Taylorisme Et Gains De Productivité

l'utilisation de + grandes qtés de facteurs L&K. Elle dépend aussi de la productivité de ces facteurs. SOLOW met en évidence une partie non-expliquer de la croissance= le résidus(ou la PGF) L'augmentation de la PGF est souvent du à la mise en place des innovations. C'est donc une mesure indirect du progrès technique dans un pays. EXEMPLE : Un boulanger achète un four qui cuit le pain en moins de temps. Augmente la productivité de la combinaison productive est donc la PGF. 2. Le progrès technique:un

change le statut pour avoir plus de capitaux. 2. Elle n'a pas choisi le statut d'autoentrepreneur car elle veut le progrés de son entreprise. 2. L'entreprise personnelle: 1. (A)permet d'être un seul propriétaire et donc d'avoir touts les gains de production, pas besoins de beaucoup de capitaux 2. (C) l'entrepreneur est responsable sur ses biens personnels SARL: 1. (A) En cas de faillite ne perd pas ses biens, la résponsabilité est limitée à l'apport personnel de chacun 2.

Chapitre 4 : Organisation du travail et croissance. Introduction : Division du travail et productivité. Doc 2p98 : Définir la division du travail Division du travail : répartition du travail entre les individus ou des groupes spécialisés dans des activités complémentaires. La division technique du travail dans l’E : * la division du travail horizontale * même niveau hiérarchique entre salariés ex : entre ouvriers spécialisés ou entre ouvriers qualifiés. * la division

  INTRODUCTION I ° TAYLORISME ET FORDISME A° NAISSANCE ET APPLICATION DU FORDISME FONDE SUR LE TAYLORISME - STANDARDISATION DES MODELES ET PRODUCTION DE MASSE - DIVISION DES TACHES ET PARCELLISATION - POLITIQUE DES SALAIRES B ° LES DIFFERENTES APPLICATIONS DU FORDISME - GENERAL MOTORS - RENAULT - CITROEN C° LA REMISE EN CAUSE DU TAYLORO FORDISME - LA PRISE EN COMPTE DE L ASPECT MORAL AU SEIN DE L’USINE - DE NOUVELLES CONTRAINTES DE MARCHE APPARAISSENT - LE CLIMAT PSYCHOLOGIQUE

l’augmentation de la productivité. Pour les classiques (Ricardo, Smith) : la division du travail augmente la productivité, l’économie atteint un état stationnaire à long terme. -Travail : Activité rémunérée de l’homme. - Population active : Ensemble des personnes de plus de 15 ans exerçant ou cherchant à travailler (pas bénévoles). Trois déterminants de la production : - Biens ou services en jeu. - Coût relatif du travail et du capital. - Productivité de ce travail ou ce

aborder le domaine de l’appropriation du travail et la notion de contraintes imposées par le réel. De telle sorte que le travail vivant spécifique s’oppose au travail abstrait et donc mesurable. II LES DÉBUTS DE LA THÉORIE DES ORGANISATIONS : LE TAYLORISME Dans un contexte de 2ème révolution industrielle au XIXème siècle, les premières théories des organisations émergent. Elles tentent tout au long de leur histoire de répondre à plusieurs problèmes. Trois facteurs ont permis à cette deuxième révolution

L’auteur présente le concept du taylorisme. Il convient de distinguer ce que Taylor (3) (1856-1915) a écrit et ce qu’est devenu le taylorisme dans les organisations. Il distingue l’œuvre d’un homme et ses conséquences. Taylor fut le promoteur de l’organisation scientifique du travail. Taylor en tant que scientifique, explique que le geste du travailleur doit être objectivé, le meilleur geste doit s’imposer et ceci ne peut se faire dans une démarche participative. Le taylorisme est basé sur cinq commandements

cohésion et l’intégration. Ils se sont structurés au regard des exigences de l’environnement (un des facteurs de LAWRENCE et LORSCH). AOKI constate que la culture d’entreprise peut aussi influencer la structure de l’entreprise, L’accent est mis sur les gains tirés et la séparation hiérarchique entre opération et exécution. De plus afin de pouvoir assurer la pérennité de leurs entreprise en 2005, ils ont du mobilisés les investisseurs et donc du assurer leurs parts du marché envers les actionnaires On assiste

A . À court terme • À première vue, le progrès technique a un effet négatif sur l’emploi car il élève la productivité du travail, ce qui réduit les besoins en main-d’oeuvre (par ailleurs à durée du travail et à production inchangées). Évidemment, cette conséquence disparaît si on profite de la hausse de la productivité pour diminuer le temps de travail : le progrès technique est alors neutre face au niveau de l’emploi. • Le progrès technique détruit des emplois

modèle unique, modifié seulement dans le détail au cours des années. Le système de chaîne, transporteur mécanique qui reliait entre elles les différentes opérations, constituait l’un des facteurs d’abaissement des prix de revient, en élevant la productivité du travail. La division poussée du travail qui en résultait, impliquait également l’emploi de machine spécialisée simple et robuste, ayant un gros débit. L’avance régulière des chaînes et la coordination de leur marche exigeaient un préparation