Sommes Nous Libre Ou Le Devenons Nous

nos actes soient conscients pour qu’ils soient volontaires ? « Pour être libre il faut être conscient ; et pour être conscient, il faut être libre, » écrit Moffadel Abderrahim, écrivain marocain, dans Suis-je rêve ou réalité . Liberté, conscience et volonté semblent aller main dans la main puisque pour qu’un acte soit volontaire il doit être conscient, mais doit-il être libre? Si je choisis de boire et que j’ai conscience de boire alors mon acte est volontaire

habitudes. Nos habitudes peuvent nous empêcher d'évoluer, et être donc dévalorisé, nous sommes dépendant de notre confort, par exemple si un imprévu se passe cela nous surprend, et nous ne saurons pas comment réagir alors que les imprévus nous font évoluer, donc ce qui est inhabituel nous surprend et nous devenons déstabilisé, une pression peut se manifester un nous. En étant esclave de nos habitudes nous sommes contraint de ne pas avancer, c'est à dire de ne pas découvrir d'autre façons de vivre

choix ?Cependant la liberté peut-être physique, politique, morale. Si, nous avons le choix d'être libre avons-nous une possibilité de faire d'une autre façon ? Mais aussi sommes-nous déterminés à faire quelque chose, devenir quelqu’un ? Et nos choix sont-ils déterminés par des choses inconnus, destin , dieu.. ? L'expression « d'etre ce que l'on est », semble dans un sens évidente, nous sommes ce que nous sommes, nous pouvons pas être quelqu'un autre. Cette expression fait appel à l'identité du sujet.

dessus de l'homme et ce dernier est responsable de son sort, des choix qu'il a fait et de ses actes. Selon Sartre l'homme existe d'abord et se définit ensuite par ses actions, c'est pour cela qu'il dira : L'existence précède l'essence. Nous sommes libre de faire nos choix, ceux-ci et les actions qui en découlent peuvent être bonnes ou mauvaises mais dans tous les cas, nous devons en assumer les conséquences. Ici, l'enfer n'est plus le lieu de damnation que l'on s'imaginait mais un lieu où l'on

Sujet : Sommes nous devenus les esclaves de la technique ? Dans le livre Sérénité , Question III du philosophe Martin Heidegger, l’auteur cite «  notre attachement aux choses techniques est maintenant si fort que nous sommes, à notre insu, devenus leurs esclaves », dans cette citation assez choquante l’auteur nous fait comprendre que notre attachement aux objets crées par l’Homme nous rend esclaves de ceux-ci, mais alors sommes-nous devenus les

leur «caverne», comme prétend Platon. Ils sont des prisonniers qui sont doublement enchaînés, car d’abord, ils sont victimes, et ensuite, ils sont ignorants de ce dont ils sont victimes. Plus esclave encore que l’esclave est l’esclave qui se croit libre. La société actuelle tend de plus en plus à valoriser un genre de vie d’où la réflexion et l’étude sont exclues. En effet, le plaisir immédiat, l’immaturité et le divertissement sont devenus des vertus importantes : plus on rigole et plus notre

Parmi ces discordances, on peut se demander si nous savons encore réellement juger nous-mêmes, de ce qui est peut être bon pour notre santé et de ce qui pourrait nuire à celle-ci. Sommes-nous encore capables d'écouter nos sens? Manger est tout d'abord un besoin primaire, l'Homme comme l'animal a besoin de se nourrir pour vivre mais l'alimentation est également une source de plaisir, la nourriture éveille les sens. Le développement

Le texte contemporain d’Henri Pena-Ruiz met en valeur les pensées de Jules César, avant que celui-ci ne franchisse le Rubicon, fleuve dont les autorités romaines ont interdit la traversée dans les années 50 avant JC. Ce texte met en avant le libre arbitre et la difficulté de faire des choix. On présuppose que deux attitudes sont possibles face à une autorité, la résignation ou la révolte. Mais laquelle est préférable ? Répondre à ce sujet reviendrait à se poser la question du bien commun. Nous

L’être humain Comprendre l’être humain est tout un défi , de nombreux philosophes ont tentés d’expliquer à leur façon ce que nous sommes et ont exposés différentes conceptions de l’être humain . Je vais tenter moi aussi de répondre à cette question fondamentale ; Qu’est-ce que l’être humain ? Premièrement je vais exposer brièvement la pensée de Reeves , de Jacquard , de Clarke et Texier ainsi que celle de Freud , Camus et Laborit . Ensuite je vais comparer Camus à Laborit en faisant appel aux explications

la capacité de se déterminer eux mêmes et vivre selon leur propres règles ; par opposition aux autres êtres vivants qui eux sont déterminés. On appelle à cette capacité humaine de s’arracher de ses propres instincts et d’autres conditionneurs le « libre arbitre ». Mais peut on se déterminer sans influence de rien ? même des facteurs inconscients, s’il les en a  ? D’autre part, le déterminisme est une notion qui vient du caractère prédictif physico-mathématique du principe de causalité ; du le