936 : front populaire (banque et SNCF) o 1945 : la reconstruction(GDF) o 1981 la gauche : politique keynésienne : intervention de l’état o 2008 : ?? Nationalisation provisoire des banques pour faire face à la crise des Subprimes ??  privatisations : (politique libérale) o 86-88 ;

stimulant en confondant stress optimal et hyperstress. C’est une question de dosage. Il suffit de ramener le curseur du côté du stress bénéfique et de tester certaines attitudes de stress optimal. Il est conseillé aux hyperstressés de s’interroger sur la croyance selon laquelle plus le stress est élevé, plus la motivation est forte. Cette conviction risque de susciter davantage de démotivation, de fatigue, d’usure, de désinvestissement chez les collaborateurs que de créativité, de productivité, etc. Conseils

consentement erroné : l’Erreur. 1. Le consentement erroné : l’erreur. La notion d’erreur vice du consentement : Cette erreur c’est une discordance entre la croyance et la réalité. Discordance entre la croyance et la réalité = erreur est la fausse perception de la réalité par un contractant. Il faut comparer la réalité avec la croyance du contractant. S’il y a un décalage entre les deux, il y a erreur. Il peut y avoir un doute sur la réalité : quand on n’est pas certain de la réalité. CC, affaire

Méthodes quantitatives :      ‐ Pour un concept ou produit connu, ou les informations requises sont les attitudes, et  les moyens de recherche sont les questionnaires structurés d’attitude.    ‐ Pour  les  croyances  spécifiques  à  l’égard  d’un  produit,  ou  les  informations  requises  sont  les  croyances  et  les  opinions  et  les  moyens  de  recherche  sont  les  sondages  d’opinion.    ‐ Pour  les  réactions  à  un  changement  d’une  des  variables  du  marketing  mix,  ou  les  informations  requises 

gestion de l’entreprise) exemple SA -          la SARL a un positionnement intermédiaire La finalité de ces entreprises est en générale un service rendu à la collectivité.   Exemple : -          entreprises nationalisées -          EPIC (EDF, SNCF) -          Sociétés d’économie mixte (Air France) -          concessions Ces entreprises n’ont pas pour objet exclusif le profit. Elles s’appuient sur des principes de solidarités (exemple : CAMIF)   EURL Entreprise Unilatérale à Responsabilité

consentement En 1804, le législateur a prévu dans l’article 1109 3 causes de nullité du consentement : s'il a été donné par erreur par violence ou surpris par do Ce sont des faits juridiques qui se prouvent par tout moyen. A. L'erreur → Croyance erronée, représentation inexacte de la réalité qui consiste à prendre pour vrai ce qui est faux et inversement.Toute erreur n'est pas vice du consentement : on annule pas facilement des conventions.L'article 1110 CC dispose que l' « erreur est une

place spontanément par les agents sur le terrain pour gérer en temps réel les trous dans les règles et procédures qui régissent l’activité mais ne peuvent tout prévoir. Ainsi, dans les transports ferroviaires, le pôle qualité et sécurité de la SNCF s’est engagé dans une démarche qui complète l’analyse habituelle des incidents (approche analytique), par le relevé des mécanismes d’ajustements pratiqués par les agents de terrain (et non les experts), qui explique tout ce qui a marché au quotidien

important. Dans l’entreprise E1, le respect de la hiérarchie faisait que de tels attitudes étaient impensables et que chacun parlait de son domaine. » 21 2. Les composantes de la culture d’entreprise 2.1. Croyances, valeurs et normes La culture d’entreprise est d’abord composée de croyances, de valeurs et de normes qui déterminent ce qui est bien ou mal, ce qu’il convient de faire face à une situation donnée. Ce sont des principes fondateurs sur lesquels toutes les actions reposent. On peut distinguer