Taylorisme Et Gains De Productivité

comités d’entreprises). Ces différents aspects montrent que la GRH à des dimensions juridiques (contrat du travail, règlement intérieur, convention collective, code du travail), économiques (diminution du coût du travail, l’accroissement de la productivité du travail, l’augmentation de la flexibilité de main d’oeuvre) et psychologiques (répondre aux besoins des membres de l’entreprise, favoriser les groupes de travail, motiver les salariés par l’adhésion aux objectifs de l’entreprise). Comme tous

L’augmentation des salaires est censée être une contrepartie à la démotivation des salariés en raison de tâches inintéressantes et répétitives. Mais les gains en salaires se révèlent nettement inférieurs au gains de productivité, des licenciements massifs ont lieu. Il s’en suit des mouvements sociaux. B : Les 2 crises du Taylorisme – Fordisme 1ère crise (30s) : démotivation des salariés en raison d’un travail déshumanisé, répétitif, monotone. Se développe alors le mouvement des

ces machines il faut des travailleurs mais aussi de la main d’œuvre pour les entretenir et les réparer. (Mais nombre d'emplois crées ≤ aux nombre d'emplois détruits). La croissance engendrée par le progrès technique favorise l'emploi : Les gains de productivité induits par le progrès technique favorisent la croissance. Ils peuvent se traduire par une baisse des prix conjointement à une hausse des salaires et ainsi une augmentation de la consommation. L’E.B.E sera utilisé par l'entreprise de plusieurs

technique sur l’emploi À court terme • À première vue, le progrès technique a un effet négatif sur l’emploi car il élève la productivité du travail, ce qui réduit les besoins en main-d’oeuvre (toutes choses égales par ailleurs, c’est-à-dire à durée du travail et à production inchangées). Évidemment, cette conséquence disparaît si on profite de la hausse de la productivité pour diminuer le temps de travail : le progrès technique est alors neutre face au niveau de l’emploi. • Le progrès technique

Investissement de productivité : investissement destiné à remplacer d'anciennes machines par de nouvelles plus performantes. Invesstissement de remplacement : qui consiste à remplacer une machine par une autre machine, sans modifier le volume global de production de l’entreprise. Investissement immatériel : achat de biens immatériels par les entreprises (formation, logiciels, publicité) destinés à accroître le potentiel de production. productivité : rapport entre une

production: le travail et le capital. La qualité du facteur travail est un élément déterminant de la croissance économique. L'élévation du niveau de formation et de compétence favorise l'adoption des nouvelles technologies et donc l'obtention de gains de productivité. Le capital se divise en capital fixe et en capital circulant. Le capital circulant correspond aux biens qui sont transformés ou détruits au cours du processus de production. Il peut constituer un avantage économique mais, l'histoire l'a prouvé

suppose une absence totale de gain de productivité cela concerne les pays sous-développés qui par exemple ne maitrisent pas les nouvelles technologies. La grande limite à cela est la rareté de la main d’œuvre, on ne peut pas multiplier à l’infinie nos forces de production car on va manquer de main d’œuvre comme cela a été le cas dans les pays de l’Est qui avaient un faible taux de chômage. Croissance intensive = repose sur l’existence de gain de productivité du travail. Elle est toujours recherchée

crise de 1974 qui met à mal le fonctionnement de l'économie des "30 glorieuses". Jusqu'en 1974, les forts gains de productivité permis par la diffusion des principes tayloriens à la production favorisent la hausse des niveau de vie qui fait entrer les économies de marché occidentales dans l'ère de la société de consommation et de la production de masse. Mais le ralentissement de la productivité, associé à l'émergence de nouvelles exigences de la demande dans le contexte d'une mondialisation naissante

désigne la répartition des activités de production entre différentes entités spécialisées dans des domaines complémentaires. Selon l’économiste, Adam Smith (1723-1790), la division du travail permet d’augmenter, grâce à la spécialisation, la productivité. Cette division du travail s’effectue à trois niveaux : la division sociale du travail correspond à la spécialisation des tâches au sein d'une société, entre des individus, des métiers ou des groupes sociaux différents. la division technique

Jacques, Théorie des organisations, Chapitres 1 et 2.1, pp. 11-30, Eska, Paris, 2003. Sugita Kurumi, "Taylorisme : une organisation aux multiples visages culturels", Journal des Anthropologues, 43-44, mai 1991, pp.131-136. Vatin François (textes choisis et présentés par), Organisation du travail et économie des entreprises, ‘Direction des ateliers’ et le débat sur le taylorisme en France entre 1910 et 1920, Ed. d’Organisation, Paris, 1990. 1. Cadrage L’œuvre de Taylor Parmi les