Taylorisme Et Gains De Productivité

permettent de produire des biens ou des services. c'est un facteur de production au même titre que le travail. Productivité du travail : mesure de l'efficacité du travail Le calcul : qtité produite ___________ = prté par tête nombre de salariés productivité horaire du w = qtés prodtes/nbre sariéésx nbre d'h travaillées Gains de productivité : augmentation de la productivité au cours du temps = profits. Investissement : c'est l'augmentation su stock de capital. Progrès technique

typologie établie par J.A Schumpeter. En effet, l’étude de | |l’organisation du travail fait l’objet d’applications diverses en fonction des époques. Les manières de procéder, d’exécuter peuvent être à | |l’origine d’importants gains de productivité recherchés pour accroître la richesse. Toutefois, l’Organisation Scientifique du Travail (OST) a dû | |s’adapter et a ainsi connu des mutations en corrélation avec le changement social. Nous étudierons successivement les différentes organisations

matériels importants. 2. Quels sont les facteurs culturels qui influent sur le développement ? • Les facteurs qui favorisent la croissance et donc le développement sont d'abord économiques : amélioration de la production (augmentation de la productivité), progrès techniques (idées nouvelles), élargissement du marché, multiplication des échanges avec les autres pays. Mais tous ces facteurs, très dépendants des uns et des autres, ne sont pas seuls à jouer un rôle décisif. Certains facteurs politiques

afin de réaliser des gains de productivités. 4 LES CONCEPTS DE BASE  Définition : Marché industriel = Marché business to business = Marché des enterprises  Processus industriel et de services : INPUT . MP P.F ½ FINIS EQUIPTS P.DET OUTPUT ENTREPRISE P.DET EQUIPTS HEURES MO HEURES MO 5 6  C’est aussi une organisation autour de la production. L’approche productive est développée par Taylor (fin du 19ème). Le Taylorisme : Développement d’une

secondaire, c’est-à-dire dans les entreprises industrielles). Quelles sont les causes et les conséquences de la tertiarisation? La croissance économique va t elle de pair avec la tertiarisation? I.Les causes de la tertiarisation 1.Des gains de productivité très élevés dans les deux autres secteurs Dans le secteur primaire (agricole) à cause de la sélection des animaux et des plantes, de l’utilisation des engrais, des machines et des nouvelles techniques de culture et d’élevage. Les machines

valeur ajoutée allouée au travail s’accroît. Cela résulte de plusieurs phénomènes : consolidation salariale (ensemble de mesures économiques et sociales favorables aux salariés), mécanisme fordien qui associe la progression des salaires aux gains de productivité. Le partage de la valeur ajoutée bénéficie toutefois également aux profits dans la mesure où la valeur ajoutée croît fortement. Le choc pétrolier de 1973 constitue un contrecoup qui accroît les coûts de production des entreprises. Les prix

fondement de la spécialisation des travailleurs. Selon Adam smith, elle est suceptible d'accroître les richesses produite dans une économie. En effet, elle permet de diminuer considérablement le temps de travail. Ainsi, elle engendre un gain de productivité important.Les entreprises peuvent donc investir d'avantage en réduisant leurs prix. De ce fait, on asiste a une hausse du pouvoir d'achat et à une forte croissance du PIB:"la division du travail (...) donne lieu à un accroissement proportionnel

croissance économique, et donc d’emplois a) Le lien productivité/croissance Document 6 : il existe un lien empirique entre évolution de la productivité et évolution de PIB : lorsque le taux de croissance annuel moyen (TCAM) de la productivité est élevé, le TCAM du PIB l’est aussi, et vice et versa. De même, lorsque la croissance de la productivité se ralentit, la croissance du PIB ralentit elle aussi. Par exemple, le TCAM de la productivité diminue de 2.4 points en France durant la période 1973-1979

contraction des termes autonomie et automatisation. L'autonomation repose sur le souci de faire des ouvriers des individus autonomes et responsables, capables de tirer le meilleur parti de l'automatisation du système productif. Contrairement au taylorisme qui procède par destruction du savoir des ouvriers et par décomposition des tâches à exécuter, le toyotisme consiste à transformer les ouvriers en « travailleurs multifonctionnels ». Cela signifie que l'ouvrier doit être polyvalent et relativement

occupés dans l’agriculture (de 34 à 10%) à cause des gains de productivité liés à la mécanisation de l‘agriculture, à l’emplois d’engrais chimiques etc. La croissance du secteur secondaire (de 32 à 39%) est assez modérée alors que pourtant l’industrie est le moteur de la croissance des « Trente Glorieuses ». Cela s’explique aussi par des gains de productivité liés par exemple à des méthodes de production plus efficaces (généralisation du taylorisme). Enfin le secteur tertiaire connaît une croissance