Sylla Plutarque

ZeCid: Lucius Cornelius Sylla et la crise de la république romaine Devant la profonde transformation du monde romain au IIème siècle avant J.-C., les Gracques avaient développé un programme révolutionnaire dans le double but de répondre aux nouvelles attentes sociales et de les utiliser comme une arme politique pour leur propre ambition. Initialement, les conservateurs n’avaient réagi que pour éliminer physiquement les Gracques et leurs partisans, sans proposer d’alternatives au programme popularis

à Rome. Il est issu d’une famille patricienne se prétendant descendante d’Énée, le fils de Vénus, fondateur indirect de Rome. Il commencera sa carrière politique en prenant part à la bataille qui oppose son oncle Marius, chef du parti populaire, à Sylla, chef du parti sénatorial de Rome. A la mort de ce dernier en -78, Jules César commencera son ascension politique avant de marcher sur Rome en -49, pour y asseoir un pouvoir absolu. Les débuts de sa carrière politique (-70) Jules César mène sa carrière

République, durant lesquels nul n'avait recours à la violence pour régler les altercations, puis raconte le processus d'émergence de la violence en politique, pour enfin faire l'apologie du pouvoir dictatorial en invoquant l'histoire de Cornelius Sylla. En 150, Appien relate ces faits sous le règne de l'empereur Antonin le Pieux (138-161), un règne qui fut marqué par un esprit de consolidation de l'Empire plutôt que de conquêtes extérieures. Cette volonté personnelle de l'empereur se reflète dans

Mises en péril d’une République Les problèmes politiques La dictature de Sylla entraîna dans l'Italie du début du 1er siècle Av. J.-C. de nombreux troubles, à la fois sociaux et politiques. Afin de récompenser ses vétérans, ce dernier avait décidé de leur octroyer des terres non pas prises sur l'ennemi mais confisquées à des citoyens romains, partisans de Marius (120 000 vétérans) Abdication du dictateur en -79 laissa un vide dans les institutions de la République romaine et mit en évidence

généralement du à l’éloignement des sénateurs qui peuvent suivre les campagnes militaires ou être sur leur terres en campagne. Par la suite le nombre de sénateur a continué à croitre. Sous Sylla (-138 à -78), le sénat est passé à 600 membres ; cet élargissement se fait entre -82 (moment ou la dictature de Sylla commence et sa mort -78) et sous César (-100 à -44) le sénat passe à 900 membres. La aussi cet augmentation se fait lors des dernières années de César. En ce qui concerne le recrutement

Marius (157-86 aCn) Dans le parti des Populares , d’origine plébéienne. Parcoure politique : Questeur (120 aCn) ; Tribun de la Plèbe (119aCn) ; Préteur (115aCn) ; Consul (104-100 aCn). A perdu en 88 aCn contre Sylla (Optimates) durant la première guerre civile. Lucius Cornelius Sylla (138-78 aCn) Dans le parti des Optimates, issu d’une famille patricienne mais sans éclats et pauvre. Parcoure politique : Questeur de Marius (107 aCn). Sors vainqueur en 88aCn de la guerre civile contre Marius

Néoptolème, fils d’Achille[4]. Selon une affirmation du temps, rapportée entre autres par Plutarque, Alexandre naquit la nuit même où Érostrate incendie le temple d'Artémis à Éphèse, une des sept merveilles du monde antique[5]. Alexandre utilise plus tard cette coïncidence pour renforcer son aura politique, et propose de financer la restauration du temple, ce qui est cependant refusé par les Éphésiens[6]. Plutarque indique également que Philippe et Olympias ont rêvé de la future naissance de leur fils

La vie d’Archimède est peu connue, on ne sait pas par exemple s’il a été marié ou a eu des enfants. Les informations le concernant proviennent principalement de Polybe (202 av. J.-C. — 126 av. J.-C.), Plutarque (46 - 125), Tite-Live (59 av. J.-C. – 17 ap. J.-C.) ou bien encore pour le cas de l’anecdote de la baignoire, de Vitruve, un célèbre architecte romain. Ces écrits sont donc, sauf pour Polybe, très postérieurs à la vie d’Archimède. Concernant les mathématiques, on a trace d’un certain

stoïcien et se mit à dormir à même le sol jusqu'à ce que sa mère parvienne à le convaincre de dormir dans un lit4. Ses maîtres furent, pour la philosophie, Apollonius de Chalcédoine ; pour la littérature grecque, Sextus de Chéronée, petit-fils de Plutarque ; pour les lettres latines et la rhétorique, Fronton, le plus fameux orateur de ce temps-là qui échoue à le détourner du stoïcisme. Il échangea avec ce dernier une correspondance6 qui s'étendit de 139, époque où Marc-Aurèle devint son élève, à 166

puisqu’elle est : • obligatoire : il faut être passé par là, entre autres, pour être pleinement citoyen. Pour Xénophon, les non-participants sont des citoyens diminués, qui ne peuvent pas accéder aux magistratures ni aux corps d’élite, pour Plutarque, ils sont tout bonnement privés des droits civiques. Inversement, des individus non-citoyens subissant l’agôgè peuvent devenir libres : ce sont les μόθακες / móthakes (voir Hilotes) ; • collective, par tranche d’âge ; • organisée par la