Symbolique Personnification Des Animaux

Idée essentielle : dans troisième paragraphe, pour rendre plus concrète cette idée paradoxale de travail d’interprétation demandé au lecteur d’une histoire de géant populaire, R revient à formulation imagée. a)la première image de la bouteille : symbolique du vin essentielle dans l’œuvre. Cf adresse liminaire « buveurs très illustres ». Reprend comparaisons du 1er paragraphe : opposition contenant (bouteille)/ contenu délicieux (vin). Première image comique, carnavalesque. b)deuxième image : l’os

temps. Une fois la narration enclenchée l’auteur nous fait découvrir la symbolique de l’oiseau. Avec l’analogie du vers 13 Baudelaire nous invite à réinterpréter toute la scène « le poète est semblable au prince des nuées. Cette analogie opère le passage de l’anecdote à l’allégorie et nous pousse à découvrir une nouvelle interprétation morale et philosophique de « l’Albatros ». D’autre part, Baudelaire utilise deux personnifications au vers 13 « prince des nuées » et au vers 6 « rois de l’azur » pour

étudier se trouve au centre de ces préoccupations, mêlant à la fois la peinture réaliste d’une scène « du peuple » (scène de bistrot), l’évocation de la fatalité, à la fois narrative et humaine à travers l’hérédité des personnages, et la description symbolique et terrifiante de l’alambic, une machine « humanisée » qui précipitera Gervaise dans sa chute. Nous sommes au chapitre II du roman. Trois semaines après avoir été abandonné par son amant Lantier, Gervaise, jeune blanchisseuse provinciale, retrouve

comparaisons et métaphores. * Rédiger des textes poétiques (poème à contraintes formelles et calligramme). * Lire et réciter des poèmes de façon juste. * SÉANCE N°1 : LECTURE Étude d’un sonnet : le Lombric, de Jacques Roubaud (extrait des Animaux de tout le monde) : Le Lombric Conseils à un jeune poète de douze ans Dans la nuit parfumée aux herbes de Provence, le lombric se réveille et bâille sous le sol,

situations symboliques, représentatifs de la morale que l'auteur veut en dégager. de plus: L'apologue : - est un récit (genre narratif : sous-genre), - est bref - sous forme allégorique (=symbolique, l'apologue est un exemple particulier qui doit être extrapolable au cas général. - contient un enseignement moral (portée didactique). (dire def fable: Le plus souvent, le fabuliste utilise la personnification, figure de style qui consiste à attribuer des comportements humains à des animaux : les animaux

révélateur, donc annonciateur. // vivant, 3D. I. Création d'un espace(lieu=où). Espace+vaste ( voir l'entonnoir). – Paris (cité par deux fois), rue Vivienne (quartier Juridique). – des à-cotés, La cour (valeur symbolique) le lieu où le personnage marginal, le lieu où la puissance le colonel est à part. Espace intérieur, L'étude le lieu de l'intrigue: Voire dimension juridique. a) Géométrie, taille: Grande, d'un

conception ornementale est ancienne, la description sert à faire beau dans le texte ; prédominance des stéréotypes, du superlatif. Ne pas lire une telle description ne touche que la dimension esthétique de la lecture. - fonction d'ordre explicatif et symbolique ; la description tend alors à révéler, à justifier, expliquer la psychologie des personnages, elle en est le signe et la cause et l'effet. Cette conception culmine avec le roman réaliste et balzacien, au XIX ème, en correspondance avec la théorie

textes. Documents A – Charles Baudelaire, II, « L’albatros », Les Fleurs du mal, 1857. B – Théophile Gautier, « Le pin des Landes », Espanã, 1845. C – Tristan Corbière, « Le crapaud », Les Amours jaunes, 1873. D – Jacques Roubaud, « Le lombric », Les Animaux de tout le monde, 1990. E – Guillaume Apollinaire, « La colombe poignardée » Calligrammes, 1918. Questions m 1. Sur quel procédé stylistique commun reposent les documents A, B, D d’une part, C et E d’autre part? Quel point commun présentent ces

sa fable comme une pièce de théâtre. La moralité est tout au long de la fable, le récit est riche en pensées. I) Le premier acte 1) Scène d'exposition: "la femme du lion mourut" ( v.1)> économie des mots: art du fabuliste> ambiguïté entre les animaux et les humains: satire2) 2ème scène (v.2 à 5): les condoléancesPlus longue que la scène 1 > excès des courtisans serviles"s'acquitter" (v.3) > le verbe montre le devoir > aspect hypocrite des courtisans"De certains compliments de consolation" (v.4)

quadrupède » (v15) et « le malheureux Lion » (v26). Le moucheron quand à lui est un insecte, on relève « Chétif » (v1) et « avorton de Mouche » (v19). En effet le Moucheron est faible, il est « invisible » (v23). Les termes utilisées pour désignés les animaux sont moqueurs, ils viennent du registre épique, ainsi le registre comique s'ajoute au registre épique car l'utilisation du registre épique est parodique. Nous sommes donc dans le burlesque. De plus on rencontre le lexique de l'épopée avec « déclara