Stimulus

quelque chose qui soit objectif , que l'on peut observer . On ne peut pas se fixer sur l'introspection et ce que peut penser avoir fait le sujet . Pour un humain on a : Stimulus  Boîte Noire  Réponse Il préconise donc d’occulter ce qu’il se passe dans la boîte noire c’est à dire qu’il s’intéresse uniquement à la relation Stimulus  Réponse. Définition Associationnisme : Les théories associationnistes postulent que lorsque 2 événement surviennent au même moment nous apprenons les relations qui

d'apprentissages Lorsque l'on est au tout début du 20ème siècle, on est sur une vision périphérique de l'action et c'est toujours un stimulus qui déclenche une réponse, on a toujours une suite, le comportement est une conséquence d'un stimulus- réponse. James 1970, Apprentissage de stimulus, amélioration de la liaison S-R, apprendre c'est apprendre à détecter des stimulus. Vision périphérique de l'apprentissage. Rôle du Feed-back est important, l'information au retour donnera une information sur la

97 % au bout d'un mois 2/Thorndike (1874-1949) : Le lien stimulus-réponse Il a observé que lorsque le chat était stimulait et qu'il réussissais a sortir de la cage il mettait beaucoup moins de temps les secondes fois. Il estime alors qu'il se crée un lien entre le stimulus et une réponse. -Considéré comme le fondateur de la psychologie de l'apprentissage -Hypothèse que des impressions sensorielles peuvent pousser à l'action : STIMULUS-REPONSE -Deux loi : Loi de l'effet loi de l'exercice Chapitre

19 6. Le goût 20 7. Stimuli 20  Le marketing sensoriel 20  Marketing classique ≠ Marketing sensoriel 21  Marketing visuel 21 II. L’exposition 21 1. Les détecteurs sensoriels 21 2. Perception subliminale 21 3. Interprétation d’un stimulus 21  L’attention est sélective 21  La distorsion du message est sélective 22  La rétention est sélective 22  Les facteurs qui influencent la perception 22 III. La perception et la communication 23 IV. La perception et le marketing 23

employée dans des cadres personnels, ou d’entreprises. 2-2- les techniques de bases de la PNL L’ancrage : est un processus simple et naturel qui consiste à associer un état interne (émotion, ressenti) à un stimulus externe d’au moins un des cinq sens (ouïe, vue, odorat, toucher, goût). Switch Pattern : L’outil du Switch Pattern est en fait un procédé mis au point pour rompre un enchainement de pensées qui mène à un comportement non désiré. La personne voulant

         Le concept de mémoire associative est très différent: Une information peut être retrouvée si on fournit un pattern lui ressemblant (soit une partie de l'information, soit l'information bruitée). Plus généralement il s'agit d'associer un stimulus en entrée à une réponse en sortie (comme le fait le perceptron).          On distinguera les mémoires "hétéro-associatives et les mémoires auto-asociatives. Les premières, tout comme le perceptron (voir chapitre 4), ne comportent que deux couches:

problème donné. Ils interprètent l’exemple à partir de leurs propres cadres de référence et arrivent à une autre signification que celle prévue par l’enseignant. * Confusion dans le mode de raisonnement. Ils procèdent par association verbale-stimulus-réponse en associant un mot à quelques exemples, mais sans avoir saisi la nature des liens entre le mot et les exemples. Ces « confusions » se sont traduites par de fausses conceptions. Autrement dit, les enfants n’ont pas compris ce qu’il fallait

d’une expérience concernant la capacité de percevoir simultanément le son et la lumière associés à un stimulus. — Le participant observe un pendule qui produit un son au cours de son déplacement. — Même si la présentation du son coïncide avec une position précise du pendule (au bout de sa course), le stimulus visuel ou auditif est perçu en premier en fonction de l’ATTENTION de l’individu sur le stimulus visuel ou auditif. b) GUSTAV THÉODORE FECHNER (1801-1887) et ERNST HEINRICH WEBER (1795-1878). —

Chap. I : Perception et réalité A) Du stimulus a la sensation On ne tient pas compte du fait que la couleur est une sensation et donc une dimemsion psychologique, et la caracteristique spectrale de londe electromagnetique qui en constitue le stimulus physique. Selon la loi de Müller (la loi de lenergie specifique des nerfs), nous navons dacces direct ni a la lumiere ni a la vibration sonore, pas plus dailleurs qua la temperature des objets ou a laiguille qui produit la douleur. Nous naccedons

nourriture à un chien qui, par réflexe, a une réponse végétative mesurable : la salivation. Pour Pavlov, la nourriture est un « stimulus inconditionné » (SI) et la salivation une « réponse inconditionnée » (RI). Par ailleurs, un stimulus neutre (un battement de métronome) est présenté au chien (ce qui évidemment ne le fait pas saliver) : cette stimulation sonore est appelée stimulus conditionné (SC). Après avoir associé à plusieurs reprises la présentation de la nourriture (SI) et le battement de métronome