Taylorisme Et Gains De Productivité

vers une société plus avancée. Analyse du sujet : Les « Trente Glorieuses », on doit cette expression à Jean Fourastié (1907-1990) pour désigner, dans certains pays comme la France, une trentaine d’années d’expansion économique qui ont vu le taylorisme-fordisme atteindre son apogée et maintenir un plein emploi permanent de 1945 à 1975 environ. La formule fait écho aux Trois Glorieuses, journées révolutionnaires des 27, 28 et 29 juillet 1830 qui avaient vu la chute de Charles X et l’instauration

aux fournisseurs ; • une amélioration du savoir-faire du personnel qui réduit les pertes et les mises au rebut ; • les frais fixes (loyer, électricité) sont divisés par une plus grande quantité de produits, ce qui abaisse leur coût de revient. Le taylorisme définit la méthode de l’« Organisation scientifique du travail » créée par Taylor. Cette organisation repose sur cinq critères : • une séparation du travail entre les fonctions de conception et d’exécution ; • une démarche rationnelle et scientifique

l’entreprise. De plus, les coûts de production calculés doivent aussi être mis en relation avec les coûts de production prévus par le centre opérationnel. Sur la longue période, cet objectif de coût se traduit par la recherche permanente de gains de productivité afin de détenir ou de conserver un avantage compétitif coût pour l’entreprise. ‐ Objectif de délai : Le système de production doit certes produire, mais dans des délais raisonnables, c’est--‐a--‐dire en conformité avec le niveau de la

appliqué le taylorisme sur le modèle Ford T  Réalisation de gains de productivité avec une main d’œuvre non qualifiée Principes du taylorisme appliqués à l’atelier : • Division du travail en tâches élémentaires • Spécialisation • Séparation entre conception et exécution • Affectation de l’ouvrier à un poste de travail • Travail à la chaîne Apport du taylorisme : Etude des gestes et du temps requis  Transformer l’homme en mécanisme spécialisé Inconvénient Avantag e Gain de productivité dhouha.rhodesly@isg

évolutions de l’organisation du travail et ses conséquences sur les conditions de travail A. Du taylorisme au post-taylorisme : des modèles a priori opposés 1. L’organisation taylorienne du travail Au fur et à mesure, le travail a été organisé dans le but d’augmenter les gains de productivité. On peut retenir deux grands modèles d’organisation du travail : tayloriens et post-tayloriens. Le taylorisme inventé par W. Taylor est conçu comme une Organisation Scientifique du Travail (OST) : on analyse

en réduisant les coûts de fabrication, en permettant des gains de productivité, les innovations font gagner à l’entreprise des parts de marché, nuisant ainsi à ses concurrents. Question 3 Une des plus grande innovations de procédés survenue depuis la guerre, est bien sûr le fordisme. Application direct du taylorisme, le fordisme constitue un progrès technique phénoménal pour l’époque. Il permet à l’entreprise d’augmenter sa productivité du travail en assignant à un poste précis un ouvrier (ce

repose sur de très grandes entreprises : Ford (80 000ouvriers) à Rivière Rouge ; entreprise de Rockefeller (pétrole) industrie chimique ; Andrew Carnegie (sidérurgie). Ces grosses entreprises cherchent à faire des gains de productivité grâce à de nouvelles méthodes de travail : -Taylorisme : méthode d’organisation scientifique du travail (OST) mit au point par Taylor en 1890. Il préconise la décomposition du travail d’ouvriers en une série de geste simple à réaliser dans une limite de temps. -Fordisme :

il est soumis à divers changements dans le temps dont les effets du progrès technique. En effet, sachant que le progrès technique au sens strict est l’ensemble des éléments qui permettent d’améliorer les méthodes de productions et d’augmenter la productivité, qu’il se manifeste par des changements de machine ou de nouvelles organisations du travail, nous pouvons nous interroger de son impact sur l’emploi. Avec l’aide du texte « Croissance et déversement d’emplois dans l’agriculture entre 1949 et 1973»

alternatives - économiques, de nouvelles organisations tendent à intensifier le travail. On remarque une durée de travail réduite (3068 heures annuelles en 1836 à 1540 heures en 2004) et une hausse des salaires mais accompagnée d’exigences en matière de productivité avec des cadences de travail plus élevées et des délais de travail nettement plus courts. Les salariés doivent travailler dans l’urgence pour s’adapter aux exigences de la clientèle. En 2005, 48% des salariés disent devoir se dépêcher durant leur

de la productivité. Pour résoudre ce problème et en quelque sorte déposséder les ouvriers qualifiés de ce pouvoir, Taylor va proposer une "organisation scientifique du travail" (O.S.T.) notamment avec la division horizontale et verticale du travail , Ainsi : c'est la hiérarchisation des salariés et déqualification du travail Ce mode d'organisation du travail transforme donc les conditions de la production car contrôlant le travail des ouvriers l'entreprise peut agir sur la productivité de leur