Sommes Nous Libre Ou Le Devenons Nous

pourquoi ? Je me suis surmené, ma bonne. Du matin au soir, toujours sur pied. Je ne connais pas le repos. La nuit, j’ai peur qu’on me tire du lit pour me traîner chez un malade. Depuis tout le temps que nous nous connaissons, je n’ai pas eu un jour libre. Comment ne pas vieillir ? Et en elle-même la vie est ennuyeuse, bête, sale… Cette vie nous enlise. Autour de nous, rien que des toqués. En vivant avec eux deux ou trois ans, on le devient peu à peu, sans s’en apercevoir. Destin inévitable !(Il tortille

séance du Reichstag en 1934. ➤ Mettre en relation les documents 8. Doc. 1, 2, 3 et 4 : Comment Hitler a-t-il utilisé le parti nazi pour prendre le pouvoir ? « Nous allons au Reichstag pour utiliser à nos profits les armes de la démocratie. Nous devenons députés pour paralyser la démocratie et en plus avec son aide. Nous y venons en ennemis ! Comme le loup qui s’est introduit dans la bergerie. » Joseph Goebbels (futur ministre de l’Information et de la Propagande du IIIe Reich), le 30 avril 1928

nature nous rapproche les uns les autres, alors que les cultures nous différencient, nous divisent, et parfois même nous opposent jusqu'à la guerre. Nous sommes donc des créatures doubles : en partie animaux, soumis à nos réflexes innés, et en partie spirituels, propres à acquérir des connaissances. Remarquons d'ailleurs que nous ne sommes pas les seuls à pouvoir mémoriser les connaissances dont nous disposons en tant qu'Européens. Un Tibétain ou un Malien peuvent les apprendre aussi - ils les

(Entrückung, raptus), « l’élan » (Schwung), « le saut par-dessus toute limite » (Sprung über jede Schranke), « le jet » (Wurf), dont découlent l’être-jeté (Geworfenheit) aussi bien que le projet (Entwurf). En d’autres termes, « la temporalisation est le libre élan de la temporalité origi- naire en sa totalité »1. En vertu de sa temporalité ekstatique, le Dasein est loin de vivre dans le présent, il s’élance au-delà de lui-même, et n’accède au pré- sent du monde qu’à travers la médiation de l’avenir reprenant

parce que nous ne sommes pas des animaux tout entier livrés aux impératifs de la survie ? La nature de l’homme, n’est-ce pas d’avoir des désirs autres que simplement naturels ? Mais en ce cas, peut-on encore parler de nature ? Ne faudra-t-il pas bien plutôt dire que le désir est ce par quoi un être spirituel s’arrache de toute nature et se sépare sans remède de l’animalité ? I. Des désirs naturels à la naturalité du désir 1. La sensation est la seule norme absolue Nous sommes des êtres de désir

INTRODUCTION « Donnez-moi un levier . . . et je soulèverai le monde » Depuis notre plus tendre enfance, on nous apprend à fractionner les problèmes, à diviser le monde en sous-ensembles afin de gérer plus facilement les tâches complexes. Au contraire, nous devenons incapables de voir les conséquences réelles de nos actions, de faire le lien entre le tout et ses sous-ensembles. Il faudrait dès les premières classes, enseigner à relier et non à séparer (Edgar Morin). Pour créer des organisations intelligentes

aussi la manifestation qui le révèle et que la nature essentielle de tout homme est non dépendante, immuable, parfaite en elle-même. Pourquoi se cramponner à ses propres chaînes, à ses limites – et à ses souffrances – alors que le Soi est libre, intemporellement libre, et que le vedanta, de siècle en siècle, redit à chacun : « Toi aussi, tu es cela » ? A. D. UN L’état-sans-ego S i nous en croyons le vedanta hindou lui-même, le terme le plus important sur un chemin d’éveil est le mot « libération

Lumières, la loi devient l’expression concrète de la volonté générale. Avec les Lumières, la loi descend de la transcendance divine, elle s’installe dans l’immanence sociale pour y demeurer jusqu’à aujourd’hui. La raison humaine devient autonome et libre. Raison et autonomie qui se retrouvent dans la loi. KANT reste le représentant de ce droit rationnel a dominante volontariste. La philosophie du droit de Kant expose comment la coercition est l’un des caractère fondamental du droit. II. LA SOCIOLOGIE

États-UnisLes années cinquante sont surtout marquées par l'expansion de la télévision. Samuel Goldwyn parle de « l'ère de la télévision ». Durant la décennie, on passe de 3 à 6 millions de foyers équipés. La fréquentation des cinémas est en chute libre. Entre 1950 et 1953, on constate une baisse de -40% aux États-Unis et, rien que pour l'été 1941, trois milles cinémas américains ferment leur porte[19]. Pour parer cette invasion, une course aux procédés commencent. Procédés qui ont pour but d'améliorer

divertissement ludique, … Néanmoins, le grand public ne jauge pas véritablement ce phénomène. Le jeu reste une activité pour les enfants ; les gens qui jouent de façon régulière sont donc des « grands enfants » badins, qui feraient mieux de passer leur temps libre à faire du sport, visiter des musées voire même faire de la peinture : n’importe quoi qui soit plus raisonnable, plus mûr. Ces joueurs défendent leur passion en arguant qu’ils trouvent au sein de leur activité autre chose qu’un simple délassement de