Stendhal Et La Religion

de D.J, une vision aristocratique, c’est-à-dire par les nobles, fondée sur un sentiment profond de supériorité et le désir d’assouvir son plaisir. · La vision de M. Dimanche, une vision fondée sur l’argent, le gain… On parle aussi de valeurs ou de religion. Donc ces deux visions s’opposent. Molière ne prend pas vraiment position ni pour l’un ni pour l’autre mais il nous rappelle que grâce à la parole, on parvient à son but et à ses fins. T10 :INTROJean Genet est un auteur qui a publié des œuvres de

cercle familial. Voltaire importe d’Angleterre le scepticisme irréligieux de Collins. Toute la légion des Encyclopédistes ( J.-J.Rousseau, Diderot, d’Alambert, D’Holbach, La Mettriez) est d’accord pour renverser le christianisme, ils vont revenir à la religion naturelle. Les écrivains sont accapares par la science de la nature et par les voyages pour connaitre le monde, mais le nombre des voyageurs est change dans le XVIIIème siècle. Locke affirme que toutes nos connaissance viennent de l’expérience, il

les uns n'ont pas connus la rvlt° et l'AR, etc Ligne de partage politique Début du 19° → groupe de jeune écrivains tendance royaliste + autre groupe plutôt libéraux. (à cette époque = plutôt gauche), parmi les libéraux il y a Stendhal. Hugo chef de file du groupe royaliste. Hugo va évoluer à partir de 1830 (révolution de juillet). Hugo → image du républicain, qui se bat pour la cause des misérables et combat Napoléon III MAIS il est né dans le courant monarchiste. →

(l'amour, la haine, Les regrets...), à son rapport au monde (la nature, le temps qui passe...) à l'évasion vers L’imaginaire (rêve d'un ailleurs idéal). 3 C-La poésie engagée : 1. Définition : Dans un contexte historique précis (guerres de religion, guerres mondiales, atteintes à des libertés, Misère sociale...) le poète peut décider de mettre son art au service d'une cause. Dans ce cas, on Dit que sa poésie est engagée. Elle invite ses lecteurs à la réflexion ou à l'action D-poésie épique :

est d'émouvoir. ». Tahar Ben Jelloun, poète et écrivain marocain de la langue française, disait également «  La littérature ne change ni l’homme, ni la société. Pour autant, l’absence de littérature rendrait l’homme encore plus infréquentable. ». Stendhal disait également " la politique dans une œuvre littéraire, c'est un coup de pistolet au milieu d'un concert, quelque chose de grossier mais auquel, pourtant, il n'est pas possible de refuser son attention.". Tout d’ abord, il existe des genres littéraires

d’une qualité (+ou-): il incarne une vertu/vice, ou une façon de se positionner face au monde éléments à connaître: immoralité: ➢ Valmont, Liaison Dangereuse, DE LACLOS: un libertin vs. le jansénisme. Il s'émancipe des chaînes de la société/morale/religion. Il recherche les plaisirs charnels, et jouit de faire le mal sans aucun scrupule. tjrs à l’unisson avec Mme de Merteuil, il fait un pacte avec cette dernière pour séduire Mme de Tourville: ce qui est censé représenter un grand défi pour Valmont

avec ce prêtre étrange. David parvient alors à un accord avec les Cointet, qui exploitent son invention. David et Ève se retirent à la campagne, dans le petit village de Marsac, pour y vivre simplement mais aisément. I.III. Le Rouge et le Noir – Stendhal Première partie A Verrières, le maire, M de Rênal souhaite engager un précepteur pour s’occuper de ses 3 fils. Il choisit le fils de M. Sorrel, Julien, qui se distingue de ses frères par ses études en théologies et son goût pour les livres. Le

manifestent le désir de représenter la réalité de leur temps, telle quelle est. Les peintres d’abord puis les écrivains montrent des situations concrètes et familières, proche du lecteur, ancrées dans la réalité sociale. Les prémices du mouvement sont avec Stendhal et Balzac dans la première moitié du XIXème siècle. Mais c’est sans doute avec Madame Bovary de Flaubert (1857) que le mouvement réaliste prend de l’ampleur. Les trois principes essentiels de ce mouvement sont de représenter la société dans tous

de manie!re plaisante, sans ennuyer le lecteur (les contes philosophiques de Voltaire, Jacques le Fataliste de Diderot)  Le roman libertin (auteur le plus connu : le marquis de Sade) : remise en question de la morale impose
e par la religion chre
tienne.  Volonte
 des auteurs de faire passer le personnage non pour un he
ros mais pour une personne re
elle, doue
e d’une vie et de sentiments qui lui sont propres. B. Le personnage au XIXe : du romantisme au début du

sont pas mes actes que je décris, c’est moi, c’est mon essence." [3] Saint Augustin dans les Confessions retraçait l'itinéraire d'une âme passée des erreurs de la jeunesse à la dévotion; Rousseau cherchera à se justifier devant ses contemporains; Stendhal cultive l'égotisme. Montaigne n'a d'autre ambition que de "se faire connaître à ses amis et parents". Et même si son livre "ne sert à rien" (Au lecteur), - parce qu'il se distingue des traités de morale autorisés par la Sorbonne, l'auteur souligne