Taylorisation

quelqu'un qui a des crédits/une famille... car capacité supplémentaire d'allégeance. Et stress en plus. 2°) Auto-évaluation : on demande aux gens de juger leur travail eux mêmes. Mais situation factice car on demande juste l'accord du salarié3°) Taylorisation du sourire. Dans un CDT on note qu'il faut avoir un certain type de comportement. Donc stress. Mondialisation a aussi un impact sur la manière dont le salarié se sent dans l'entreprise.On demande à des salariés d'aider pour virer d'autres salariés

MRH Promotion 2013/2014 – Deuxième année Tours FG/ TL 24 La fonction RH : automatisation A) Mutations| B) évolution de la FRH | Les 30 glorieuses (1945-1975) Phase de croissance économique qui repose sur le Fordisme :  Taylorisation du travail industriel  Automatisation Production de masse de biens standardisés  Gains de productivité Les entreprise disposent :  d’un grand nombre de salariés  d’un taux de syndicalisation élevé Cours MRH C) Contenu de la FRH

l’utilisation des ressources inemployées, réactiver capacité prod sous-utilisées facilite démarrage d’unités de prod surtout en Californie (potentiel universitaire et techno). Modernisation : nouvelles usines ont machine-outils, bénéficient de la taylorisation prod à la chaine  accroissement productivité du travail. PIB par heure de travail passe de 12.68 en 38 23.60 en 50 dollars. Prod atteint niveau spectaculaire, millions de tonnes de navires marchands en 41 , capacité de l’industrie aéronautique

d'envoyer la suivante. Avec la technologie du pipelining, il est possible d'envoyer une première instruction, de réaliser une l'étape 1, puis de passer à l'étape 2, en chargeant en même temps une nouvelle instruction dans l'étape 1. C'est un mode de taylorisation. De cette manière, il est possible d'avoir une instruction terminée quasiment à chaque cycle d'horloge. Néanmoins, certaines instructions longues, ou ayant besoin de résultats d'instructions précédentes peuvent retarder le pipeline. C'est pourquoi

travail,..). La globalisation de la concurrence entre les travailleurs, la capitalisme disjoint, la multiplication de différents statuts et des systèmes productifs, l’émergence de la production en flux tendu flux, les nouvelles technologies, la taylorisation des emplois de services et le lean management de l’industrie, l’uberisation, le fait qu’un patron d’entreprise n’en soit plus nécessairement propriétaire et la massification du chômages (créant des individus hors classes) sont autant de raisons

de continuer à susciter des vocations de carrières de la part de futurs employés et ce malgré une image d’entreprise offrant à ses employés des conditions de travail et un contenu d’activité particulièrement contraignants et peu épanouissants (taylorisation des tâches, station debout quasi permanente, horaires décalés,…). C’est ainsi qu’avec ses 1300 restaurants et ses 66 000 salariés français, Mcdonald’s France est aujourd’hui le deuxième contributeur aux résultats du groupe, derrière les Etats-Unis

centre de contact La bonne gestion de la relation client est un atout pour la force de vente. L’assignation de cette fonction à un autre service que le département commercial favorise une productivité dans l’entreprise. Ce système relève de la taylorisation, qui vise une répartition des tâches au sein de entreprise. 1) La productivité On appel productivité le rapport de la production avec les moyens mis en œuvre. Elle était l’un des impératifs managériaux dans les années 1970, ou il fallait travailler

l’entreprise. Selon Weiss4 et al (1999), la fonction personnel se caractérise notamment par : · Une centralisation : homogénéisation des statuts, structuration de leur mode de gestion, négociation avec les syndicats, · Une rationalisation quasi-taylorisation de la fonction avec des techniques bien définies et ordonnées, · Une professionnalisation de la fonction et recherche de cohérence avec la stratégie de l’entreprise. Depuis les années 1970 : De façon schématique, l’évolution de la fonction R.H

économie nationale autocentrée, peu ouverte sur l’étranger. - Une concurrence relâchée. - Une structure de marché oligopolistique : les entreprises sont « Price makers ». 2) Un nouveau rapport salarial - Travail à la chaine, taylorisation sont mis progressivement en place entrainant une hausse régulière des gains de productivité. Mais par conséquence le travail devient plus difficile. - Un compromis fordiste entre salarié et capitaliste : le caractère aliénant du travail sera

plus performantes, automatisation, informatisation, robotisation) et permet donc de produire plus avec une même quantité de capital. Le PIB augmente, donc la croissance aussi. Le progrès ethnique augmente aussi l’efficacité du facteur travail (taylorisation, toyotisme..). Il permet une augmentation de la production par travailleur ce qui favorise la croissance éco. Le progrès technique génère la création de nouvelles productions (ordinateurs..). Ces nouvelles productions augmentent le PIB. Elles peuvent