Taylorisme Et Bureaucratie

l’action de la bureaucratie ; s’il est nécessaire de la contenir, en nombre et en influence sur les décisions politiques, elle demeure la cheville ouvrière de l’administration, du national au local. Expression du besoin (le bien et le vouloir des citoyens), analyse et traduction politique de celui-là (la compréhension de l’environnement humain, économique, social et culturel par les hommes politiques), action anticipatrice, préventive ou corrective (mise en œuvre par la bureaucratie), il manque in

faisons-les disparaître ! » 11 « Le changement, c’est bien. Y résister, c’est mal » 12 « Les salariés sont de plus en plus autonomes, c’est l’ère de l’empowerment » 13 « Pas de bonne réunion sans PowerPoint » 14 « Il faut responsabiliser ! » 15 « Le taylorisme, c’est dépassé » 10 « Les syndicats français sont contre-productifs : faisons-les disparaître ! » Franck Biétry « Il faut ajouter quelques mesures majeures pour obtenir cette harmonie sociale tant désirée : suppression du délégué syndical

problèmes de qualité des véhicules et de manque de motivation de la main-d'oeuvre. A la suite des chocs pétroliers, la demande se porte sur les petits véhicules à faible consommation. Les constructeurs européens sont confrontés au rejet définitif du taylorisme par le monde ouvrier, au contraire des Japonais, qui parviennent à mettre en place de réels modèles d’organisation. Les constructeurs rationalisent leur présence mondiale en profitant des avantages compétitifs des différents pays et en structurant

« the one best way ». Le meilleur connaisseur du travail de l’ouvrier n’est pas l’ouvrier lui-même. Il faut donc lui retirer son initiative dans la conception de son travail et mesurer, contrôler son efficacité. C’est le 2de élément essentiel du Taylorisme : la séparation rigoureuse des fonctions. Il y a ceux qui conçoive le travail (ingénieur) et ceux qui l’exécute (ouvrier). De sa vision des hommes et de ces 2 concepts clés (OST, et spécialisation des rôles), on en déduit 4 grands principes de la

direction, la gestion de l’après-certification : conserver et entretenir la motivation des acteurs, définir le juste nécessaire des procédures, éviter les écueils de la mauvaise utilisation des normes, dont les principaux sont "la bureaucratie, le perfectionnisme, le taylorisme, la surprotection, le packaging, le bachotage"1 , le besoin de réorienter la démarche qualité vers la satisfaction du client, "donner la priorité à l’efficacité des processus, et non à la conformité des procédures"2 , l’avènement

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 1.2.2.
L’organisation
industrielle
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 a.
Le
Taylorisme
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 b.
Le
Fordisme
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approches contractuelles a. Les coûts de transaction. b. La firme comme nœud de contrats c. Les analyses managériales. D. Théorie de la décision, la mise en cause de l'hypothèse de rationalité 2. L'entreprise comme organisation A. Weber et la bureaucratie B. L’analyse stratégique C. Efficience X et culture d'entreprise 3. La firme évolutionniste 4. La firme et la gestion des différences culturelles III. les enjeux du management A. Comment coordonner les activités B. Comment assurer la coopération

l’existence simultanée de la bureaucratie et de la nature contraignante du travail d’une part et dans l’autre part, les mécanismes de gestion de la connaissance, la présence de l’empowerment et l’implication. Ainsi, la formalisation et la standardisation des procédés n’empêchent pas de laisser la marge d’appréciation aux téléopérateurs afin de satisfaire les besoins immédiats des clients. C’est une certaine reconnaissance des compétences et qualifications des employés. Comme le taylorisme, ce mode de management

rappelle qu’historiquement le concept bureaucratique est valorisant. Max Weber a identifié la bureaucratie comme un modèle idéal reposant sur un pouvoir légal rationnel. Celle-ci est essentiellement monocratique, fondée sur la règle et la hiérarchie, caractérisée par la précision, la rapidité d’exécution et la stabilité. D’abord apparue dans les administrations publiques, elle se développe avec le taylorisme, au début du 20ème siècle, dans de grandes firmes. 2.1.2. des prémices managériales « En ayant

qu’il existe un lien entre les intitulés de la fonction, les grands courants théorique et les actions privilégiées. Le terme d’administration du personnel renvoie à une vision juridique de la main-d’œuvre et repose sur le modèle théorique de la bureaucratie où la hiérarchie, la centralisation et la formalisation sont dominantes. Le courant des relations humaines a en partie remis en cause cette vision formelle en mettant en avant l’importance de l’affectif et de la prise en compte des attentes des