Taylorisme Et Bureaucratie

européenne de la réflexion sur les organisations, développe une théorie sur les structures dirigeantes. Il imagine un type idéal baptisé bureaucratie, concept caractérisé par la division du travail et la mise en place d’une hiérarchie clairement définie, de règles et normes précises, ainsi qu’un mode de relation impersonnel. Weber admet volontiers que cette bureaucratie idéale n’existe pas dans la réalité et qu’elle constitue plutôt une reconstruction sélective du monde réel. Ce concept lui sert néanmoins

Principales caractéristiques b) La structure mécaniste c) La bureaucratie professionnelle d) La structure divisionnelle e) L’adhocratie Les structures dans la pratique 3.1) L’organigramme 3.2) Les structures types a) La structure entrepreneuriale (ou personnalisée) b) La structure fonctionnelle c) La bureaucratie divisionnelle d) La structure matricielle

firme. Il peut être facteur de performance, au cœur de la compétitivité de la firme. Mais il a besoin de reconnaissance, de motivation, etc. Dans cette école on a notamment Elton Mayo et Maslow (pyramide des besoins). Aujourd’hui pourtant c’est le taylorisme qui revient, car on cherche la compétitivité à tout prix, et la première variable que l’on touche c’est l’homme. Car cela permet de réduire les coûts. Or les actionnaires attendent des bénéfices et des profits. Ils mettent une forte pression, aujourd’hui

conflits furent considérables. Le problème posé était alors un problème de contrôle de la production et des travailleurs. Face à cette situation, un certain nombre de solutions vont être proposées : Des solutions d’organisation : le Taylorisme et la Bureaucratie weberienne apportent, à côté de principes d’organisation de la production, des conseils concernant la gestion de la production. Des solutions paternalistes : il s’agit de politiques basées sur des œuvres sociales (des avantages en nature)

l’objet d’instructions incontournable. En contrepartie, sur la base de temps standard, un système de rémunération stimulant est produit. Afin de récompenser ou pénaliser les ouvriers pour leurs performances. Fayol, lui, a essayé de généraliser le Taylorisme à l’ensemble des fonctions de l’entreprise. Il postule pour cela l’unité de commandement. Pour lui la hiérarchie doit être totalement linéaire : chaque individu est dirigé et contrôlé par une seule personne au-dessus de lui. Chaque responsable ne

structure simple : structure généralement de petite ou de moyenne taille, informelle, flexible et au sein de laquelle la ligne hiérarchique est peu développé. Le pouvoir décisionnel est concentré au niveau d’un seul dirigeant. 2- La bureaucratie mécanique : le terme bureaucratie ici est employé pour désigner le fait de tout rendre prévisible. Ce genre d’organisation évolue dans un contexte stable et simple et est caractérisée par des procédures formalisées, un travail spécialisé, une division du travail

résultats. 3. Modes d’organisation du travail Les types de division du travail combinés aux mécanismes de coordination donnent ce que les auteurs appellent les modes d’organisation du travail. Ils en dénombrent quatre : - le taylorisme qui se définit par la combinaison d’une forte division horizontale du travail et d’un recours systématique à la standardisation des procédés. - le fayolisme, qui encourage la spécialisation fonctionnelle, voire la professionnalisation des

à Révolution industrielle. - premier boulversement : l’usine. L’emploi est véritablement sous contrôl. Il y a plus d’urbanisation autour du lieu de travail. - deuxième boulversement : la demande d’augmentation de la productivité avec le Taylorisme, la parcellisation le Fordisme, la baisse de qualification. à Les trente glorieuses. L’objectif est de modifier la parception de l’emploi. Les salaires ainsi que les profits augmentent régulièrement. Remise en cause du travail à la chaîne (Toyotisme)

travail a-Taylorisme et fordisme Taylor et Ford se sont fait distinguer dans l’organisation scientifique du travail en proposant et en mettant en œuvre des méthodes d’organisation du travail. Au sein des entreprises ces méthodes consistent à une division du travail en le répartissant entre les individus ou les groupes d’individus spécialisés dont les activités restent complémentaires. Généralement il s’agit de la séparation des tâches d’exécution et de conception. -Le taylorisme : Le taylorisme

mouvement anarchiste a également mis en garde contre l’évolution d’une société industrielle marquée par l’enrégimentement et l’absence d’autonomie individuelle, et une bureaucratie tentaculaire. Dans sa jeunesse libertaire, Franz KAFKA notait déjà que lorsque la « révolution se dilue, il ne reste que la place pour une nouvelle bureaucratie. Les chaînes de l’humanité torturée sont constituée de papier de bureau »97. Max NETTLAU analyse et approfondit cette notion de contre-utopies à partir de 3 textes