Succession Au Trone De France

Moeurt sans héritiers, Charles IV de France et la famille dynastie Capétienne ont perdu la couronne en 1327, et en dépit du véritable e l’héritier vrai anglais, les Ffrançais onta choisi Philippe le Hardi comme successeur. de la couronne Let la Guerre de cent ans a ainsi commencé. Dans la suite de la guerre de cent ans les rois de France ont mis en place la taille et règlent le royaume avec un Eétat plus avancé qu’avant, géré par les nobles et leurs personnels et après par l’Eéglise, une institutionétat

monarchie, une monarchie qui ne dispose plus des moyens arbitraires d’autrefois et qui doit composer avec un Parlement à la dignité restitué. B – D’une difficile collaboration à la Glorieuse Révolution (1660-1689) Les Stuarts qui reviennent sur le trône, Charles II puis Jacques II, n’ont rien appris de la première révolution. Ils sont aussi imbus de leur pouvoir que l’étaient leurs prédécesseurs. Si Charles II bénéficie de l’aura du roi restauré et du retour à l’ordre, Jacques II n’a pas cette

parlementaires, le régime parlementaire britannique n’est pas rationalisé. La Grande-Bretagne est un pays coutumier, il y manque des règles précises et écrites pour que le régimeparlementaire fonctionne bien et pour éviter la confusion des pouvoirs. La France, qui est un régime parlementairerationalisé, a inscrit depuis la Constitution de 1946 la responsabilité du gouvernement.  La monarchie. Le rôle du monarque a évolué : la monarchie absolue a évolué vers une monarchie libérale et parlementaire.

assurent sa sécurité: les cohortes prétoriennes. B) La lente amorce de la décadence. La grandeur de l'Empire: espace géographique immense, difficile à maitriser. Il va y avoir une série d'empereurs éphémères. Période d'anarchie militaire et de succession d'États. Instabilité politique et sociale: affirmation d'un pouvoir personnel, l'empire sera de moins en moins administré au nom de l'activité publique mais comme appartenant à l'empereur. Du point de vue politique il y a une Constitution impériale

manuscrit plus prestigieux. 4) 1509-1547 : Henri VIII est roi d’Angleterre à l’âge de 17 ans, il succède donc son père. Il met alors ses fortes qualités intellectuelles au service de son pays ; ce qui permet d’entretenir de bonnes relations entre la France et l’Espagne. Henri VIII est le fondateur de l'anglicanisme et veut s’allier avec l’Espagne. 1515-1547 : François Ier succède à son cousin Louis XII. Son règne de trente-deux ans marque profondément le XVIe siècle français, transformant à l'extérieur

y a un même désir qui anime les révolutionnaires. Ce désir c’est changer (les institutions, le pouvoir, en un mot : révolutionner, refonder le pays), limiter (le pouvoir absolu du roi, limiter le pouvoir du roi c’était donner une constitution à la France), libérer (les individus, la population). Cette période révolutionnaire est marquée par l’esprit des Lumières (mouvement philosophique), par cette volonté de libérer les esprits. Ce désir, c’est ce qui correspond à ce que les historiens appellent

l'empereur Charles VI. Les noces ont lieu en juin 1733. Le prince écrit à sa sœur et confidente, à propos de cette épouse imposée « il ne peut y avoir ni amour ni amitié entre nous. » - En juin 1740, Frédéric a vingt-huit ans quand il monte sur le trône d'un royaume divisé. Il s'entoure d'une cour qu'il choisit parmi des philosophes et des gens de lettres, il comble les lacunes laissées par l'éducation imposée par son père, rédige de la poésie en français. Il entame une longue correspondance avec

qu’ils en rêvaient les Francs sont là, ils se sont répandus en Gaule du nord surtout, le sud étant Wisigoth. Et ces francs arrivent avec une coutume qui va, à maintes reprises, faire se battre entre eux des frères, ou des pères et des enfants, car la coutume veut que le royaume soit partagé entre tous les descendants mâles de celui qui gouvernait. 2) La famille Mérovingienne Son arrière-grand père s’appelait Clodion, son grand-père Mérovée et son père Childéric. Les francs sont sûrs que leurs rois

Paris, LGDJ, éd. 2003. BARBICHE (Bernard), Les institutions de la monarchie française à l’époque moderne, Paris, PUF, 1999 (réed. 2001). MOUSNIER (Roland), Les institutions de la France sous l'Ancien Régime, 2 vol., Paris, PUF, Dito, 19741980 (réed. 1990-1992 et 2005). RIGAUDIERE (Albert), Pouvoirs et institutions dans la France médiévale, Paris, Armand Colin, coll. U, éd. 2003, vol. II (Des temps féodaux aux temps de l’Etat). SUEUR (Philippe), Histoire du droit public français, XVe-XVIIIe siècle, 2 vol

choix de la classe dirigente, des élites, c'est le résultats des choix de ces classes, le peuple n'y est pas associer a l'élaboration de constitution coutumiére. cette constitution prévoyait la soit salique en vertue de laquel se succédait sur le trone les enfants mals par ordre de progénitures. L'inaliénabilité du domaine de la coronne. Autres éléments du droit fondamentale, la division de la société en 3 ordres: le clergé, la noblesse, le claire états constituant l'ancien régime et on pouvais trouver