Sommes Nous Libres De Nos Désirs

doivent philosopher, vieux et jeunes certes, mais hommes libres et esclaves, hommes et femmes, ce qui constitue une singularité pour l’époque. En effet, Epicure considère la philosophie comme une thérapie qui va permettre à l’individu d’atteindre le bonheur. Elle permet une connaissance de soi, une prise de conscience de ses peurs et de ses désirs, partant ,elle conduit à une pleine maîtrise de soi : elle dissipe les craintes et libère des désirs vains, toutes choses qui plongent l’individu dans le

demandera comment est ce que le droit, avec ses différentes  lois qui  en apparence punissent et sanctionnent, sont justement à l’origine de la liberté humaine.)   I- Le droit nous empêche de faire ce que l’on veut : Les citoyens ne sont pas libres faire ce qu’ils veulent ils ont l’obligation de respecter les lois établies par le droit, dans le cas contraire, la sanction est appliquée. Ici , nous irons d’un volet moins répressif ( avec la responsabilité civile et la notion de contrats à respecter

passer outre cette loi et c'est la qu'intervient la notion de justice, la justice a un rôle dans la société, le rôle de faire respecter ces lois, et de protéger la population des abus d'autrui. dans la société, on peut donc considérer que nous somme libres physiquement d'abuser ou pas de cette liberté mais en s'exposant à des sanctions pénales ce qui signifie donc que respecter ces lois tient de notre liberté morale. la liberté morale, c'est avant tout la notions de choix, c'est la liberté qui est

faire ce que bon lui semble, comme l’enfant qui grimpe à l’arbre sans peur de tomber et de se casser une jambe car il n’a pas encore eu la connaissance, l’expérience de ce traumatisme. Mais alors, l’ignorant comme l’enfant, exempt du savoir, seraient libres ? Selon Socrate il faut distinguer les actes fait par ignorance de deux manières, si le sujet en ressent du repentir on estime qu’il a agit involontairement, (assommer son fils en pensant que c’était un cambrioleur en pleine nuit), et s'il ne se

Introduction : Spinoza répond à une question de Schuller sur la liberté. Celui-ci demandait ce qu’il pense du pouvoir qu’a l’homme de faire des choix libres (= libre-arbitre). Spinoza montre en fait que la question de la liberté a toujours été mal posée. Nous sommes en 1674, c’est le début de la science moderne (depuis Galilée) qui vient de montrer que dans la nature tous les phénomènes sont déterminés par des causes. Autrement dit, c’est le règne du déterminisme : une cause entraîne des effets

erreurs que l’on apprend » Apprendre à vivre tient compte aussi de la maitrise de soi et de nos désirs. Les règles et lois permettant une bonne vie en société s'appliquent à tous pour instaurer l'égalité. Mais malgré ses règles communes à tous, chacun est unique et possède une histoire personnelle qui la construit. De plus, la spontanéité tient un rôle très important tout au long de notre vie. Nous sommes uniques et possédons un façon unique d'appréhender la vie. Nous ne vivons donc pas essentiellement

simple, que sommes-nous et quelles sont donc nos particularités ? L’homme est un être conscient. Il se distingue de tous ces congénères terrestres par cette capacité à s’interroger sur le monde qui l’entoure et à prendre du recul sur ce monde, sur lui-même. Par la conscience, nous dépassons ce monde puisque nous nous interrogeons sur celui-ci, le jugeons avec distance pour mieux nous représenter les choses. Nos perceptions en tant qu’homme ont évolué à un tel point que nous sommes uniques dans

éléments, leur dire non. On décide donc volontairement de faire un choix, de préféré quelques chose plutôt qu’un autre, nous sommes d’ailleurs responsable, car c’est notre volonté qui en a décidé, j’ai prit le risque de ce faire ce choix, peut-être en ayant pesé le pour et le contre par exemple, ou encore le bien et le mal, ou tout simplement suivit mon instinct. Mais alors sommes-nous libre uniquement dans la mesure où nous choisissons ? Notre liberté se résume t’elle qu’a cette possibilité, ce pouvoir

L’ Inégalité des Sexes au quotidien ! Liberté, égalité, fraternité, c’est la devise de la République française ! Notre devise sensée nous guider ! Mais est-ce bien le cas ? Hommes et femmes, sommes nous égaux dans la société française ? Ou bien cette égalité n’est elle pas respectée et plutôt ignorée ? Pendant la Révolution Française, notre devise était « vivre libre ou mourir ». Alors si l’égalité est aujourd’hui à ce point remise au centre de notre société, pourquoi semble

libre de ), préjugés et clichés (je ne suis pas libre de penser ce que je veux puisque je pense ce que m’impose la majorité, l’autorité), situations confortables (l’esclave qui préfère rester dans sa prison parce que c’est plus confortable : nous sommes des esclaves de nos habitudes, de notre train-train rassurant ; obéir est plus facile que d’avoir à diriger sa vie, ça demande moins d’initiative, moins de responsabilité, moins de prise de risque => comme si on assumait pas notre liberté, on préfère